Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Ferme SMA: Un nouveau projet

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 10 novembre 2010 15 commentaires

Québec, le 10 novembre 2010 – Le 16 novembre prochain à 10h30, le regroupement Valorisons SMA dévoilera un projet dynamique et novateur d’agriculture urbaine sur les terres de l’ancienne ferme SMA à Beauport. Le projet intégrera également la renaturalisation et la mise en valeur du ruisseau du Moulin. Vous êtes invité au 3325, rue Loyola à Beauport (entrée par la rue Guimond au sous-sol de l’église St-Ignace de Loyola), pour connaître les détails du projet. Une proposition visuelle de l’aménagement souhaité pour la création de ce parc-jardin sera également présentée. À la suite du lancement, le regroupement présentera son projet à l’administration Labeaume afin qu’une partie des terres SMA soit intégrée à la revitalisation du secteur d’Estimauville.

ValorisonsSMA

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Voir aussi : Arrondissement Beauport, Conférences / évènements.


15 commentaires

  1. Jean François Côté

    10 novembre 2010 à 13 h 57

    C’est bien beau et bien bon des fermes et des légumes mais ça ne règle pas l’étalement urbain.

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  2. P-André

    10 novembre 2010 à 15 h 17

    C’est drôle mais quand je lis « valorisons SMA » je pense à autre chose que des légumes…

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  3. Un lecteur assidu

    10 novembre 2010 à 15 h 22

    J’adhère à l’idée de «récupérer» le ruisseau du Moulin.

    Mais de là à occuper toute la superficie dont la ville de Québec s’est portée acquéreur, ça m’apparait pour le moins de la démesure.

    Je concevrais toutefois une bande « verte » d’une centaine de pieds, de chaque côté et tout le long du ruisseau.

    On pourrait y retrouver une vraie piste cyclable, d’un côté, une vraie piste piétonnière de l’autre, le tout agrémenté d’arbres, d’arbustes, fruitiers ou non etc…….

    Soit dit en passant, à moins d’errer, lors de l’agrandissement de ce qu’on appelait à l’époque le Carrefour Beauport, de mémoire on y a recouvert ce même ruisseau.

    Je souhaite, qu’un jour pas trop lointain, Cominar qui en serait maintenant le propriétaire, le fasse revivre dans un concept à la fois vert et éclaté, pour paraphraser notre maire. Au lieu d’être un simple cumul de magasins, ça donnerait au tout une image non seulement distinctive mais attirante.

    «On» serait alors « queque part » !

    À cet égard, je vous souhaite de nourrir éventuellement ce défi au bénéfice de la collectivité et, il va de soi, de ce «centre d’achats » comme les autres, ni plus, ni moins.

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  4. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    10 novembre 2010 à 15 h 24

    C’est très loin de l’orientation de pole d’innovation technologique que la Ville veut donner. D’ailleurs le zonage est déjà changé pour industriel…

    Un vain essai du comité de quartier qui n’a pas l’appui de son conseiller, ni des autorités municipales.

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  5. Carol

    10 novembre 2010 à 15 h 51

    ouais pas grande ouverture d’esprit …

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    • Un lecteur assidu

      10 novembre 2010 à 16 h 36

      Humblement ( ! ), je crois que mon commentaire ci-haut concilie à la fois l’ouverture d’esprit ( sic ) et le pragmatisme.

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    • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

      10 novembre 2010 à 17 h 51

      @Carol

      Sans vouloir vous manquez de respect, il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’une terre qui est à moins de 4 ou 5 km du centre-ville et de la colline parlementaire. On ne peut pas d’un côté se plaindre de l’étalement urbain, et d’un autre promouvoir des activités de faible densité en plein coeur de la ville.

      Il y a eu une longue discussion sur le transport en commun. Si on veut être cohérent, il faut développer les terrains qui sont près du centre de la ville.Ils sont plus facile d’accès en transport en commun, ça encourage moins l’étalement urbain aussi.

      C’est dommage de perdre des terres agricoles, mais il faut relativiser les choses, il y a beaucoup plus de terres agricoles à l’abandon faute de rentabilité au Québec que de terres agricoles qui sont abandonnées au développement urbain.

      Pour les terres agricoles, allez voir dans les appalaches, il y a plein de terres de roches qui sont redevenues boisées faut de rentabilité ou d’intérêt, mais qui sont techniquement, zonées agricoles.

      Je suis aussi en faveur de ce que le lecteur assidu a mentionné pour le ruisseau.

      Personnellement, j’aurais préféré un développement résidentiel de moyenne densité (condos + maisons de ville) et un parc plutôt qu’un développement industriel.

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  6. Accès transports viables

    10 novembre 2010 à 18 h 27

    Nous avons un peu vu le projet et il faut préciser que c’est 1/5 du terrain actuel qu’ils souhaitent utiliser pour leur projet.

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  7. nicolas

    10 novembre 2010 à 18 h 34

    va dont acheter tes legumes comme tout le monde à l’épiecerie

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  8. Carol

    10 novembre 2010 à 22 h 09

    Ce qui manque à Québec c’est une biodiversité, ou plutôt un diversité tout court ! Il y a un manque flagrant d’équilibre en urbain et nature…
    Et après on se demande pourquoi il y a tant de gens voulant s’établir en banlieue !?

    WAKE-UP !!!

    Le projet (comme disait ATV) est une partie seulement des 21 acres… De plus SMA c’est plus que les 21 acres discutées dans les médias, mais aussi des terres au nord de la capital, pouvant totaliser près de 200 acres. Donc une infime portion seulement pourrait être utilisé pour le projet… donc où est le problème (plus raisons de vous opposer… ???)

    Ne vous inquiétez pas les autres acres seront sûrement utilisé à l’urbanisation ! …

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      10 novembre 2010 à 22 h 51

      Carol.

      Je ne voudrais pas vous manquer de respect, mais vous utilisez les clichés à répétition.
      « Il y a un manque flagrant d’équilibre en urbain et nature… ». Ah oui ? Facile à dire. Très difficile toutefois à soutenir. Sans arguments.
      Demandez à un européen en visite ici, à Québec, si l’équilibre entre urbanité et nature est menacé. Vous serez surpris de la réponse.

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  9. P-André

    11 novembre 2010 à 17 h 02

    « Demandez à un européen en visite ici, à Québec, si l’équilibre entre urbanité et nature est menacé. Vous serez surpris de la réponse. »

    Très d’accord avec cette affirmation, actuellement on trouve d’importants espaces verts au coeur de la ville qui accueillent plusieurs espèces végétales/animales.Toutefois, il faut être réaliste, la « vraie » nature se retrouve beaucoup plus au nord que le zoo… et on ne pourra jamais l’intégrer à nos activités urbaines.

    Donc, à mon avis l’équilibre urbain-nature, si on veut en parler, doit se réaliser à une échelle régionale, d’où la nécessité de s’attaquer à l’étalement urbain.

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