Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Les taxes 2011 à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 décembre 2010 13 commentaires

Québec, le 15 décembre 2010 – L’augmentation moyenne de la facture de taxe résidentielle pour les contribuables de Québec sera limitée à 1,3 % en 2011, soit 1,1 % de moins que le taux d’inflation anticipé de 2,4 %.

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Voir aussi : Message d'intérêt public, Québec La cité.


13 commentaires

  1. davedeux

    15 décembre 2010 à 12 h 29

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  2. pierrequiroule Utilisateur de Québec Urbain

    15 décembre 2010 à 22 h 56

    Un gel aurait été apprécié… Tout à augmenté ces dernières années: nourriture, taxe, essence, électricité… Alors pourquoi pas un peu de répit? En plus la ville est en surplus depuis les 2 dernières années.

    Labeaume s’est encore défendu en mettant le blâme sur les administrations précédentes, c’est pas de ma faute… moi j’hérite du fardeau des années passées… Entendu à Radio-Canada:

    http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia%3D/medianet/2010/cbvt/letelejournalquebec201012151759.asx&promo%3DZAPmedia_Telejournal&duree%3Dcourt

    C’est sûr qu’il y a le moulin à images, le cirque du soleil, Clotaire Rapaille ($300 000), le Forum des cultures qui risque d’être largué ($400 000) et tous les autres dépenses plus ou moins farfelues, mais cela n’est pas important.

    L’important est de taxé pour refaire les infrastructures « pourrites » reçues en héritage. Faire moins de folies pas question!

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  3. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    16 décembre 2010 à 11 h 30

    Vous n’avez rien vu. C’est vrai que le carnaval de bébelles de toutes sortes est la marque de commerce de l’ancien président du Festival D’Été qui devenu maire veux multiplier les festivals.

    Attendez en 2011 quand on vous présentera l’harmonisation des fonds de pensions de nos fonctionnaires. Sous le couvert de l’anonymat on parle de 500 millions de déficit à combler. Ca veurt dire presque la moitié du budget de la Ville.

    Déjà ces fonds de pension accaparent 10% du budget alors que les services de proximité en accapare que 16%, quand la facture d’harmonisation en 2011arrivera, vous comprendrez que les taxes sont pas assez hautes…

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  4. Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

    16 décembre 2010 à 11 h 46

    Anonymat ? : « Le déficit accumulé des régimes de retraite atteint des proportions éléphantesques. D’une dette de 144 millions $ à la fusion (essentiellement le déficit de l’ex-Ville de Québec), le déficit actuariel atteint 520,7 millions $ au 31 décembre. »

    « Le Soleil » 16 décembre 2010

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  5. Jp-Duval

    16 décembre 2010 à 11 h 55

    Juste quelques chiffres:

    – augmentation des dépenses 6,7% (presque 8% l’an passé)
    – dette de 1,5 milliards en 2011
    – déficit actuariel de 520 millions dans les fonds de pension des employés.

    Gérer est peut-etre moins « glamour » que de construire un nouvel amphithéatre…..Mais c’est drolement plus important!!

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  6. Jean-Paul Comeau

    16 décembre 2010 à 19 h 36

    Ne paniquons pas avec la dette… le Soleil nous « informe » que presque le quart de ce que nous payons va au remboursement de la dette. À ce rythme là, on élimine la dette en moins de 20 ans.

    http://pdf.cyberpresse.ca/lesoleil/depenses161210.jpg

    À moins que… le journaliste n’ait confondu remboursement et paiement d’intérêt? Voyons voir:

    Dans le document officiel (http://www.ville.quebec.qc.ca/apropos/vie_democratique/administration/budget/docs/budget2011.pdf), en page 23, on montre que 22,8% des dépenses vont au service de la dette, donc au paiement d’intérêt.

    Bravo au journaliste!

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    • André

      16 décembre 2010 à 21 h 02

      Le 22.8% ça rembourse autant les intérêts que le capital. Page 55 du document.

      « Le service de la dette brute comprend l’ensemble des sommes que la Ville est tenue de verser pour rembourser le CAPITAL emprunté et payer les INTÉRÊTS au cours de l’exercice financier. Il est prévu que le service de la dette brute de 2011 atteigne 274,0 M$, soit
      une hausse de 16,1 M$ en regard de 2010. »

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    • André

      16 décembre 2010 à 21 h 39

      22.8%=225.7 millions $

      dont +- 70 millions $ en intérêts (1.5 milliard à 4.75%) et 150 millions $ de remboursemen de capital

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      • Jean-Paul Comeau

        16 décembre 2010 à 22 h 41

        Bon, je concède, j’ai exagéré. Ce n’est pas 23% en intérêt. Mais parler de remboursement, ce n’est pas vraiment exact non plus…

        Le service de la dette coûtera 274 M$. Soit. Avec ce montant on va payer des intérêts et rembourser des obligations arrivées à échéance. Ce sont des sommes que la Ville est tenue de verser. On va donc rembourser du capital.

        En revanche on va émettre de nouvelles séries d’obligations. On va emprunter pour rembourser nos dettes. Ce n’est pas quelque chose d’original: tous les gouvernements agissent ainsi.

        C’est un peu comme si tu avais une dette hypothécaire de 100 000 $ et que pour la rembourser tu allais voir une autre institution financière et tu empruntais 120 000 $. Avec ce montant tu rembourserais ta première hypothèque et tu te paierais un beau voyage de 20 000 $. Tu pourrais prétendre à la fin de l’année avoir remboursé 100 000 $ de capital. Et ta première institution financière pourrait te fournir les papiers prouvant ton affirmation. Si tu recommences le même stratagème à chaque année tu rembourses toujours du capital et tu es toujours plus endetté.

        À la ville de Québec la dette va passer de 1,45 G$ en 2010 à 1,5 G$ en 2011, puis 1,65 G$ en 2012, puis 1,83 G$ en 2013, puis 1,94 G$ en 2014 et ainsi de suite (page 79 du document).

        Dans mon livre à moi, si ma dette augmente continuellement, je ne rembourse pas beaucoup de capital. Mais ça, c’est une question de vocabulaire.

        Lorsque le journal Le Soleil indique que 23% de l’argent de mes taxes sert à rembourser la dette, j’ai l’impression que je vais en sortir moins endetté. Ce qui est faux.

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