Michel Bédard
Québec Hebdo
Une vingtaine de citoyens demeurant sur le boulevard des Chutes et dans les rues Charles-Bernier, Duchatel, De Moncel, Gaulin et Mgr-Lemieux dans le Vieux-Beauport ont profité de la séance publique du conseil d’arrondissement de décembre pour déposer une pétition aux élus s’opposant à la densification urbaine dans leur secteur.
18 décembre 2010 à 21 h 17
Wow, un bel exemple de NIMBY (not in my backyard). Après ça qu’ils ne viennent pas chialer que les gens vont s’établir trop loin en banlieue. Je suis moi-même un amateur de la banlieue, question de qualité de vie, même je suis conscient que c’est un choix de vie qui risque de me mettre à rester dans le trafic tout les jours. Par contre, eux risquent d’être en conflit d’intérêt, on peut pas être écolo et vouloir empêcher le monde de venir s’installer en ville en même temps.
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18 décembre 2010 à 21 h 55
Haha est bonne sérieux !!
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19 décembre 2010 à 15 h 52
Encore des rétrogrades qui projètent leur propre insécurité en refusant de precevoir la réalité, qu’ils habitent la deuxième plus grande ville du Québec qui est en pleine croissance tout en étant en retard dans bien des domaines. Telle est la nature de toute ville de taille considérable.
En refusant aussi d’apercevoir l’opportunité qui se présente: celle d’améliorer la qualité des services, des ressources, et du tissu urbain qui se trame de manière inévitable aujourd’hui.
Merci de supporter la croissance intelligente de notre belle grande ville.
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19 décembre 2010 à 15 h 54
Et ceci dit, en effet c’est du NIMBY sans même considérer, c’est de la petitesse de clocher classique et pathologique.
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20 décembre 2010 à 01 h 06
Oups une erreur s’est glissée dans le titre. On devrait lire : La densification urbaine inquiète les vieux résidents de Beauport.
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20 décembre 2010 à 09 h 43
Je cois qu’il fallais bien revitaliser ce secteur, car ça commençais à faire pas mal abandonné ce coin là sur le bord du fleuve. Quelque habitation ne font pas tord, mais quand m^me je trouve ce coin encore pas attirant. Mais bon bravo pour y intégrer de nouvelle construction.
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20 décembre 2010 à 10 h 15
Donc, si ce ne sont que les vieux qui sont inquiets, que les jeunes aiment bien taper sur ces derniers, j’en conclus que beaucoup de jeunes seront intéressés à aller habiter avec leurs familles dans les condominiums de quatre à cinq étages qui seront construits en lieu et place du bâti unifamilial, au minimum, question de rentabiliser au maximum les investissements des promoteurs. Parce que sans doute c’est ce que la ville de Québec va privilégier dans son zonage les jeunes familles… Toujours à la botte des promoteurs. On va certainement réussir à combattre l’étalement urbain ainsi… Les jeunes peuvent bien taper sur les vieux, mais ils sont les premiers à vouloir aller en grande banlieue. Ce sont eux les responsables de l’étalement urbain. Dans le cas ici, c’est densifier pour densifier… Jusqu’à aujourd’hui, la ville ne m’a jamais convaincu de sa volonté de densifier à la fois et de favoriser l’établissement des jeunes familles qui elles, vont permettre de pérenniser des services comme les écoles, le transport en commun, etc.
Pourtant, j’aimerais bien qu’on privilégie l’habitat en rangées, et des solutions qui permettent de concilier densité et habitat pour les jeunes familles. Par exemple, là où j’habite, c’est 30 unités de deux étages plus sous-sol, 2 × 8, 2 × 7 unités, une grande cour intérieure carrée où il y a une aire de jeux, piscine creusée, verdure et arbres. Un condominium : on paie pour le déneigement, l’entretien du terrain. Bref, vous profitez de la vie sans vous faire chier à entretenir.
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20 décembre 2010 à 22 h 55
Oui, moi le premier j’aimerais bien habiter dans le 14ème étage, même.
D’ailleurs je trouve les condos qu’ils ont construit avec de la facade en bois au fini naturel, sur la rive de Beauport, super beaux, j’ai failli faire une offre sur un de ces 4 1/2.
Donc en effet, je trouve que revitaliser Beauport et le densifier, ne sera qu’à l’avantage de ce coin de la ville, sa qualité de vie ne sera qu’insufflée d’un peu de vigueur!!!
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21 décembre 2010 à 11 h 16
Bien d’accord avec vous que la plupart des jeunes familles d’envisagent pas les condos pour élever leurs enfants, et je les comprends.
« Pourtant, j’aimerais bien qu’on privilégie l’habitat en rangées, et des solutions qui permettent de concilier densité et habitat pour les jeunes familles. Par exemple, là où j’habite, c’est 30 unités de deux étages plus sous-sol, 2 × 8, 2 × 7 unités, une grande cour intérieure carrée où il y a une aire de jeux, piscine creusée, verdure et arbres. »
c’est dans quel coin tout ça? C’est un concept beaucoup plus agréable pour les familles et ça permet de densifier en éliminant les 29 piscines hors terre et cours individuelles…
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21 décembre 2010 à 12 h 02
dans le district de la pointe Sainte-Foy, à deux pas de la rue du campanile, là où on retrouve des commerces de proximité, café, restaurant, etc.
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20 décembre 2010 à 10 h 40
J’ai remarqué aussi la démolition de cette maison. Il y a aussi une maison de « ferme » sur la rue St-Michel et sur Louis-XIV qui ont été détruite pour faire des duplex/triplex à condos dans le secteur Saint-Thérèse-de-Lisieux (Beauport nord). Jusqu’à présent on parlait de maisons de mauvais état ou de faible qualité de construction.
Moi ce qui m’inquiète c’est que tout devient disparate. C’est laid un quartier où il n’y a pas d’homogénéité.
Fernard Trudel recommande sur le site de Québec Hebdo de démolir la vieille ligne électrique historique entre les Chutes Montmorency et Québec qui occupe une très grande emprise et ça pourrait libérer des terrains intéressants. Je ne comprends pas trop toutefois comment ses futurs résidents pourraient accéder à leur propre terrain, car il n’y a pas toujours un accès routier à cette longue bande de terrain.
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21 décembre 2010 à 10 h 16
Parce qu’il traverse plusieurs rues résidentielles et à chacune, l’emprise nolise trois terrains de chaque coté de la rue. Je parle des rues : D’Orléans, Du Temple, Langevin , De l’Avenir, Carmichaël, Doyon, Ste-Julienne, Dugas et du terre plein entre Des Coquilles et Seigneuriale. Je parle de Seigneuriale où deux blocs appartements pourraient remplacer le mini-putt qui est peu rentable car c’est le seul équipement qui peut être installé dans ces emprises.
Lorsque j’étais conseiller, j’avais demandé au service d’urbanisme de me donner combien de logements pourraient être bâtis si ces lignes n’existaient pas et on parle de 60 logements. J’ai aussi rencontré plusieurs propriétaires fonciers de ce secteur dont les Doyon (rue Doyon), les Langevin (rue Langevin), les Carmichaël (rue Carmichaël) et les Parent (terrains rue Seigneuriale). Sur la rue du Temple un pylône est en plein centre de la rue et QU a djà affiché ces photos. Sur Carmichaël, lun des pylône a été remplacé par un poteau de bois…
Regardez aussi entre le boulevard Laurentien et la rue Bardy à Qubec les lignes d’Hydro que l’hydro entend faire disparaitre, ce qui permettrait de densifier le secteur en édifices à logements, Or une de ces lignes est celle dont je parle, les deux autres descendent Henri-Bourassa pour alimenter la papeterie et le secteur industriel dans ce coin. Si on faisait partir ces lignes ancestrales, combien de logemnets seraient érigés le long de la 41ème ??? Des centaines sûrement.
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14 janvier 2011 à 12 h 26
Je suis en accord avec votre idée Fernand
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20 décembre 2010 à 23 h 00
On n’a pas tous besoin d’avoir notre tite maison avec notre tit terrain et la tite piscine hors terre affreuse, la tite auto, la cabane à chien, et la tondeuse à gazon…
Des maisons de VILLE c’est très agréable aussi. Sans compter les multitudes de familles qui ont bien aimé élever ou être élevés dans un appartement, pourvu qu’il doit adéquat.
Dans une ville, à Québec, il y a PLUSIEURS types de goûts, de familles et de personnes.
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20 décembre 2010 à 23 h 06
Des maisons en série où tous les résidents ont l’esthétique monotone et standardisé, où l’on se fait même dicter quelles fleurs ou arbre on a le droit où non de planter en avant de chez soi, non merci.
Une harmonie, oui, mais pas une homogénéité. Une variété harmonieuse, qui a de la vie.
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