L’état d’esprit est différent, mais à moyen terme, Montréal et Québec auront grandement évolué. Il suffit de se projeter dans l’avenir.
Le collègue Gérald a été interviewé pour cet article du Devoir
L’état d’esprit est différent, mais à moyen terme, Montréal et Québec auront grandement évolué. Il suffit de se projeter dans l’avenir.
Le collègue Gérald a été interviewé pour cet article du Devoir
Voir aussi : Message d'intérêt public.
6 novembre 2010 à 12 h 21
Mais c’est que vous devenez une sommité Gérald! ;)
Interventions très judicieuses et réalistes. Nous vivons vraiment à une époque de changement et de dynamisme.
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6 novembre 2010 à 13 h 55
Excellente série d’articles… félicitation à Gérald!
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6 novembre 2010 à 14 h 02
Oui félicitations Gérald c’est une très belle collaboration que tu as fait!
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6 novembre 2010 à 15 h 05
Ce qui m’a surpris est la croissance démographique se situant à 6,4% sur une période de 8 ans. Cela veut dire si on fait le calcul avec le chiffre de 500,000,cela veut dire que 33,0000personnes de plus uniquement pour la ville de Québec .
La ville de Québec ne cesse de croître depuis les fusions .Cela valait la peine de vivre ce psycho drame .
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6 novembre 2010 à 16 h 07
6.4% sur 8 ans? Ça ressemble pas mal à la moyenne provinciale. Pas de quoi fouetter un chat.
Sherbrooket et Drummondville, proportionnellement parlant, croissent plus vite que Québec.
J’ai bien dit proportionnellement parlant.
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6 novembre 2010 à 17 h 37
Il y a un phénomène d’exode rural qui se poursuit : la croissance est aussi marquée dans les centres régionaux comme Rimouski, par exemple, alors que les fonds de campagne se dépeuplent, encore pognées avec des connexions Internet hyper-lentes qui freinent le développement économique.
Donc il faut faire la différence entre une réelle croissance démographique et économique des villes, et ce déplacement de populations qui masque le déclin politique, l’endettement et l’appauvrissement généralisé de la province de Québec à long terme. Allez dans certains endroits, il ne reste que des vieux.
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6 novembre 2010 à 17 h 57
Quant à Montréal, eh bien je reste partisan de la formule « une ile une ville ».
Malheureusement, Charest a cédé au lobby des partitionnistes du West Island, des ghettos juifs de Côte-St-Luc Hampstead et de la mafia du béton (pour qui c’est plus avantageux de construire deux mégahopitaux plutôt qu’un…)
Ajoutez à cela le bordel linguistique d’une loi 101 qui a perdu ses dents, des « droits individuels » des immigrants anglophones qui ont préséance sur toute cohérence de la société.
Quant à cette capitale des écoles passerelles, saviez-vous que les habitants de Westmount paient leur électricité à Hydro-Westmount (qui l’achète en gros à Hydro-Québec) ? N’importe quoi pour ne pas voir le mot Québec sur leur facture.
La gouvernance bordélique de la région empêchera toute relance significative de Montréal, qui est condamnée à devenir une 2e Nouvelle-Orléans.
Attention : je ne dis pas ici qu’il faut éradiquer l’anglais ou avoir peur de l’anglais. Je tiens simplement à démontrer que cette cohabitation des « deux solitudes » dans le même espace empêche tout le monde de se brancher sur une politique cohérente en matière de transports et de saine gestion.
La défusion de l’ile de Montréal sur une base ethno-linguistique est ce qui pouvait arriver de pire pour le bien commun.
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7 novembre 2010 à 16 h 55
Dans vos deux précédents billets, vous me surprenez par votre analyse très critique mais réaliste.
Dans un point de vue, vous visez juste !
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7 novembre 2010 à 17 h 25
Je suis du même avis que vous concernant les défusions. Cette décision du gouvernement a affaiblit le pouvoir de la métropole.
Par contre, la cohabitation des deux langues ne date pas d’hier et n’a pas empêcher Montréal de devenir un métropole et une ville internationale, au contraire!
Je ne crois pas non plus que Montréal deviendra comme la Nouvelle-Orléans. Je crois que l’image véhiculé par Montréal est plus négative que la réalité. Malgré certains problèmes, il n’en demeure pas moins qu’un nombre impressionnant de projet très intéressants se réalisent. Montréal n’est pas sur le point de mourir comme certains semblent le souhaiter…
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6 novembre 2010 à 19 h 05
Merci pour les bons mots. Et n’oublions pas que Québec Urbain marquera ses 10 ans l’an prochain.
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6 novembre 2010 à 22 h 08
À quand le 1 millions d’habitants pour Québec???
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7 novembre 2010 à 07 h 39
la question la plus intéressante est : est-ce qu’on le verra de notre vivant
:-)
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7 novembre 2010 à 18 h 00
Si Québec continue sur sa lancée et réalise les projets grandioses à l’étude, elle deviendra sans conteste un pôle qui va attirer beaucoup beaucoup d’immigrants.
Je vous l’ai déjà dit et vous le répète; les villes gagnantes de l’avenir seront celles qui auront la meilleure qualité de vie!
Québec est bien positionnée et alignée dans son développement pour confondre les prévisions statistiques. À mon avis, on pourrait facilement avoir une accélération notable de l’immigration.
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7 novembre 2010 à 18 h 02
@Georges-Antoine :
On le verra dans les statistiques de 2011 pour voir l’ampleur de cette augmentation. Ça fait 5-6 ans qu’on nous casse les oreilles avec le dynamisme de Québec et l’inertie de Montréal. On pourra comparer lorsque nous aurons les statistiques.
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7 novembre 2010 à 09 h 40
Au fait le taux d’emploi est de 61.6% à Québec au 2e trimestre de 2010 et de 61.1% dans la région métropolitaine de Montréal.
Pas de quoi fouetter un chat non plus.
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7 novembre 2010 à 21 h 49
Simplifions un peu, sans être incorrect:
Ce qui réellement gonflé le dynamisme Montréal (par rapport à un dynamisme « normal » ou « moyen ») : l’expo 67 (peut-être les olympiques aussi, mais je n’en suis pas certain). L’effet s’est estompé depuis…
Pour Québec : le 400e (ou à la blague, Québec 84…) et l’effet se fera encore sentir pour au moins plusieurs années.
2042 : 400e de Montréal. Fort à parier que même si les deux villes ne connaissent aucun bouleversement d’ici là (le planète a le temps de changer d’ici là…), Québec sera totalement éclipsée par Montréal pendant une bonne décennie.
Où je veux en venir : ce n’est pas une « photo » d’un instant ou de quelques instants précis qui permettent de comparer le dynamisme de deux villes (qui ne se comparent pas vraiment en partant…).
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