Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Canada’s best places to live 2010

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 mars 2011 4 commentaires

* Québec au 18e rang et Montréal au 120e

MoneySense’s Best Places to Live is based on data compiled from 179 Canadian cities and towns with populations over 10,000 people. We rated cities based on climate, prosperity, access to healthcare, home affordability, crime rates and lifestyle with subcategories in each area. Being the best in one category does not improve a city’s chances — a city has to score well in all categories to come out on top. Our top city, Ottawa, captured 73.5 out of a possible 105 points. Check out how your own community rated and why.

Le profil de Québec selon MoneySense ainsi que celui de Montréal

Voir aussi : Publications & ressources Internet, Québec La cité.


4 commentaires

  1. Pierre-André

    29 mars 2011 à 22 h 00

    Je réalise vraiment que ce genre d’exercice est très subjectif. Personnellement, si je devais vivre à Repentigny qui est en 6e position vous me trouveriez pendu dans mon sous-sol ;)

    Au contraire Montréal aurait tendance à passer de la 100e position à une des 5 premières!

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  2. Manu

    29 mars 2011 à 22 h 42

    Et n’oublions pas Lévis en 10e place devant Québec…

    En fait, tout ce qui se trouve dans une « récente couronne » de banlieue (ou dont une bonne partie de sa population s’y trouev) a autant de chances de se retrouver dans le haut de la liste que les « grandes villes ». En effat, le taux de croissance de la population (idéal = 7,6% selon eux, soit moyenne canadienne + 2% ) et « l’abordbilité » des maisons comptent pour 25 points sur 105. Ajoutons les « voitures neuves » (4 points) et le faible taux de crime (5 poins) et on a le tiers des points qui sont passablement correllé et assez élevés dans la plupart des « nouvelles couronnes ».

    De plus, dans un région métropolitaine donnée, le taux de non-emploi, la météo et le niveaux de taxes et les soins de santé, sont généralement les mêmes. Un peu plus du tiers des points. Ainsi, pour les points qui restent (un peu moins du tiers), les villes centrales doivent miser sur la culture, les transports en communs, et certains services pour rivaliser avec leurs nouvelles banlieues.

    Toutefois, ce n’est qu’une intuition, car le découpage est assez grossier et on ne peut pas démontrer ce que je viens de dire. D’ailleurs, la note d’ensemble ne vaut pas grand chose selon moi… chacun ses critères. Mais pour chaque critère pris séparément, la comparaison peut probablement tenir.

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  3. Louis M.

    29 mars 2011 à 22 h 53

    Ce genre de comparaison n’a que très rarement de valeur à mes yeux. Les critères choisies et les données (souvent pris sur une base différente d’un endroit à un autre) pouvant faire dire ce que l’on veut à ce genre de comparaison…

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