Isabelle Porter
La Presse
Québec — Les systèmes de gestion souterraine des déchets et de chaufferie urbaine ne font pas partie des exigences de la ville de Québec pour la première phase de l’écoquartier d’Estimauville.
Les documents d’appels d’of-fres qui ont récemment été rendus publics n’excluent pas le recours à ces technologies, mais ils ne l’exigent pas non plus. La biomasse fait partie des suggestions au même titre que d’autres «sources d’énergie renouvelables» comme l’hydroélectricité et la géothermie. Quant au système de gestion souterrain des déchets, il n’est pas mentionné en tant que tel dans les documents.
30 décembre 2011 à 10 h 54
Très décevant comme nouvelle. J’avais beaucoup d’attentes envers ce projet mais maintenant ça n’a plus rien à voir avec Hammarby-Sjöstad. Ça ressemble à un projet immobilier comme les autres. Dans ce cas là, pourquoi est-ce que l’argent de nos taxes devraient servir à financer le développement d’un projet immobilier comme les autres?
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30 décembre 2011 à 14 h 41
Justement, la Ville ne veut (ou ne peut pas) y mettre de l’argent.
Un autre désolant cas où les bottines ne suivent pas les babines. On commence à en avoir l’habitude avec cette administration municipale ….
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31 décembre 2011 à 09 h 41
Si le privé n’ose pas y mettre de l’argent c’est qu’il y a une raison. Mais avec ta logique on devrait flamber l’argent des taxes pour un développement qui risque de devenir un gouffre financier… non merci
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31 décembre 2011 à 11 h 41
Rien à voir avec la logique ! mais beaucoup plus avec les rêves du maire où on flambe l’argent des taxes : amphithéâtre, subventions aux tenanciers de bar de Grande Allée, tramway sur Charest, Rapaille, etc … Le gouffre financier est déjà là, modestement désigné comme étant la dette énorme de la Ville.
Et aussi pour pour souligner qu’il y a une marge énorme entre les rêves et la réalité, n’en déplaise à beaucoup de mes concitoyens qui se complaisent béatement dans les rêves qu’on leur fait miroiter
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31 décembre 2011 à 13 h 26
Tramway ? Il n’y en aura jamais à Québec. Oubliez ça. Quant à l’amphithéâtre, il deviendra vite essentiel à la vie de Québec. J’en suis certain. Pour le reste, soit l’avenir financier de la nouvelle ville de Québec, je vous propose de vous attarder au financement du régime de retraite de nos fonctionnaires plutôt que Clotaire Rapaille. Les régimes de retraite à prestations déterminées, partout au Québec, vont faire l’objet de décisions cruciales en 2012. Bonne Année. Et merci pour votre participation à Québec Urbain :)
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1er janvier 2012 à 15 h 21
j’espère qu’ils vont pas flamber l’étude du MTQ de 5 millions… il nous faut un tram!
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30 décembre 2011 à 16 h 45
Finalement un quartier comme tous les autres. Mais avec la bannière Nouveau/ Amélioré- Nouvelle formule, comme sur les boîtes de détersif.
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31 décembre 2011 à 05 h 06
*ahahahahahah*
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1er janvier 2012 à 17 h 07
On se calme… C’est quand même le promoteur qui montrera le plus « patte verte », qui remportera la palme ! À ce que je sache, il n’y avait aucune exigence pour que la Cité Verte soit équipée de tel ou tel équipement éco-responsable, ni aucune norme minimale autre que pour la densité pour que SSQ utilise des technologies ou des aménagements « verts ». Pourtant, cet éco-quartier sera équipé d’une chaufferie à la biomasse (elle est déjà construite), d’un système de gestion des déchets souterrain des déchets (en construction présentement), d’un système très poussé de gestion des eaux de pluie, avec jardin de pluie, canaux et bassins de rétention… C’est faux et simpliste de dire qu’à cause de l’absence d’exigences minimales ça ne sera qu’un développement comme les autres.
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2 janvier 2012 à 17 h 43
Faut pas confondre la Cité Verte de la SSQ et les projets d’écoquartiers de l’administration municipale quand même …
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3 janvier 2012 à 12 h 59
Il n’est pas question de confondre, les écoquartiers de Pointe-aux-Lièvres et d’Estimauville seront également développés par l’entreprise privée, sauf que, contrairement à la Cité Verte qui était une initiative (au niveau de l’aménagement je parle) entièrement privée, sans aucune exigence de la Ville, les deux autres devront être réalisées selon des balises minimales imposées par la Ville.
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