Source : Alain Bergeron, Journal de Québec, le 27 octobre 2010
Réclamer un anneau couvert ne drainera pas 40 000 marcheurs sur les Plaines comme pour un amphithéâtre. C’est plutôt avec des statistiques que ses promoteurs en justifient la pertinence.
Vaste terrain de jeu pour l’activité populaire du patinage, un ovale de glace intérieur servirait aussi à relancer le patinage de vitesse longue piste, arguent les fédérations nationale et provinciale de ce sport.
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À Expo-Cité ou à l’université ?
Sur Québec Urbain :
Le maire Labeaume en profite pour réclamer de nouveau un anneau de glace.
Des trois principaux items (amphithéâtre, montagne, anneau de glace) ne serait-ce pas celui qui est le plus réaliste vu son coût et son utilisation par les athlètes qui auraient la possibilité de s’entrainer dans l’est du pays ? Les heures restantes pourraient certainement être prises pour le patinage libre et ainsi libérer des heures de glace dans les arénas traditionnels pour les « ligues de garages » qui se plaignaient cet automne de l’amputation de plages horaires.
27 octobre 2010 à 09 h 15
Claude Rousseau pense à se retirer (Le Soleil d’aujourd’hui)… d’après moi après avoir vu les résultats des différents rapports il ne croit plus au projet. La montagne sera toujours ce qui nous désavantage!
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27 octobre 2010 à 12 h 11
Ne pas également préciser que le centre de l’anneau peut acceuillir deux patinoire de grandeur olympique. Donc avis à ceux qui pensent que c’est un projet qui ne servirait qu’à peut de gens, imaginer deux arénas et un anneau d’un seul coup, ça en fait du joueurs de hockey, patineurs artistiques, patineurs de vitesse courte en plus de ceux de longue piste et des patineurs du dimanche (patinage libre). Le centre peut aussi être des terrains de tennis ou bien d’autre choses. C’est donc un investissement dans le sports en général, à long terme et non pas uniquement un infrastructure pour les deux semaines que durent les olympiques.
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