Le Soleil
(Québec) Ottawa estime qu’il en coûtera 94,5 millions $ pour reconstruire le Manège militaire et cherche à conclure un partenariat public-privé (PPP) pour gérer une partie du bâtiment.
Le Soleil
(Québec) Ottawa estime qu’il en coûtera 94,5 millions $ pour reconstruire le Manège militaire et cherche à conclure un partenariat public-privé (PPP) pour gérer une partie du bâtiment.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Patrimoine et lieux historiques.
19 janvier 2011 à 15 h 20
Couteux… Probablement plus coûteux qu’un bâtiment sur la base de Valcartier. J’espère qu’ils ne vont pas gaspiller des millions en études et en fouilles (pour trouver des douilles et des boulets rouillés) et mettre toute l’argent sur la bâtisse.
Signaler ce commentaire
19 janvier 2011 à 21 h 38
Dès que c’est un bâtiment historique c’est pas mal plus cher.
Signaler ce commentaire
19 janvier 2011 à 22 h 12
Je sais… Espérons que la salle qu’ils vont aménager servira et sera rentable. Moi j’aurais aménagé un grand musé des forces armées à l’intérieur au lieux de réinstaller les Voltigeurs. Et j’aurais construit un nouveau QG à Valcartier pour les loger. Ça n’aurait pas empêché de garder une partie pour la musique militaire.
Signaler ce commentaire
19 janvier 2011 à 22 h 39
Personnellement, je pense que ce site aurait vraiment pu être mieux exploité… J’aime l’idée de transférer les militaires à Valcartier, je pense qu’ils n’ont plus leur place au centre-ville.
Signaler ce commentaire
21 janvier 2011 à 11 h 36
En effet, pourquoi des militaires bien visibles au centre-ville…au plus près d’un Parlement provincial ?
À l’époque, compte tenu du rôle assigné par les autorités impériales britanniques aux troupes de « voltigeurs » (?), l’emplacement actuel du Manège était cependant tout indiqué.
Signaler ce commentaire
21 janvier 2011 à 22 h 06
voltigeurs = soldats légèrement armés (pour pouvoir courir vite) qui voltigeaient entre les trous d’obus et dont le travail consistait à garocher des grenades sur les soldats de l’armée du Kaiser (armée impériale allemande). Puis, à finir les soldats restants au couteau jusqu’à la victoire ou jusqu’à être tué ou fait prisonnier (plus probable). Je sort ça du livre d’un médecin de l’armée française de l’époque qui raconte ce qu’il voyait.
Pour faire simple, c’était un régiment de chaire à canon. Et maintenant, c’est une réserve pour les missions de l’OTAN et de l’ONU.
Signaler ce commentaire