Pierre-André Normandin
Le Soleil
(Québec) La Ville de Québec refuse d’accorder un permis au BIXI pour permettre au vélo en libre-service de rouler dans la capitale cet été, a appris Le Soleil. L’hôtelier qui souhaitait importer le projet montréalais garde néanmoins espoir de rapidement faire changer la réglementation stricte du Vieux-Québec lui barrant la route.
* Merci à un fidèle lecteur (Jacques Martin)
29 mai 2011 à 19 h 10
À Larochelle, un service de vélos libre service (appelé yélo – jeu de mot avec vélo et yellow comme seuls les Français savent le faire !) semble géré par la même société que les transports en commun – selon un Québécois actuellement en visite là-bas- et les vélos s’empruntent avec le même abonnement. Pour les touristes, il y a des vélos gratuits.
le lien:http://www.yelo-larochelle.fr/
et le blogueur qui en parle sur son blog:
http://www.photosmax.com/2011/05/souvenirs-de-la-rochelle.html
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30 mai 2011 à 22 h 39
Je prône moi aussi le vélo comme moyen de transport efficace et écologique.
L’idée d’implanter des bixi est une très bonne initiative de la part de cet hôtelier. Ce système de transport gagnerait a être étendue à l’ensemble du territoire de la ville.
Il ne faut pas oublier qu’il y a déjà des vélo en libre service à l’université Laval, gérée par la coop roue-libre si je ne m’abuse.
Néanmoins, j’avoue ne pas bien comprendre l’utilisation du bixi quand un vélo personnelle peut se rentabiliser rapidement. Il est vrai que certaines personnes ne ce sente pas à l’aise pour l’entretient où encore l’entreposage cause problème à certaines personnes qui vivent en appartement.
Ces désagréments peuvent toutefois être réglée en partie par l’achat d’un bon cadenas et on peut ce faire aider pour les réparations par la coop roue-libre.
(Le services et offert à l’ensemble de la population et comporte deux succursale, UL et Garneau.)
Pour un entreposage sécuritaire, si les appartements comportes des stationnements pour les autos, ils devrait y avoir des cabanons pour les vélos.
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30 mai 2011 à 23 h 44
L’avantage du Bixi n’est certainement pas une question de coût. C’est plus le côté pratique. Pour les touristes qui arrivent en ville. Pour ceux qui ne veulent pas risquer leurs vélos très cher. Pour ceux qui n’osent pas prendre leurs vélos le matin pour se rendre au travail mais n’ont pas de problème pour le prendre au retour à la maison en fin de journée, pour ceux qui doivent prendre l’autobus pour une partie du trajet… Dans mon cas, avec une station de Bixi à la place Jacques Cartier et une autre à la traverse Québec Lévis, c’est certain que je le prendrais souvent!
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30 mai 2011 à 23 h 00
Ça semble être un vrai cauchemar d’implanter quoi que ce soit dans le Vieux-Québec : parcomètres, poubelles de recyclage et borne de Bixi, etc., tout est refusé, selon ce que dit l’article. J’ai l’impression que le zèle de certains fonctionnaires du MCCCF fait loi dans ce quartier.
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31 mai 2011 à 00 h 33
La Nouvelle Ville de Québec, issue des fusions, est à se construire. Les résistances sont et seront nombreuses. Plusieurs billets sur Québec Urbain en témoignent. Dans le dossier de ces Bixi opérés par un entrepreneur privé, je dois souligner toute la diplomatie dont il fait part mais aussi l’attitude étonnante de notre Ville. Les vélos à Québec, avec notre climat, ne durent que quelques mois. Pourquoi compliquer ainsi l’initiative de cet hôtelier ? J’ai de la difficulté à comprendre.
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