Rares sont les citoyens qui ignorent l’emplacement exact du Grand Théâtre de Québec. Pourtant, à l’été 1963, bien peu de Québécois auraient pu affirmer avec certitude que l’édifice s’élèverait sur son site actuel.
Dès l’annonce du projet, en août 1963, les membres du Centre d’affaires Saint-Roch suggèrent au premier ministre d’ériger l’édifice « sur le terrain du parc Cartier-Brébœuf, au centre du quartier le plus populeux de Québec ».
Quelques jours plus tard, les Jésuites à leur tour proposent le terrain de la Villa Manrèse, situé entre le chemin Sainte-Foy et la côte Franklin. On parle alors d’installer des escaliers roulants qui permettraient au public de la basse-ville d’accéder aisément à l’édifice! Ah, les années 60…
* Merci à un lecteur (Jacques Martin)
18 janvier 2011 à 12 h 39
Ah je me souviens de ce 16 janvier 1971 « traînés » par mes parents
a l’inauguration de ce temple de la culture. Pour ne pas m’ennuyer
j’ai traîné mon Polaroid 160.(http://collectiblend.com/Cameras/Polaroid/Polaroid-160.html)
J’ai brûlé 3 bobines de film en l’espace d’une heure.
Ce qui m’avait le plus impressionné ce sont les belles dames en
robes de soirée. Ce qui m’avait le plus ennuyé, ce sont les discours
des politiciens. Je dois avouer que la soirée du 40ème d’hier
manquait carrément de magie par rapport a 1971.
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19 janvier 2011 à 09 h 19
Avez-vous encore les photos? Ce serait intéressant de les voir ici.
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19 janvier 2011 à 11 h 57
Oui dans une couche archéologique profonde. Une fois
retrouvé, faut les scannés. Donc a venir. Mais c’est des
Polaroid et les Polaroid malgrés leurs facettes « miraculeuses »
ont le défaut, surtout ceux des années 70, d’avoir une faiblesse
au niveau de la couche de « witener » qui ce désagrège et
pâlisse la dit photo. Mais bon, avec une bonne restauration
en post-scannage ca devrait aller…dans qq temps.
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19 janvier 2011 à 00 h 40
[…] Les 40 ans du Grand Théâtre de Québec […]
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19 janvier 2011 à 19 h 28
Juste à jouer avec la courbe dans Photoshop (ou un logiciel autre avec un minimum de souplesse) pour retrouver le contraste.
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20 janvier 2011 à 00 h 04
Il y aussi les couleurs qui se désagrègent, certains « pigments » se désagrégeant plus vite que d’autres, et cette dégradation ne semble pas linéaire en fonction de l’intensité originale des couleurs.
Finalement couleurs pouvant être exprimés pas chacun de médiums (négatifs, photo imprimée, photo scannée, photo numérique, écran,…) sont souvent bien différentes, autant d’un médium à l’autre qu’entre deux items d’ue même catégorie (selon les encres utilisése, les illuminants des éctans, et.c)
Il sera probablement facile d’avoir un résulat bien accetpable en jouant avec une ou deux courbes dans Photoshop mais il restera probablement des « distortions de couleurs » ou autre aberration non-naturelles. Ça dépend donc d’une certaine balance entre se casser la terre pour un résultat vrai comme nature, ou y aller simplement pour apprécier la photo davantage par son contenu.
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20 janvier 2011 à 06 h 47
Oui je sais tout cela. La problématique de bien cibler la couche
archéologique. Par contre j’ai des photos (Polaroid) de la grève
des profs de l’université Laval en 1976 immédiatement dispo.
Mais sont pas très bonnes (Polaroid)
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23 janvier 2011 à 14 h 21
Pouvez-vous poster une de vos photos scannée en 150dpi ou en 300dpi avec un bon scanneur (par là, un scanneur qui ne dégrade pas plus les couleurs qu’elles ne le sont déjà) pour que je puisse m’amuser avec dans Photoshop. Par m’amuser, je veux dire essayer d’arranger les couleurs.
Au niveau des ajustements de couleurs, on peut y aller par couche et on a a différents modes avec différentes couches.
Rouge-Vert-Bleu
Cyan-Magenta-Jaune-Noir
Tinte, Saturation, Luminosité
Ça donne quand même de la marge.
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