Source : Marc-André Gagnon, Journal de Québec, le 25 octobre 2011
« Audacieuses, intéressantes, innovatrices et sérieuses. » Le maire Régis Labeaume est si emballé par les propositions préliminaires soumises pour les projets d’écoquartiers de la Pointe-aux-Lièvres et D’Estimauville qu’il donne le feu vert à une nouvelle étape vers leur réalisation.
L’analyse des six propositions reçues en juin est maintenant terminée, a fait savoir la Ville de Québec hier, dans un communiqué.
« Je suis encore plus convaincu aujourd’hui que ces écoquartiers deviendront des secteurs distinctifs uniques qui feront rayonner Québec dans le monde », croit le maire Labeaume.
Les mêmes consortiums qui ont pris part à l’appel de propositions préliminaire devraient bientôt prendre part à la deuxième étape du processus, alors que l’appel d’offres formel sera lancé dans les prochaines semaines.
Écoquartiers : les firmes étrangères ne seront pas au rendez-vous.
26 octobre 2011 à 13 h 05
À D’Estimauville , il faudra composer avec les 300 places de stationnement supplémentaires exigées pour l’édifice fédéral.
Il faudra aussi avoir un stationnement incitatif pour le terminus du tramway nommé désir car on ne peut se fier seulement sur le réseau du RTC pour l’alimenter. Les gens de la cote et de l’ile d’Orléans pouraient utiliser le réseau à condition de penser à leur faciliter l’accès avec un stationnement gratuit à proximité. Oublier celà, c’est se condamner à voir plus d’autos au centre-ville..
Signaler ce commentaire
27 octobre 2011 à 12 h 30
Présentation très intéressante du professeur Érick Rivard lors du colloque Innovation.
Nos anciens quartiers (particulièrement Limoilou, mais on peut aussi penser à Saint-Sauveur et, peut-être seulement pour un temps encore, Saint-Roch) sont en réalité des écoquartiers. Ils possèdent une mixité des fonctions et des accès aux espaces vert et au transport en commun qu’il sera difficile de reproduire avec la même qualité dans des écoquartiers construits de toute pièce. Plus que tout peut-être, la mixité sociale et le sentiment d’appartenance y sont des éléments très présents…
C’est moins bling-bling que des immeubles qui sortent de terre, mais la rénovation et la revalorisation des anciens quartiers offrent de belles opportunités pour un développement durable…
http://www.ville.quebec.qc.ca/colloque/2011/index.aspx
10h30, à 8min40 sec
Signaler ce commentaire
27 octobre 2011 à 13 h 12
à un point près je dirais qui est l’utilisation de la rue. Dans les vieux quartiers, chacun a sa place, piétons utilisent le trottoir et automobiles restent dans la rue (ou encore stationnent dans les cours arrières).
alors que je vois plus les écoquartiers comme des endroits où les automobilistes doivent se sentir de trop dans les rues résidentielles car la priorité est aux piétons et que le passage d’une auto est une exception pour se rendre à son stationnement.
Signaler ce commentaire