Samuel Auger
Le Soleil
(Québec) Le directeur général de l’organisme Vivre en Ville, Alexandre Turgeon, croit que la Ville de Québec est sur la bonne voie avec son plan d’établir trois écoquartiers dans la capitale, bien qu’il estime qu’une profonde refonte réglementaire est nécessaire pour assurer leur succès.
Portland veut devenir la référence mondiale
25 octobre 2010 à 11 h 26
L’article sur Portland oublie, à mon avis, de mentionner une chose très importante : la gestion de l’urbanisme s’y fait de manière complètement intégrée à l’échelle de la région. Ce qui reviendrait, ici à avoir une CMQ puissante, plus puissante que la ville.
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25 octobre 2010 à 12 h 09
Tu as parfaitement raison. En 1999, j’avais assisté à Québec à un colloque portant sur l’étalement urbain et c’est à quoi nous avions conclu après avoir écouté, entre autres, des intervenants de la région de Portland : une structure politique forte. Bien que la fusion municipale à Québec ait été un bon pas pour contrer l’étalement urbain, la faiblesse de la communauté métropolitaine de Québec fait en sorte que beaucoup de boulot est encore à accomplir. On peut bien parler de densité au centre, d’éco quartiers, ce à quoi j’adhère, mais la structure politique de Québec est à revoir. Il faudra compter sur le courage du législateur comme ce fut le cas pour les fusions municipales. On peut rêver.
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25 octobre 2010 à 23 h 42
« Celle-là, elle est payante », a déclaré le maire Labeaume, en entrevue au Journal, à l’heure des bilans. Le maire est d’abord revenu sur le cadeau de 10 millions du canton du Jura. Puis, sur la rencontre qu’il a eue avec l’homme d’affaires suisse Angelo Labate, qui veut investir massivement dans le projet d’éco-quartier D’Estimauville.
La rencontre de plusieurs heures n’a pas débouché sur un contrat ou une entente signée, mais a permis de faire évoluer le dossier. « On parle d’un projet d’un milliard, on ne peut pas régler ça sur le coin de la table. Ça fait trois rencontres qu’on a (avec lui), ça marche de même. La Ville, c’est comme une entreprise. Quand j’étais en affaires, ça prenait toujours deux ou trois ans avant que les projets se réalisent. Il faut que les gens comprennent que c’est du démarchage comme en affaires », a lancé le maire.
tiré de http://lejournaldequebec.canoe.ca/politique/municipale/archives/2010/10/20101025-211408.html
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