Voici donc la suite III de ma série amorcée le 17 mars dernier…
Ci-bas, la localisation approximative des images immortalisées en ce 19 avril.
Voir ce billet.
Voici donc la suite III de ma série amorcée le 17 mars dernier…
Ci-bas, la localisation approximative des images immortalisées en ce 19 avril.
Voir ce billet.
Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Commercial, Québec vu d'en haut.
20 avril 2007 à 07 h 14
Vous avez remarqué la solidité des pilliers? Béton, grosses armatures. Un métro de surface devait passer sur le toi parait-il.
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20 avril 2007 à 08 h 48
il n’y a pas une très grande qlté architecturale de ce côté de la rue Du Pont… plutôt minable, non?
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20 avril 2007 à 12 h 24
Une fois les façades des commerces de la nouvelle partie refaites, ça va attirer plus de gens j’imagine…
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20 avril 2007 à 13 h 01
… OUI MAIS LE GABARIT N’EST PAS APPROPRIÉ POUR L’ÉCHELLE DE LA RUE. EN MOYENNE 2 ÉTAGES, C’EST TROP PEU. VERS L’ÉDIFICE LE LALIBERTÉ C’EST PLUS HAUT ET MIEUX.
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20 avril 2007 à 13 h 14
Ces façades était cachées, et de surcroît inaccessibles, en plus d’être séparée en deux parties par la toit du mail…
Ça n’incite pas trop les proprios à les entretenir ou les embellir…
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20 avril 2007 à 13 h 27
Louis: C’est intriguant ton affaire de métro de surface, ça sort d’où?
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20 avril 2007 à 14 h 18
Effiectivement, ça sort d’où?
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20 avril 2007 à 15 h 15
De la bouche…du métro
Je trouve bien drôle en ce beau vendredi après-midi.
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21 avril 2007 à 08 h 58
Le Metro de Surface était un des rêves décrit dans le plan directeur de bétonage de la ville. Je suis tombé là dessus à l’époque où je travaillais à la bibliothèque de Québec. Il doit sûrement en rester des traces aux archives. D’ailleur, les escaliers qu’on pouvais voir de la rue du Pont étaient destinées à l’accès à une station. Regarde bien tes photos Jean, l’espacement des colones, la structure de celles-ci, l’épaisseur du béton (armé)du toit…si on regarde attentivement il est fait pour supporter une charge anormalement lourde pour un simple toit.
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21 avril 2007 à 12 h 55
@louis
Tres intéressant comme trouvaille!
( « Le Metro de Surface était un des rêves… »)
Personnellement, je suis porté a y croire Car ca concorde parfaitement avec les rêves futuristes et délirantes des gestionnaires tecnocrates de l’époque
Les bretelles Dufferin, par ex, étaient planifiés pour une cité futuriste de plus de 2 millions d’habitants…
Il ne faut pas oublier non plus, qu’a l’époque , la démocratie municipale n’existait pas; il n’y avait aucune transparence dans les prises de décision et l’opposition des quartiers ou de la rue était qualifié de « communiste » ou « d’oiseaulogues »
A voir ce projet de métro « dans les airs » c’est a se demander : »qui se prenait ou rêvait en oiseau? »
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21 avril 2007 à 13 h 54
Il ne faut paus oublier aussi que tous ces chantiers n’avaient qu’un seul maître d’oeuvre: La firme Piette, Audy, Lépine. Des grands chums de l’administration Lamontagne. Tout comme Laurent Gagnon avec Peletier. L’avenir était dans l’béton !
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23 avril 2007 à 21 h 28
Ah! Lamontagne! Ah! Jean Pelletier! Oui, ils étaient de leur temps. On parle beaucoup de la moindre corruption de nos jours, telles que les commandites.
Mais à cette époque post-duplessiste, le moindre fait d’en mentionner la possibilité nous faisait passer pour des gauchistes immatures… Aujourd’hui, il s’en trouve beaucoup pour chialer contre le gauchisme, le syndicalisme mais à cette époque où la Droite et le « privé » gouvernaient au municipal et au provincial (dont le retour est souhaité par tant de gens ces temps-ci), la corruption et le lobbying ont laissé leurs traces.
Redonnez le pouvoir au « privé » dans l’urbanisme, les soins de santé et autres secteurs. Vous vivrez ensuite avec les conséquences. Ces gens pensent d’abord aux profits. Les idées, les intérêts collectifs et les visions à long terme, ils n’en ont rien à foutre.
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23 avril 2007 à 21 h 38
Serge, tu m’enlèves les mots de la bouche. Bravo pour ton commentaire… malgré mes petites réserves envers le monopole actuel des grands syndicats! ;-)
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23 avril 2007 à 22 h 21
Je m’égare un peu du sujet, mais en réponse aux derniers commentaires, je dirais qu’il s’agit d’avoir de bonnes balises et de ne pas opérer l’administration derrières des portes closes pour bien intégrer le « privé » au public. Cela peut quand se faire dans une certaine mesure, selon moi, sans tomber dans le « quasi-fascisme économique » de l’époque dont vous parlez.
J’avais justement cette réflexion aujourd’hui à propos du CAA qui offre une grande variété de services à ses membres et aux non-membres, et qui sert souvent d’intermédiaire ou de « dispensaire de services » pour le gouvernement.
Quant au métro de surface, je n’en avais jamais entendu parler… L’avoir construit, le mail serait devenu un « semi-souterrain ». Peut-être est-ce bien quand même d’avoir ramené la lumière sur cette rue (du point de vue « look », et non pas des « bénéficiaires » de la maison Gilles Kègles par exemple). Un jour (peut-être très loin) on ramènera une idée du genre, et ce sera peut-être plus sous forme de monorail surélevé. Le dernier que j’ai essayé était à Sydney, Australie, et s’harmonisait assez bien au paysage :
http://en.wikipedia.org/wiki/Image:SydneyMonorail1_gobeirne.jpg
(note: je ne compare pas Sydney à Québec, je ne parle du monorail que pour l’intérêt de la chose)
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28 avril 2007 à 11 h 32
Il y a même une partie du toit en vente sur eBay, avec des liens qui pointent ici. Ce qui devait être au départ une blague de bureau s’est vu accodé une petit reportage pendant la météo d’hier à TVA.
http://cgi.ebay.ca/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=120113999704
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