Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


L’universitaire et l’automobile

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 janvier 2012 42 commentaires

Yvon Larose
Au Fil des Évènements

Des déplacements plus écologiques

Comparés aux autres citoyens, les membres de la communauté universitaire sont beaucoup moins nombreux à prendre l’automobile, du moins lorsqu’ils se rendent sur le campus

Les conducteurs de la communauté universitaire prennent en moyenne 30 minutes pour leurs déplacements entre leur domicile et l’Université. En comparaison, les usagers de l’autobus consacrent 28 minutes à ces trajets «porte à porte». Les cyclistes et les piétons, eux, ont besoin en moyenne de 17 minutes

La suite

Un billet précédent

L’enquête 2011 et l’enquête de 2006

Voir aussi : Transport en commun.


42 commentaires

  1. Matrix

    5 janvier 2012 à 12 h 12

    Ils attendent de commencer à travailler et gagner un bon salaire pour s’acheter une auto, parfaitement normal.

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    • Simon Duchesne

      5 janvier 2012 à 16 h 14

      C’est indignant de voir des commentaires à vue si courte.

      En tant qu’Étudiant à l’université Laval, les facteurs qui font que les étudiants n’ont pas nécessairement d’auto, sont plutôt que:

      le parking coûte cher,(comme le disent les autres commentaires) et s’avère plus long que l’autobus très souvent, pour se stationner et se rendre à son pavillon.
      Les jeunes sont nettement plus conscientisés à prendre les ressources que l’on Signaler ce commentaire

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      • Pier Luc

        5 janvier 2012 à 16 h 48

        Ça c’est ce que le monde disent pour bien paraître. La réalité:
        – Voyager en voiture coûte plus cher qu’en autobus.
        – Le RTC offre un service efficace pour se rendre à l’Université et dans les Cégeps.

        Une fois les études terminées, si le lieu de travail n’est pas accessible en autobus, la conscience écologique vas prendre le bord.

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      • Simon Duchesne

        5 janvier 2012 à 17 h 02

        J’ai également fait la distinction. La différence en nécessité de s’acheter une auto véritable (comme tu viens de le faire) et fausse, (comme il vient de le faire), est évidente. Si j’habitais toujours en région, je ne me garderais pas de m’acheter une voiture, l’autobus n’existant tout simplement pas.
        Néanmoins, il faut se rappeler que la densification de la capitale est une chose importante ces-temps-ci, l’utilisation du réseau de transport augmente et que plus de gens resteront près de leurs lieux d’activités et/ ou des centres urbains, moins ils sentiront le besoin d’acheter une automobile.
        La question écologique seulement est importante, mais les autres facteurs aussi. La libarté selon moi n’est pas inclusivement dans l’automobile. Tout dépendant des choix de vie que l’on fait.

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  2. Sebastien D

    5 janvier 2012 à 12 h 26

    Le coût de la vignette de stationnement doit expliquer environs le quart des gens qui utilise le vélo ou le transport en commun.

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  3. Pier Luc

    5 janvier 2012 à 13 h 09

    Il y a aussi que l’Université est un endroit où il est extrêmement facile de se rendre en autobus. C’est la vache à lait du RTC et ils y mettent le paquet.

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  4. FierUrbain

    5 janvier 2012 à 16 h 49

    Moi-même étudiant de l’Université Laval, je trouve que le campus de l’UL reste tout de même un des campus le plus anti-piéton que je connaisse. J’ai vu des campus universitaires aux États-Unis, en Ontario, en Espagne, en France, en Suède et en Allemagne, et j’ai fait mon baccalauréat à l’Université Bishop’s. Jamais je n’ai vu un campus avec autant de stationnements, de routes et si peu de passages piétonniers, qui ne sont par ailleurs jamais respectés. L’automobile reste omniprésent sur le campus de l’Université Laval. Ils affirment avoir construit un campus à l’américaine, alors qu’il n’a rien d’un campus anglo-saxon.

    Je concède que le campus est facilement accessible en autobus (une chance!), mais les résultats de l’étude sont à la fois encourageantes et décourageantes. La jeunesse québécoise n’est pas aussi écologique qu’elle ne le croit.

    Québec reçoit par ailleurs beaucoup d’étudiants des régions (désolé, mais on va en parler) qui, eux, n’ont jamais connu le transport en commun et qui ont un volant dans les mains depuis l’âge de 15 ans.

    Que la rentrée scolaire fasse augmenter de façon considérable la congestion automobile démontre déjà qu’il y a un gros problème…

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    • Simon Duchesne

      5 janvier 2012 à 17 h 03

      également d’accord avec toi, beaucoup de travail à faire dans la grande ville.

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      5 janvier 2012 à 17 h 19

      Je ne sais s’il faut en tirer une conclusion, mais les stationnements de l’Université Laval (9000 places) sont pleins. Les utilisateurs doivent débourser entre 185 et 370 $ par session pour posséder une vignette de stationnement, selon les zones plus ou moins près des pavillons.
      Une photo vaut mille mots

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      • FierUrbain

        5 janvier 2012 à 17 h 29

        Oui, voilà.

        Bien honnêtement, ce n’est pas parce que l’Université Laval s’est mise au triage de déchets et qu’elle a permis à une coop de vélos de s’installer sur le campus qu’elle est soudainement devenue un campus «durable». Le campus sera durable le jour où il limitera son accès à l’automobile.

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      • KarlDerGroße

        6 janvier 2012 à 02 h 25

        La photo est excellente, surtout qu’on voit également Robert-Bourassa. Je trouve le campus sclérosé et les pavillons trop loins des uns les autres. Ça m’arrive souvent d’arriver à des cours avec du retard à cause de la distance. J’aurais aimé étudier à Laval dans le vieux temps où elle était encore dans le Vieux-Québec. Le cadre aurait été beaucoup plus dynamique, stimulant et motivant!

        P.S.: À quand l’ouverture d’une deuxième université à Québec? :)

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    • Sebastien D

      6 janvier 2012 à 08 h 11

      Je suis d’accord avec l’ensemble du comentaire de FierUrbain, sauf pour ce qui es des passages piétonniers. Je concède qu’il y a plusieurs automobilistes fautifs, mais je crois aussi que le campus est l’endroit où les passages sont le plus respectés. En fait, peut-être même le seul endroit. Celui qui traverse la rue du séminaire à côté du Peps est sans doute le passag piétonnier les plus respecté a Québec. J’en suis même un peu surpris à tout les jours.
      Par contre il y a une certaine confusion entre le stationnement du Stade et le Vachon. Il y a 3 endroits où les piétons semblent y voir des passages alors qu’il n’y en a qu’un. Et les automobilistes mal éduqués comprennent mal la différence entre la pancarte blanche et la jaune, d’où certains freinages inatendus.
      Mais bon, le campus semble malgré tout l’endroit où les piétons et les vélos semble avoir pris le dessus sur les automobilistes. Encore faudrait-il qe les cyclistes respectent eux aussi le code de la route.

      Signé: Moi, qui circule sur le campus très régulièrement en utilisant ces 3 moyens de transports.

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  5. Patrick

    5 janvier 2012 à 22 h 20

    Avez vous penser de demander au gens qui répondent à ce sondage ou ils résident et ou ils travaillent c’est peut être ca qui fait que l’auto prend plus de temps. Pour ma part j’ai fait le test et ma voiture est bien plus rapide que l’autobus. Même la fameuse 800 prend 20 minutes de son point de départ jusqu’a la cité universitaire et en suite il y a une marche d’au moins 5 minutes pour rejoindre les autres pavillons. Le même trajet me prend 10 minutes en voiture. Donc la seule chose que le sondage fait ressortir c’est que les étudiants qui n’utilisent pas l’auto restent proche de l’Université.

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      5 janvier 2012 à 22 h 52

      Selon vous, entre 20 (+5 de marche) minutes en autobus et 10 minutes en automobile, il vaut mieux alors privilégier l’automobile ? Malgré les coûts inhérents à l’usage d’une automobile ? Avez-vous une opinion là-dessus ? Merci.

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      • Denisb

        6 janvier 2012 à 11 h 34

        En effet, là est la question. Les gens sont-ils si pressés que ça que ça en vaut la peine de payer 5 000 $ par année et plus pour avoir une automobile. Je peux comprendre pour les gens dont ça prend plus d’une heure (comme c’était mon cas d’ailleurs quand j’allais à l’université), mais pour une différence de dix minutes, je pense qu’il s’agit plus une question de vouloir avoir sa voiture.

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      • Matrix

        6 janvier 2012 à 12 h 12

        À Quebec, la forte majorité de la population a besoin d’une automobile dans la vie de tous les jours, il est tres difficile de s’en passer.

        Donc pour quelqu’un qui possède déja une voiture, et qu’on calcul le prix de l’essence vs le prix de l’autobus…pour le simple voyage travail-maison ou université-maison, la différence est pas si grosse que ca…

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      • PhilT

        6 janvier 2012 à 12 h 18

        Non seulement ça, mais quand j’allais à l’université je profitais de mon temps dans l’autobus pour réviser mes notes ou faire mes lectures de notes de cours. Le temps de trajet est une chose, mais pouvoir faire autre chose pendant le trajet est certainement un avantage.

        Encore aujourd’hui je prends l’autobus « à temps partiel » (nous avons une auto + 1 passe d’autobus) et c’est surtout à l’heure de pointe que je l’apprécie le plus: au lieu d’être pogné dans le traffic avec une gang de stressés je peux décompresser, penser à autre chose et écouter de la musique ou des vidéos. Au final j’arrive plus reposé à la maison, ce qui vaut pas pour moi mal plus que le dix minutes que je « perds » (30 min pour la bus vs 20 min pour l’auto). Et de toute façon, au nombre d’heures que la personne moyenne (moi le premier) passe devant la TV/Internet, est-ce qu’on est vraiment à 10 minutes près?

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      • Manu

        6 janvier 2012 à 12 h 46

        Ça dépend…

        pour un étudiant qui travaille « typiquement sur un horaire atypique », ça peut faire une bonne différence entre attendre 20 minutes + 60 minutes de bus en période creuse pour se rendre au resto où il travaille à temps partiel, que de prendre 20 minutes pour faire ce trajet en auto. En dehors des heures de pointes, et moindrement qu’on se dirige en banlieue, c’est plutôt 60 minutes qu’on peut sauver.

        Aux heures de pointe, on peut quand même sauver 15 à 30 minutes dans chaque direction si on habite en banlieue ou même assez près à Ste-Foy. Quand on ne doit s’occuper de personne d’autres que soi-même ce n’est pas un problème. Mais pour les 10 ou 12 000 personnes qui travaillent à l’université, il y en a sûrement un bon nombre dans le lot qui travaillent sur un horaire régulier et qui ont des enfants à transporter à la garderie ou même à l’école primaire. On ne décide pas toujours de l’école et rarement de la garderie (on est content d’en avoir une), et encore moins de leurs heures. Dans ces cas, 15 minutes peuvent faire une grande différence. De plus, il faut ajouter au 15-30 minutes le délai entre l’heure de l’auotbus et celle du travail ou de la garderie. Par exemple, si on doit prendre un autobus qui arrive à 17h05 pour arriver à destination avant 17h30 (en supposant qu’on ait laissé l’auto là le matin, on en a encore besoin…) et qu’on doit pour ce faire prendre l’autobus à 16h20, mais qu’on termine à 16h30, ça ne fonctionne juste pas… mais en auto ce n’est absolument pas un problème.

        Il y a sûrement tout plein d’autres cas où il ne s’agit pas de vouloir sauver à tout pris quelques minutes, mais plutôt une ou deux heures par jour, ou simplement être en mesure de respecter d’autres contraintes horaires.

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      • Patrick

        7 janvier 2012 à 10 h 16

        @Gérald Gobeil :
        « Selon vous, entre 20 (+5 de marche) minutes en autobus et 10 minutes en automobile, il vaut mieux alors privilégier l’automobile ? Malgré les coûts inhérents à l’usage d’une automobile ? Avez-vous une opinion là-dessus ? Merci. »

        Les coûts inhérents à l’usage d’une voiture ne sont pas beaucoup plus élevés quand on la possède déjà. Je paye déjà l’immatriculation les assurances et l’entretien alors la seule différence pour moi entre l’autobus et ma voiture c’est celle entre le prix de l’essence et mon stationnement et celui d’une passe d’autobus. Mon calcul est fait les 10 minutes 2 fois par jours/5 jours semaine, sans compter que si j’ai besoin de retourner chez moi entre deux cours à cause d’un imprévue je peux me le permettre, valent amplement la peines. Et ici on parle d’un trajet court qui n’est pas la moyenne des trajets, quand je restais chez mes parents à L’Ancienne-Lorette, en plein heurs de points (dans le temps que duvalon était utilisable) ça me prenait 13 minutes en voiture et pratiquement 1h en autobus.
        J’aurais aussi envie de vous poser une question. Avez-vous une voiture? Merci

        @PhilT :
        « Non seulement ça, mais quand j’allais à l’université je profitais de mon temps dans l’autobus pour réviser mes notes ou faire mes lectures de notes de cours. Le temps de trajet est une chose, mais pouvoir faire autre chose pendant le trajet est certainement un avantage. »

        Ce que vous faite dans le trajet je le fais à la bibliothèque grâce au temps que je sauve. Et à moins de mauvaises fois vous allez acquiescer que 45 minutes bien assit dans un endroit calme est beaucoup plus productif que 60 minutes dans un autobus entassé. Chacun sa gestion du temps!

        @PhilT :
        « Encore aujourd’hui je prends l’autobus « à temps partiel » (nous avons une auto + 1 passe d’autobus) et c’est surtout à l’heure de pointe que je l’apprécie le plus: au lieu d’être pogné dans le traffic avec une gang de stressés je peux décompresser, penser à autre chose et écouter de la musique ou des vidéos. Au final j’arrive plus reposé à la maison, ce qui vaut pas pour moi mal plus que le dix minutes que je « perds » (30 min pour la bus vs 20 min pour l’auto). Et de toute façon, au nombre d’heures que la personne moyenne (moi le premier) passe devant la TV/Internet, est-ce qu’on est vraiment à 10 minutes près? »

        Pour ce qui est du concept de relaxer chacun son tempérament. Moi ça me stresse bien plus d’être pris debout en sandwich entre deux personne qui sente le parfum ou la transpiration que bien confortable dans mon auto après avoir passé 8h debout pour mon travail. Sa me stresse encore plus de pas être maitre de mon déplacement et de pouvoir faire quelques arrêt à ma guise ou des détours pour soit éviter le dit trafique ou juste pour en profiter et faire l’épicerie et pouvoir ramener mes 4 sacs dans le coffre de ma voiture. Je dis pas que l’autobus est inutile je trouve ça très pratique quand je ne suis pas pressé et que je veux aller prendre un verre en ville et ne pas chercher de stationnement et pouvoir l’échapper la tête tranquille. Mais si je veux veiller plus tard que ce que le RTC dicte je dois revenir en taxi et à la fin de ma soirée ça m’a couté plus cher qu’avec ma voiture et Tolérance Zéro.

        Un moment donné il faut arrêter de vouloir imposer son mode de vie/transport à tout le monde. Personne ne vous force à avoir une voiture alors laissé moi tranquille sans ma passe du RTC. Puis-je avoir le droit d’être le seule juge de ce qui est le mieux pour mon mode de vie et mon bien être? Est-ce que c’est possible d’arrêter de prendre des « Études » pour du cash quand elles sont teinté d’intentions et orienté vers une réponse? Bientôt une étude va démontrer que la voiture donne le cancer du pied et tous les autobuseux* vont faire l’éloge de cette absurdité!
        *autobuseux : Ceux qui prêchent le dieu autobus sans même réfléchir. Mettez le chapeau s’il vous fait. Si le terme vous choque, vous êtes peut-être plus religieux que vous le croyez!

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        7 janvier 2012 à 16 h 08

        @ Patrick Une auto ? Oui.

        Et je vous cite « Puis-je avoir le droit d’être le seule juge de ce qui est le mieux pour mon mode de vie et mon bien être?  » Réponse: Non. A moins de vous acheter une île déserte.

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    • Sebastien D

      6 janvier 2012 à 08 h 17

      Mon expérience est assez simple, en voiture, ca me prend 10-12 minutes. En autobus, c’est légèrement plus que 60minutes.
      Heureusement, je ne fait qu’y déposer mon épouse, donc je n’ai pas à payer le stationnement. Mais de où nous habitons (quartier Jouvence), l’autobus est une horreur. C’est donc le vélo l’été et la voiture l’hiver.

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    • Manu

      6 janvier 2012 à 12 h 33

      Oui, ils ont pensé de le demander: en distance parcourue, c’est en moyenne 17 km pour l’automobile, et 9,6 km pour l’autobus.

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    • Patrick

      8 janvier 2012 à 08 h 46

      « Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      7 janvier 2012 à 16 h 08

      @ Patrick Une auto ? Oui.

      Et je vous cite « Puis-je avoir le droit d’être le seule juge de ce qui est le mieux pour mon mode de vie et mon bien être? » Réponse: Non. A moins de vous acheter une île déserte. »
      Alors je vous prierais de faire de même au lieu de juger les autres. Il est beau votre idéal ou une minorité non élue, décide pour la majorité de ce qui est bien selon leurs jugement et interdit aux autres d’être juge. Vous n’avez pas le monopole du bon sens mon cher!

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        8 janvier 2012 à 12 h 51

        Ce qui m’étonnera toujours dans un discours comme le vôtre, c’est l’émotivité. Qui vous fait oublier un constat facile à faire. L’usage de l’automobile n’était pas, n’est pas, et ne sera pas interdit à Québec. Alors pourquoi en faire toujours un drame émotif à chaque fois que le sujet est abordé ? De quoi avez-vous si peur ? Enfin, puisque vous mélangez les genres, je vous rappelle qu’il n’y a ici aucun débat sur la minorité, la majorité, le jugement, etc. Des chercheurs ont fait une étude dont ils ont publié les conclusions. C’est tout. Et vous avez parfaitement le droit d’être en désaccord avec cette étude.

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  6. laéR

    6 janvier 2012 à 09 h 07

    Il n’y a pas si longtemps, c’était le bordel pour avoir une vignette 1 ou 2.
    Avec de la chance, on avait une vignette 3. S’il y avait 20 000 espaces de stationnements, ils seraient tous comblés, j’en suis convaincu.

    Est-ce que cela a changé????

    Encore un article de mauvaise foi.

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  7. JP

    6 janvier 2012 à 10 h 04

    Un résultat de cette enquête m’étonne: ceux qui vont à l’université en autobus habitent en moyenne à 9,6 km de l’université.

    C’est loin!

    Selon Google Maps le Domaine Maizeret est à 8,3 km vers l’est, les Galeries de la Capitale sont à 8 km vers le nord, la marina de cap-Rouge est à 8 km vers l’ouest…

    Il n’y a pas beaucoup d’étudiants au centre-ville, quelle que soit notre définition du centre-ville!

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    • Manu

      6 janvier 2012 à 12 h 30

      En effet, c’est la moyenne, c’est donc dire qu’une bonne partie habite aussi plus loin.

      Il faut toutefois faire attention, c’est une moyenne et non une médianne. Autrement dit, cela ne veut pas dire que la moitié habite plus loin. Par exemple, s’il y a deux personnes qui habitent St-Jean-Baptiste (distance parcourue, et non à vol d’oiseau, d’environ 6km) et qu’une autre personne dois parcourir 16,8 km (Charlesbourg, hauteur Jean-Talon), ça donne une moyenne de 9,6km.

      D’ailleurs, de nombreux étudiants habitent chez leurs parents et ont, pour la plupart entre 20 et 25 ans. Au pif, je dirais qu’une bonne portion de ces parents se sont établis dans les banlieues qui se développaient il y a environ 25 ans justement. Plus le temps avance, plus le nombre de ménage augmente et plus on va loin pour construire des maisons ou autres habitations de faibles densité. Alors si tout ça est vrai, on peut s’attendre à ce que ce groupe d’étudiants soit de plus en plus loin de l’Université avec les années. Il y a d’ailleurs pas mal de monde dans tous l’ensemble express 300 du RTC…

      Ajoutons à cela le viraillage dans les quartiers de certains parcours, et c’est pas long que la distance parcourue augmente.

      Donc oui, à première vue, 9,6km d’autobus ça semble beaucoup, mais à bien y réfléchir, ce n’est pas si surprennant que ça

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      • JP

        6 janvier 2012 à 14 h 45

        Tu as raison. Mais d’un autre côté, si j’ai 22 ans et que j’habite chez mes parents dans Charlesbourg… ça se peut que je m’achète une voiture.

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  8. dans le 1000 Utilisateur de Québec Urbain

    6 janvier 2012 à 15 h 57

    Pour ceux qui prennent le bus et qui doivent additionner le temps de voyage supplémentaire à celui de l’automobile, + le temps de réserve nécessaire (le dernier autobus disponible pour arriver a tant à destination), il faut également doubler virtuellement ce temps.

    Par exemple, si le voyage en autobus prend 20 minutes de plus qu’en voiture, et que l’horaire de la dernière autobus que vous devez prendre, vous fait débarquer à 8h10 pour arriver à temps au travail à 8h30, celà fait donc 40 minutes.

    Donc 40 minutes de plus pour le déplacement mais également 40 minutes de moins pour dormir le matin.

    Sur le temps global de voyagement dans cet exemple, si l’on compte 40 minutes le matin et 40 minutes le soir (supposant que l’autobus ne vous attend pas nécessairement à la porte lorsque que vous terminez le travail), cela fait 1h20 par jour. Pour quelqu’un travaillant à l’année et qui a en moyenne 3 semaines de vacances, cela fait 325 heures de plus de voyagement par année qu’en prenant sa voiture.

    Donc 13,5 jours de plus par an. 13,5 jours de moins pour ce reposer, s’entrainer ou s’occuper des enfants!

    Bien sur, l’automobile va couter plus cher mais comme on dit, le temps, c’est de l’argent!

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  9. Alex

    7 janvier 2012 à 08 h 20

    Salut!

    Je ne comprends pas les gens qui disent que l’université Laval sera plus durable le jours où elle limitera ses espaces de stationnement. J’ai de la difficulté avec ce concept. C’est comme refaire un autoroute avec moins de voies pour que ceux ci prennent l’autobus.
    Je crois que la population (ville et banlieue) opteront pour le transport en commun lorsqu’une bonne alternative leur sera proposé (ex: Métro, tramway). J’ai vécu à Vancouver et j’avais une auto ,mais depuis l’arrivée du sky train, l’auto a pris le bord!

    Alex

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    • Patrick

      7 janvier 2012 à 10 h 25

      L’Université à déjà limiter les espaces de stationnement! Quand je suis rentré à l’Université Laval en 99 (oui ca fait longtemps, mais j’ai pris un break et je reviens pour autre choses) le derrière du Vandry était un Stationnement 2 au grand complet, aujourd’hui une grand partie est amputé (Héma Québec plus restructuration) et la moitié, voir plus de ce qui reste est devenu un stationnement 1 (beaucoup plus cher). Le coté du Vandry est aussi devenu un 1 au lieu de 2. Les stationnement 1 sont presque tous vide mais les 2 et 3 sont plein. Le message est clair, si tu as pas d’argent on veut pas te voir prendre ta voiture.

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      • Manu

        7 janvier 2012 à 13 h 51

        Quant à moi, l’Université pourrait charger encore plus cher, et ce ne serait pas un problème… une vignette 3 ça revient à 38$/mois (toutes taxes incluses) pour 2 sessions, ou 35$/mois pour l’année entière. En ville on trouve rarement un des places de stationnement à moins de 100$ par mois et ça peut être assez loin de notre destination pour que ça n’en vaille même plus la peine.

        Dans le fond, même une vignette 1, à environs 70$/mois pour 12 mois, c’est pas cher… pas cher dans le sens qu’on pourrait augementer substantiellement les prix de toutes les catégories, et ça se vendrait encore. Puis l’université récolterait encore plus d’argent. Autrement dit, c’est présentement en-dessous du prix du marché.

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      • Patrick

        8 janvier 2012 à 08 h 48

        @Manu: Faut aussi prendre en considération qu’on s’adresse à un marché étudiant? L’autobus pour les étudiants est aussi sous le prix du marché (quoi que pour les adulte aussi en regardant toutes les subventions)

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  10. Julien

    7 janvier 2012 à 15 h 18

    Beaucoup de chialage, mais pas beaucoup de propositions pour rendre le campus plus agréable aux transports actifs.

    Le seul coin bien réservé aux piétons l’avenue des Sciences humaines qui ne débouche nulle part et qui est partiellement réservée aux piétons.

    C’est sûr qu’on ne peut pas déplacer les pavillons par magie pour les rapprocher, mais il y a sûrement des choses qui peuvent être faite pour faciliter les transports.

    Déjà des pistes cyclables se sont ajoutées sur le campus dans les dernières années. Il y a déjà été questions de route réservée aux autobus et interdites aux autos, mais cela ne semble pas déboucher.

    Les prix des stationnements sont effectivement bas par rapport aux immeubles environnants (ex Place de la Cité ou le Jules Dallaire). Est-ce un incitatif à prendre l’Auto?

    Il faudrait peut-être limiter la circulation de transit (entre autres, le soir, beaucoup de gens coupent par l’université sur Laurier Ouest pour prendre RB nord et sauver l’intersection)

    En rêvant, on pourrait imaginer des bus électriques qui se promènent entre les pavillons.

    Des gens ont d’autres idées??

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    • Patrick

      8 janvier 2012 à 08 h 51

      @Julien : Place de la cité et Jules Dallaire me coutent rien quand j’y stationne! Idem pour Place Ste-Foy. Dailleurs si on augmente trop le prix des stationnement universitaire on va juste déplacer les étudiants à ses endroit qui sont collé sur l’université et dont les stationnement sont gratuits!

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  11. Alex

    7 janvier 2012 à 18 h 49

    @ Julien

    Bah, tous les pavillons sont reliés par des souterrains… ! La solution: Marcher lorsque nous sommes sur le campus :)

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  12. dan

    7 janvier 2012 à 20 h 35

    Un parking souterrain en dessous d’une futures bâtisses ne ferais pas tord pour faire disparaître tout les parkings extérieur. Puis messemble que sur le bord du chemin st-foy y devrais tellement y ajouter une tours de résidences étudiantes.

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  13. Audibert

    9 janvier 2012 à 09 h 49

    Une solution (mais chauffé…)
    ;-)

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