J’ai souris en lisant “Je me permets d’attirer votre attention sur une situation qui aurait pu inspirer Kafka« , mais peut-être finalement que l’image utilisée par un lecteur de Québec urbain n’était pas assez forte.
La disneyfication du Vieux-Québec est-peut être AUSSI accéléré par la bureaucratisation créé pour le protéger. Qui trop embrasse, mal étreind?
À lire absolument : Révolution de Palet, où l’histoire d’une boulangerie artisanale du Vieux-Québec forcée de déménager à Ste-Foy
18 février 2011 à 15 h 11
Une autre très mauvaise nouvelle…
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18 février 2011 à 15 h 37
C’est triste et « * drôle » à la fois.
En effet, pour continuer sur un ton humoristique, car il ne reste que ça à faire, semble-t-il, peut-être que leur projet aurait pu se réaliser s’ils avaient suggéré à la ville de concurrencer l’Hôtel Dieu de Québec et de construire une belle et magnifique tour de 10 étages à la place de leur commerce actuel ! ! !
Trève de plaisanterie, j’ai lu et me suis délecté lors de la lecture de ce livre alors que j’étais étudiant au cours classique, au milieu des années 60.
J’avais trouvé cela « full » original et que l’auteur avait fait preuve d’une imagination débordante.
Aujourd’hui, on me fait la preuve que j’étais dans l’erreur !
À la lecture de votre nouvelle de ce jour, je leur souhaite d’en faire une pièce de théâtre.
Je suis certain que ça ferait un « malheur ».
Je leur souhaite même que ça puisse contribuer à faire leur fortune ……ça serait trop « * DRÔLE ».
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18 février 2011 à 15 h 43
* AJOUT POUR VOTRE MEILLEURE CONVENANCE :
– Trève de plaisanterie, j’ai lu et me suis délecté lors de la lecture de ce livre
( * LE PROCÈS, de Kafka )
alors que j’étais étudiant au cours classique, au milieu des années 60.
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18 février 2011 à 15 h 59
« DERNIER AJOUT » !
– À partir de ce livre, il a inspiré un film et une pièce de théâtre.
– Ceci dit, je vous en suggère quand même la lecture.
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18 février 2011 à 17 h 21
Triste histoire. Je ne peux pas croire que la ville soit autant à cheval sur sa réglementation, qui de toute façon est beaucoup trop stricte. Il doit bien avoir des solutions pour la rendre plus flexible.
Le risque est que les commerces intéressants disparaissent et qu’on ne se retrouve qu’avec des vendeurs de T-Shirts…
Je ne comprend pas, par contre, pourquoi le propriétaire du commerce souhaitait tant changer de local. Sa localisation enviable n’est certainement pas étranger à son succès en affaire. Son désir de croissance aurait très bien pu se faire en ouvrant une seconde succursale ailleurs.
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18 février 2011 à 17 h 48
J’espère que M. F. Picard a pris le temps de lire le texte mis en lien et intitulé: Révolution de Palet !.
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19 février 2011 à 00 h 09
Et voilà, on met le doigt sur le bobo de ce qui ne va pas dans le Vieux-Québec. Des propriétaires inflexibles qui souhaitent habiter dans une vitrine statique, opposés au moindre dérangement, et une étouffante réglementation qui veut tout controler la moindre audace au nom d’une pseudo-authenticité plutôt artificielle.
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19 février 2011 à 00 h 52
L’article est écrit avec une plume remarquable. Quand je pense que la Ville de Québec a payé récemment une petite fortune pour que se tienne « un sommet » du Vieux-Québec …
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