Québec, le lundi 4 avril 2011 – Un tout nouveau projet domiciliaire d’importance vient d’être lancé à l’extrémité est de Château-Richer, au 8990 boulevard Ste-Anne, à deux pas du fleuve, Les Marées – Berges – Plein Air.
Totalisant des investissements majeurs de 24 M$, ce projet propose pas moins de 49 nouvelles unités loft, condo ou maison de ville en 8 bâtiments au total avec vue exceptionnelle qui se fondent dans un environnement de villégiature et offre même un rare droit d’accès au fleuve !
Les Marées – Berges – Plein Air offre un concept résidentiel contemporain unique et raffiné, dans la nature, à seulement 20 minutes de Québec et tout au plus à 5 minutes du Mont Ste-Anne. Deux petits lacs privés enjolivent le site qui offrira donc également aux résidants l’opportunité d’un accès privé au fleuve avec rampe de mise à l’eau. En tout le site compte pas moins de 1 000 000 pi2 et un très joli sentier pédestre aux abords des berges.
Les trois types d’unités proposés rivaliseront de qualité et d’originalité. Les 7 lofts seront tous situés dans un seul bâtiment pourvu de plafonds de type cathédrale de 15 pieds avec mezzanine optionnelle, poutre et arches de béton apparentes, immense balcon donnant sur le fleuve, aires de vie (salon, cuisine, salle à manger) directement face au fleuve et à l’un des lacs, vue sur les montagnes. Particularité très intéressante, certains des lofts, précisément ceux situés au nord du bâtiment, possèderont une architecture qui permettra aux propriétaire d’avoir eux aussi une vue imprenable sur le fleuve et/ou les lacs.
Les lofts seront aussi dotés d’un « Walk-in », salle de bain complète, coin bureau, fenestration généreuse avec verre acoustique, insonorisation supérieure, garage chauffé, entrée privée avec corridor d’accès au garage et à la sortie, etc. Contrairement aux lofts habituels qui sont des unités constituées d’espaces entièrement ouverts, ceux-ci seront réalisés avec certaines divisions mais portent le nom de lofts car ils seront créés à partir d’une ancienne structure, la bâtisse principale de l’ancien Motel Roland, dotée notamment de murs de briques, etc.
De part et d’autre de cette bâtisse seront érigés 6 bâtiments neufs et modernes constitués de 6 condominiums chacun, offrant également la magnifique vue sur le fleuve, un vaste balcon, deux salles de bain, des aires de vie face au fleuve et aux deux lacs, « Walk-in », coin bureau, salle de lavage indépendante, grande fenestration, entrée privée, etc.
Les maisons de ville Les Marées, abritées dans l’édifice le plus près du fleuve, proposeront six unités, quatre au centre, une au sud et une au nord. Érigées sur deux étages et demi, les maisons de ville possèderont au rez-de-chaussée un grand rangement chauffé, un garde-robe d’entrée et deux espaces de stationnement couvert; au 1er étage on retrouvera la cuisine, la salle à manger, une salle de bain avec douche et l’accès à deux balcons, à l’est et à l’ouest.; au 2e étage, trois chambres à coucher, une salle de bain complète, une salle de lavage, rangement et un 3e balcon pour la chambre des maîtres, face au fleuve, aux lacs et au Mont Ste-Anne, comme les deux autres.
Les lofts et les condos seront pourvus de 41/2 et de 51/2 dont les superficies totaliseront de 1 250 à 1 600 pieds carrés. Ils sont offerts à partir de 205 000$ pour les lofts et 210 000$ pour les condominiums. Les maisons de ville, dotés de superficie habitable atteignant 1 700 pieds carrés sur deux étages, sont proposées à compter de 285 000$.
Le bureau des vents du projet domiciliaire Les Marées – Berges – Plein Air est déjà en opération et la livraison des premières unités est pour le début de l’automne 2011.
Le projet domiciliaire Les Marées – Berges – Plein Air a par ailleurs doté l’ensemble de son complexe d’un souci environnemental et de choix écoresponsables :
• Récupération d’un édifice de béton dont la solidité de structure assure la qualité et l’insonorisation des unités. L’électricité, la plomberie et l’échangeur d’air ont été refaits à neuf pour assurer le respect des normes d’aujourd’hui.
• Remise en valeur du site sans machinerie lourde visant à préserver les boisés et la végétation.
• Politique d’achat axée vers les fournisseurs locaux et en harmonie avec les principes de développement durable.
• Éclairage extérieur atténué mettant en valeur les habitations et la beauté d’un ciel étoilé sur le fleuve.Évidemment, il faut rappeler que le site propose en parfaite harmonie les nombreux avantages et de la ville et de la villégiature et que les services publics autant que les attraits touristiques sont légions. Le projet offre même la possibilité de location d’espace pour support à kayaks et vélos. Plus que jamais, de la fenêtre des condominiums et maisons de ville s’étend un panorama bucolique de l’île d’Orléans jusqu’aux sommets des Laurentides !
Source: Jean Brouillard Communication
6 avril 2011 à 13 h 01
à surveiller : le remplissage sur le fleuve. cette ville à un historique en ce sens…
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6 avril 2011 à 13 h 15
Je suis d’accord avec M. Magellan. Le remplissage est très populaire.
Je déplore le développement sauvage de la Côte-de-Beaupré, route de la Nouvelle-France. Je ne suis pas contre le développement… mais nos élus auraient dû être vigilant et surtout visionnaires. Les constructeurs auraient dû être obligés de s’inspirer de l’histoire des lieux, de l’archicture Nouvelle-France pour les nouvelles constructions. Toute l’essence de la côte est entrain de disparaître avec des suites de développements domiciliaires sans saveur, sans couleur, sans personnalité. Il n’y a pas qu’en montagne comme à Stoneham, où on peut avoir une thématique.
Je suis attristée… fâchée… frustrée…
On développe et puis on se fout du reste. Ce nouveau projet ne fait que confirmer ce qui nous attend pour le reste.
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6 avril 2011 à 14 h 35
Le problème avec le développement « intégré » à l’environnement et à l’histoire, c’est le coût. L’avantage concurrentiel de développer à Château-Richer c’est le faible coût du terrain. Si le promoteur en fait un développement inspirée de la Nouvelle-France (par exemple), il fera grimper considérablement les coûts…parlez-en à ceux qui rénovent dans les quartiers historiques…
Pour ce qui est de la prédominance de la voiture….c’est un fait.
Mais j’admet que ça sent l’absence de vision à long terme…
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6 avril 2011 à 15 h 10
Tout est relatif, s’inspirer du passé pour construire du neuf ne veut pas dire ni construire de l’identique ni d’utiliser des méthodes artisanales de construction. On parle bien de s’inspirer! Il suffit d’avoir un tant soit peu de volonté et un architecte qui travaille en ce sens.
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6 avril 2011 à 13 h 16
La chose qui me saute aux yeux dans les maisons mis en vente, c’est que sur les « trois » étages de chaque maison, l’automobile en occupe une entière à elle seul, plus les stationnements de surfaces situés à l’avant des maisons. Il me semble que ça montre de façon flagrante la dépendance à l’automobile. Donc grosso modo, le promoteur s’attendent à ce que chaque maison utilise 3 à 4 stationnements chacune.
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6 avril 2011 à 18 h 01
Bien d’accord, mais quand tu habite à Château-Richer t’a pas vraiment le choix d’avoir une voiture. Transport en commun nul. Donc 1 voiture pour monsieur, 1 pour madame et 1 autre pour fiston ou fille.
Train de banlieue peut-être ? La voie est là.
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7 avril 2011 à 08 h 52
Pis imagine le cout de chauffage avec ce trou sous la bâtisse… Beaucoup de propriétaires de maison avec garage finissent par décider de laisser le char dehors et convertir leur garage en atelier. Les problèmes de chauffage en hiver font souvent partie des raisons de cette décision.
Dans ce cas le garage n’est même pas fermé, c’est encore pire. C’est meilleur pour le char car il rouille moins ainsi que dans un garage fermé.
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6 avril 2011 à 16 h 17
Bah, comme dirait l’autre, y’a pas de quoi se pâmer! Mettons que ça remporte pas la palme d’or du projet le plus audacieux.
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6 avril 2011 à 18 h 23
Je trouve ça plutôt joli, et plus dense que la plupart des trucs qu’on fait en banlieue.
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6 avril 2011 à 19 h 03
Plus dense mais je suis toujours à la recherche d’une quelconque façade… Bien qu’un peu plus dense, la forme actuelle n’incite aucunement à la marche ou à une quelconque activité dans l’espace public. De plus, on continue à construire des bâtiments qui sont difficilement convertible en autres choses que du logement. Une ville, c’est supposée évoluer sauf qu’à l’heure actuelle on l’en empêche à la fois par des typologies et de la réglementation très peu flexibles.
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6 avril 2011 à 22 h 12
On ne peut pas appliquer les mêmes principes que pour St-Roch ici.
Ils n’ont pas la prétention de réinventer la roue ici.
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6 avril 2011 à 22 h 56
Que ça soit à St-Roch où ailleurs, si l’on ne part pas avec de bonnes prémices de base, on paye cher nos erreur.
Ils n’ont pas à réinventer la roue non plus. Les solutions sont connues, ne reste qu’à les appliquer.
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6 avril 2011 à 22 h 59
Quelles erreurs?
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7 avril 2011 à 08 h 50
Construire trop peu dense, en fonction des voitures et non des humains, construire et réglementer de façon inflexible bloquant l’évolution dans le temps, créer des secteur mono-fonctionnel, créer des trames non perméable et tellement sinueuse qu’il est illogique de se déplacer à pied tellement les distances sont longues, etc.
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7 avril 2011 à 16 h 54
M. Louis, sérieusement, dans l’art de dire un tas de truc théorique qui au final, on en a rien à secouer, vous vous surpassez!
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7 avril 2011 à 18 h 10
Aux dernières nouvelles, les voitures ne se conduisent pas toutes seules non plus. Donc c’est un sophisme que d’opposer « voitures » et personnes. De plus, les gens aiment leur auto, vous semblez penser que les gens ont besoin d’un messie qui va leur montrer une nouvelle façon de vivre sans auto, oubliez ça. Au mieux, on pourra convaincre les gens d’utiliser plus le TEC, mais sans pour autant abandonner complètement la voiture.
De plus, dans le cadre du projet en question, on est à Château-Richer, pas d’épicerie majeure, peu de commerces, donc je ne vois pas pourquoi on imposerait à ce projet de changer la face de Château-Richer.
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7 avril 2011 à 21 h 13
Personne ne demande à personne de se passer de l’automobile. Vive dans une société sans automobile serait une utopie pure.
Par contre, c’est quand même dommage comme société de voir des maisons « de ville » avec autant d’espace pour dormir que de stationnements.
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7 avril 2011 à 22 h 05
@ laéR
Peut-être suis-je théorique, c’est vrai. Mais si ça ne vous intéresse pas tant pis, je ne force personne à me lire. On est ici pour parler d’urbanisme et je m’efforce d’en parler au meilleur de mes connaissance.
@ Goldoche
Je semble peut-être opposer voiture et personne car lorsqu’on conçoit un environnement en fonction des voiture, c’est nécessairement peu propice aux piétons. Dans une ville c’est les piétons qui créer l’animation, l’intensité, et non les voitures. Il est par contre possible de concevoir des espaces publics accessible aux voitures mais conçu pour les piétons, d’autant plus dans de petites rues résidentielles, comme cela ce fait ailleurs dans le monde («woonerf» et «zone 30» par exemples).
Dans le cas de Château-Richer, il est évident que les gens ont besoin d’une voiture, mais de là concevoir qu’en fonction des voitures… C’est malheureux, mais on doit changer ce genre de pratique. Ce n’est pas qu’un projet qui changera la face de Château-Richer, il ne faut pas exagérer tout de même. Mais il faut bien commencer quelque part, sinon on ne fait que pelleter les problèmes en avant.
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7 avril 2011 à 07 h 01
Qui dit vrai?
Selon le Journal Habitation $ 10 millions
Le site du motel Roland va connaître une revitalisation majeure au cours des prochains mois, alors que s’élèveront 49 unités d’habitation en copropriété en bordure du fleuve Saint-Laurent, à Château-Richer. Le projet de condos, lofts, appartements et maisons de ville Les Marées berges et plein air sera érigé sur un vaste terrain de 1 million de pieds carrés. Initiative du promoteur et constructeur Maurice Lachance, le développement résidentiel, qui nécessite un investissement de 10 M$, est chapeauté par les courtiers immobiliers Danièle Boucher, de l’agence de courtage La Capitale Cité, et Yarida Garcia, de La Capitale Québec-Champlain.
http://www.journalhabitation.com/Chroniques/Tout%26hellip%3B-court/2011-01-27/article-2176832/Lhabitation-en-bref-%28edition-27-janvier-2011%29/1
Selon Jean Brouillard communication $ 24 millions
Totalisant des investissements majeurs de 24 M$, ce projet propose pas moins de 49 nouvelles unités loft, condo ou maison de ville en 8 bâtiments au total avec vue exceptionnelle qui se fondent dans un environnement de villégiature et offre même un rare droit d’accès au fleuve.
http://www.jeanbrouillard.com/sections.php?submit=sections§ion=4
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7 avril 2011 à 16 h 57
Je crois Jean Brouillard a raison, le promoteur paye cette entreprise pour émettre un communiqué de presse. Ce qui n’est pas le cas du journal l’habitation, dans lequel j’ai relevé à quelques reprises des informations erronées.
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7 avril 2011 à 20 h 04
Je crois que le journal l’Habitation est beaucoup plus près de la réalité à $ 200 000 en moyenne par unité.
Je crois que Jean Brouillard est dans le brouillard -)
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7 avril 2011 à 18 h 23
49 unités d’habitation pour 24 millions = 500 000 en moyenne l’unité.
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