Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Développement résidentiel à Beauport: l’effervescence se poursuit

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 septembre 2011 9 commentaires

Jacques Bélanger
Beauport Express

Plus que jamais, le cœur de l’arrondissement de Beauport bat au rythme du développement résidentiel. Le Journal de l’Habitation brosse un portrait de la situation pour les différents secteurs. Dans le district de Sainte-Thérèse-de-Lisieux, 80 permis ont été émis pour des unités résidentielles. «Aussi, dans le parc industriel de Beauport, nous avons prolongé la rue Wilbrod-Robert et avons vendu tous les terrains. Actuellement, un entrepôt Canac-Marquis Grenier est en construction», explique Danielle Caron, conseillère en communications pour le compte de la Ville de Québec.

La suite

Voir aussi : Arrondissement Beauport.


9 commentaires

  1. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    2 septembre 2011 à 11 h 38

    Voilà les faits sont là. Ste-Foy (à la tête des ponts et dans Champigny), Charlesbourg (secteur du jardin et sevcteur des roches) et Beauport dans tous les secteurs sont en effervescence et bientôt augmenterons leur nombre de citoyens plus rapidement que le centre-ville déjà densifié et ayant une désertification des vieux murs au point où des services de proximité ferment.

    Au temps de la fusion, les deux-tiers étaient dans ces trois arrondissements et la Haute-St-Charles qui lui aussi est en effervescence. Leur nombre augmentera. On a voulu enlever le trou de beigne au centre-ville mais il s’agrandit.

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  2. fcossette

    2 septembre 2011 à 12 h 56

    D’accord. Mais pour que les gens vivent dans le trou de beigne, il faut que ce soit agréable d’y vivre. Pour l’instant, on attend encore les mesures (espaces verts, aménagements pour vélo et piéton, réduction de le quantité de voiture, du bruit, transport en commun…)

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    • Sim

      2 septembre 2011 à 21 h 00

      Il y a bien d’autres secteurs de la ville qui auraient 100 fois plus besoin de ce genre d’aménagements que le centre-ville. Regardez Sainte-Foy, LÀ il y aurait besoin de parcs, pistes cyclabes, tranport en commun, alouette!

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  3. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    2 septembre 2011 à 14 h 23

    Ca confirme les faits recencés dans le plan de mobilité durable que les nouveaux arrivants s’installeront surtout en périphérie.

    On se préoccupe du trou de beigne subventionné à l’os mais pas des résidents majopritaires dans la périphérie.

    Les eapces verts avec les plaines, il y en a suffisamment. Densifier davantage c,est presque mission impossible. On a juste à regarder les débats acrimonieux sur le projet de l’ilot Irving. Quant aux squatters de la route, les vélos, on en est rendu à démolir des maisons pour les faire passer. Ayoe le confort d’y vivre.

    À part d’être un piège aà touristes ou un rassemblement d’événement festifs, les résidents sont toujours pris à endurer des choses qui nuisent à leur confort. Les plainytes des résidents sur le RED BULL CRASH ICE ou siur la rue des remparts pour le Moulin à image. Quand on est rendu à instaurer un service de navetets pour se rendre au show sure les plaines et que les résidents se plaignent des désordres et de la saleté le lendemain, où est le plaisir d’y vivre…

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    • Sim

      2 septembre 2011 à 20 h 57

      Je suis d’accord avec vous. Je ne comprends pas, mais vraiment pas pourquoi on s’entête à investir des sommes astronomiques dans ce secteur de la ville. C’est dommage, mais je crois sincèrement que c’est peine perdue pour Saint-Roch/Saint-Jean-Baptiste et autres. Je pense de plus en plus de gens se tournent vers Sainte-Foy où, même si ce n’est pas très «piéton friendly», il est facile d’avoir accès aux services. Pourquoi alors ne pas se concentrer sur ce secteur qui aurait tellement plus besoin de revitalisation que le centre-ville actuel? De plus, il me semble que les gens du secteurs sont (relativement) plus ouverts aux nouveaux développements qu’en ville. Il y a un buzz autour de Sainte-Foy, pourquoi ne pas l’exploiter au lieu de jeter l’argent par les fenêtres avec Saint-Roch?

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      • Georges-Antoine

        3 septembre 2011 à 01 h 22

        Je ne sais pas dans quel monde vous vivez mais personnellement j’adore vivre au centre-ville. C’est très vivant.

        Ce n’est pas parce que certaines personnes décident de mener un mode de vie à la Ste-Foy que ça signifie la mort du vrai centre-ville. Il s’agit simplement d’une offre alternative pour une certaine clientèle…

        Il y aura de plus en plus d’investissements dans le vrai centre-ville à l’avenir, j’en suis certain.

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    • Emanuel

      3 septembre 2011 à 09 h 25

      Fréquentant le centre-ville au quotidien, j’y cherche en vain le trou de beigne auquel vous faites référence… S’agit-il de l’îlot Irving ? Le centre-ville de Québec est certainement l’un de ceux qui, en Amérique du Nord, a connu la renaissance la plus formidable. Alors, dans le cas où votre dernière visite remonterait à 1992, je vous suggère fortement d’y faire un tour.

      D’ailleurs Fernand, il y a quelque chose d’épuisant à vous voir constamment postuler que le dynamisme des banlieues se fait nécessairement au détriment du centre, comme si nous vivions en circuit fermé. Les banlieues ont une croissance supérieure à celle du centre… quelle découverte ma foi ! Serait-ce parce que le centre est déjà presque entièrement construit ?

      Et puis, n’habitons-nous pas tous la même région ? Supposez-vous que Beauport et Sainte-Foy se porteraient aussi bien sans la présence du cœur historique de Québec ? Les touristes viendraient-ils par centaines de milliers, et les entreprises souhaiteraient-elles autant investir dans ce qui ne serait qu’une grosse banlieue autoroutière, sans attraits autres que des commerces en nombre plus que suffisants ?

      Cette querelle centre-périphérie montre bien que, malgré l’ouverture d’esprit des dernières années, quelques irréductibles villageois semblent encore habiter le gros bourg…

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  4. PhilT

    3 septembre 2011 à 10 h 13

    Et qu’est-ce qui va mal dans Saint-Jean-Baptiste exactement?

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    • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

      3 septembre 2011 à 11 h 23

      Rien en particulier, seulement comme plusieurs quartiers centraux, la diminution du nombre de personnes par ménage entraîne une diminution de la population. Si on veut maintenir la même population il faut alors construire de nouveaux édifices.

      Il faut aussi constater que l’augmentation de la population dans l’arrondissement la cité-limoilou de 2001 à 2006 a été de seulement 0,7% contre 3,1% pour l’ensemble de la ville.

      On pourra avoir une idée plus précise avec le nouveau recensement.

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