Journal Habitation
Selon un sondage Royal Lepage la majorité conserve leur propriété plus de 15 ans. Près de la moitié des Québécois ont été propriétaires d’une seule maison au cours de leur vie et la majorité d’entre eux la conserveront pendant plus de 15 ans, selon un sondage Angus Reid sur le marché immobilier québécois commandé l’automne dernier par les Services immobiliers Royal LePage.
8 janvier 2011 à 07 h 00
C’est ce que j’ai déjà affirmé sur ce forum.
Mais pourquoi? Tout simplement parce que la majorité
considère la maison comme étant un fond de pension.
Ce qui est faux pour ceux qui désirent conserver leurs
propriétés, ce qui est vrai si vous vendez.
A vous de choisir, passif ou actif?
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8 janvier 2011 à 21 h 26
Merci davedeux continue comme ça et tu vas surement recevoir un doctorat honorifique de Harvard en économie.
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9 janvier 2011 à 06 h 50
C’est déjà fait pour le doctorat…mais en comptabilité.
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9 janvier 2011 à 09 h 53
Investir dans une maison est le meilleur des placements. En 1971 j’ai bâti pour 16,000$ une résidence qui vaut sur le marché actuellement 225,000$ (évaluation municipale 174,000$).
Je compte y demeurer quelques années encore et déjà ma fille m’a offert de l’acheter pour 40,000$ au dessus de l’évaluation municipale.
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9 janvier 2011 à 10 h 10
Fernand, j’ai déjà eu cette discussion avec mon frère. Il m’A cependant fait remarquer qu’une maison représente aussi un dépense. Même en tenant compte du loyer que l’on aurait pas payé, le rendement n’est pas aussi faramineux que cela parait à première vue.
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9 janvier 2011 à 10 h 50
Oui, mais comme Fernand a probablement fini de payer sa maison depuis longtemps, il ne lui reste que les taxes, le chauffage, l’électricité et l’Entretien, ce qui doit représenter moins de 800$ par mois pour une maison avec terrain… Ce qui est vraiment pas cher…
C’est sûr que la valeur de la maison pourrait être placée dans des obligations d’épargne, mais avec un rendement de 1% (soit moins que l’inflation) l’argent est encore mieux d’être « placé » dans sa maison…
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10 janvier 2011 à 10 h 15
Dans tous les cas, c’est moins cher que si vous aviez à louer cette même maison et son terrain. Le raisonnement est simple : le propriétaire dégage un profit de la location. Quand on loue, on se trouve donc à payer le coût qu’on payerait étant propriétaire, plus le profit qui va au propriétaire.
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9 janvier 2011 à 10 h 20
Je suis d’accord avec vous, la propriété est un investissement
ce que j’ai toujours affirmé…mais a condition de vendre. Et
comme l’article le mentionne, la majorité des gens vendent à la
dernière extrémité, au moment ou il ne peuvent plus entretenir
(Vieillesse ou maladie), à ce moment de la vie vous avez beau avoir un million en caisse, cela ne vous seras d’aucun secours dans votre dernière heure. Aussi, si vous calculer le $16,000 du départ placer a un taux moyen depuis 1971 de 7.8%, plus $1200 de frais
d’entretien par année, vous arriver en 2010 avec un pactole de
$ 218,794.34 en banque (En considérant que c’est un placement
a intérêt cumulatif). Pour éviter les ti-jos connaissants qui
vont sûrement m’arriver avec une histoire de loyer, j’ai
délibérément enlever les taxes, assurances, chauffage, etc.
de mon calcul, transférant le tout au loyer.
OUI la propriété est un bon placement, mais tant que vous ne
vendez pas, c’est un placement gelé.
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10 janvier 2011 à 08 h 44
C’est un raisonnement un peu spécieux. Un placement est gelé quand il est inaccessible. C’est le cas de certains bons du trésor ou de CPG non remboursable avant échéance. Ce n’est pas le cas d’un maison qui peut être mise en vente -et vendue- rapidement. En pratique l’immobilier peut donc être plus souple que des produits financiers.
Plus souple et surtout moins volatile.
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10 janvier 2011 à 10 h 18
et les frais d’entretien, tout comme les « améliorations locatives » doivent aussi être comptées comme faisant partie d’un loyer, car ils le sont lorsqu’on est locataires.
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9 janvier 2011 à 16 h 57
@davedeux :
J’ai déjà dit ici que la bourse est à long terme le meilleur placement qu’on peut faire et on m’a presque vilipendé. Je crois que ça ne sert à rien d’argumenter. Je suis d’accord avec votre argument, mais bon pour bien des gens maison = argent gratuit.
Je suis aussi 100% d’accord avec les gens qui disent que la maison n’est pas qu’un investissement, c’est aussi un choix de vie.
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9 janvier 2011 à 17 h 38
C’est vrai sauf pour la dernière décennie
Variation
Année Maison* Bourse**
2010/1980 405.5% 1222 %
2010/1990 144.3% 286.49%
2010/1995 149.5% 160.5 %
2010/2000 121.3% -8.5%
*Variation prix des maisons de la ville de Québec
** Dow Jones
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9 janvier 2011 à 18 h 00
Oui effectivement, la décennie 2000-2010 est la décennie perdue en bourse.
Remarque que les années 90 à 2000, c’était tout le contraire.
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9 janvier 2011 à 17 h 55
Bon bien, il semble qu’avec ce sujet il n’y a pas de consensus.
En fait comme le dit si bien Goldoche, c’est un choix de vie.
C’est aussi le plaisir d’être chez soi. Finalement, en ce qui
concerne l’argument financier, je crois que les deux facettes sont très défendables (proprio ou locataires).
Mais comme j’ai toujours dit, rien que le fait de voir les institutions
financières ce « garrocher » pour nous prêter, cela me rend
suspicieux parce que dans un prêt bancaire il y a un gagnant et un
perdant. Et le perdant n’est sûrement pas celui qui prête.
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9 janvier 2011 à 22 h 18
Les prêts ne sont pas nécessairement un jeu à somme nulle.
Ex : Une compagnie doit acheter une nouvelle machine afin d’augmenter sa productivité. Or la compagnie n’a pas assez d’argent disponible pour l’acheter. Elle contracte donc un prêt à la banque et achète la machine. Ce faisant, elle augmente ses ventes et ses profits ce qui lui permet de rembourser le prêt. Il y a donc ici 2 gagnants, la banque et la compagnie.
En général, ils sont un jeu à somme positive, mais dans certains c’est même un jeu à somme négative.
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10 janvier 2011 à 13 h 20
Il y a une subtilité ici. Une maison c’est du stock pas du capital comme une machine.
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11 janvier 2011 à 18 h 12
Sauf si on y aménage un logement qu’on loue ensuite… mais ce n’est quand même qu’un petite minorité de cas (et ça donne la chaire de poule aux résidents d’au moins un certain quartier)
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10 janvier 2011 à 22 h 03
Un décennie perdu à la bourse. Je vous ferez remarquer que le rendement depuis mars 2009 est de plus de 70-80%. Toute une décennie de perdue.
De plus, il est difficile de comparer l’immobilier à la bourse sur 10 ans pusique les cycles immobiliers ont une période longue comparée à celle de la bourse.
Attendez que les taux remontent. chaque 1% de hausse représente 250$/mois de moins dans le budget familial. Selon les estimations, la hausse de 2011 sera de 2%, donc à trouver 500$/mois dans les poches d’un nouveau propriétaire.
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10 janvier 2011 à 22 h 38
de 2000 à 2010 = gain quasi nul à la bourse. Je ne parle pas de 2009 à 2010
2000 != 2009 ce sont 2 années différentes. Vous pouvez sans doute remarquez que le dernier chiffre de ces 2 nombres est différents.
2009 – 2000 = 9 ans de différence
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