Voici un bel exercice qui, à mon avis, démontrer une chose : inutile de tenter de développer de nouveau secteur en partant de 0 alors qu’on peut améliorer ce qui est déjà existant. Comme l’architecte le dit dans sa conclusion, il y a un beau potentiel sur le Chemin Ste-Foy.
Avant de requalifier entièrement un secteur comme Charest, pourquoi ne pas aller chercher tout le potentiel sur Ste-Foy, René Lévesque et Grande-Allée/Laurier. Il y a là des terrains où le batît actuel pourrait être grandement améliorée, et pour beaucoup moins cher que ce que projette la mairie.
Lecture très instructive. Voici une vision douce de la densification qui devrait rassurer toute personne apeurée par le changement.
L’idée de consolider les trois pôles majeurs dans leur urbanité tout en respectant les ponctuations des grands domaines aérés me semble tout à fait appropriée. La proposition de construire des genres de terminus d’autobus dans chaque pôle est aussi une bonne idée. Les espaces publics, allées, rues et connections diverses qui sont proposées sont indispensables pour consolider le mode de déplacement piéton.
Globalement, je crois que si la ville suit ces recommandations, le chemin Ste-Foy se développera à la fois de manière respectueuse, efficace et durable.
Je me demande comment ils s’y prendrait pour élargir les trottoirs sans couper d’arbres et sans réduire la largeur du Chemin Sainte-Foy (qui est déjà trop étroit)…
J’avoue que c’est un détail qui m’a accroché, même dans une lecture rapide du document. On indique dans au moins un des plans une large de 12m. À titre de comparaison, la section de René-Levesque entre les deux cimetières (juste à l’est de Myrand) est particulièrement étroite. Quiconque passe par là à l’heure de pointe en a une bonne idée. Pourtant, cette section a 12,30m entre les deux trottoirs.
Le document, fort intéressant d’ailleurs, va évidemment bien au-delà de ce simple détail. Mais si pour quelque raison que ce soit on ramène la largeur de la chaussé à 13 ou 14m, ça peut faire dérailler bien des idées avancées.
Effectivement on pourrait prendre les voies de droite (que personne n’utilise vu qu’elles sont pleines de nids de poule) et les partager entre un trottoir élargi et une piste cyclable ;). Ou encore élargir vers les maisons, quitte à ce que les arbres soient sur le trottoir.
5 octobre 2011 à 17 h 03
Voici un bel exercice qui, à mon avis, démontrer une chose : inutile de tenter de développer de nouveau secteur en partant de 0 alors qu’on peut améliorer ce qui est déjà existant. Comme l’architecte le dit dans sa conclusion, il y a un beau potentiel sur le Chemin Ste-Foy.
Avant de requalifier entièrement un secteur comme Charest, pourquoi ne pas aller chercher tout le potentiel sur Ste-Foy, René Lévesque et Grande-Allée/Laurier. Il y a là des terrains où le batît actuel pourrait être grandement améliorée, et pour beaucoup moins cher que ce que projette la mairie.
Signaler ce commentaire
5 octobre 2011 à 20 h 18
Lecture très instructive. Voici une vision douce de la densification qui devrait rassurer toute personne apeurée par le changement.
L’idée de consolider les trois pôles majeurs dans leur urbanité tout en respectant les ponctuations des grands domaines aérés me semble tout à fait appropriée. La proposition de construire des genres de terminus d’autobus dans chaque pôle est aussi une bonne idée. Les espaces publics, allées, rues et connections diverses qui sont proposées sont indispensables pour consolider le mode de déplacement piéton.
Globalement, je crois que si la ville suit ces recommandations, le chemin Ste-Foy se développera à la fois de manière respectueuse, efficace et durable.
Signaler ce commentaire
5 octobre 2011 à 22 h 16
C’est très vieux ce document.
Signaler ce commentaire
5 octobre 2011 à 22 h 22
Je me demande comment ils s’y prendrait pour élargir les trottoirs sans couper d’arbres et sans réduire la largeur du Chemin Sainte-Foy (qui est déjà trop étroit)…
Signaler ce commentaire
5 octobre 2011 à 22 h 42
chut!
Signaler ce commentaire
6 octobre 2011 à 10 h 06
J’avoue que c’est un détail qui m’a accroché, même dans une lecture rapide du document. On indique dans au moins un des plans une large de 12m. À titre de comparaison, la section de René-Levesque entre les deux cimetières (juste à l’est de Myrand) est particulièrement étroite. Quiconque passe par là à l’heure de pointe en a une bonne idée. Pourtant, cette section a 12,30m entre les deux trottoirs.
Le document, fort intéressant d’ailleurs, va évidemment bien au-delà de ce simple détail. Mais si pour quelque raison que ce soit on ramène la largeur de la chaussé à 13 ou 14m, ça peut faire dérailler bien des idées avancées.
Signaler ce commentaire
6 octobre 2011 à 15 h 11
Effectivement on pourrait prendre les voies de droite (que personne n’utilise vu qu’elles sont pleines de nids de poule) et les partager entre un trottoir élargi et une piste cyclable ;). Ou encore élargir vers les maisons, quitte à ce que les arbres soient sur le trottoir.
Signaler ce commentaire