Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Des pistes cyclables à Québec: La suite

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 février 2012 5 commentaires

Samuel Auger
Le Soleil

(Québec) Les aménagements cyclables en ville sont peu coûteux, et la Ville de Québec ne devrait pas annoncer des chantiers majeurs de 4,6 millions$ pour le parcours cyclable partagé («vélo boulevard»), soutient Accès transports viables.

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Voir aussi : Vélo.


5 commentaires

  1. Francis L Utilisateur de Québec Urbain

    19 février 2012 à 16 h 04

    Je crois qu’il serait en effet plus transparent de diviser les coût. Vite comme ça, 4,6 M$ ça semble beaucoup. Mais peut-on réellement inclure des travaux sur le réseau d’aqueduc et dire que les cyclistes vont en profiter?

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  2. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    20 février 2012 à 10 h 58

    Si on avait pas exigé. de détourner le trafic ces travaux nmauraient pas été planifiés. Les exigences des vélomanes entrainent ces coûts qu’ils le reconnaissent ou non. Ils ont emntrainé dans la région pour 41 millions de coût le tout en pasant la note aux automobilistes et motoneigistes et véhicules tout terrain et propriétaires fonciers. Ces deux derniers moyens de transport payent des frais d’immatriculation qui financent les travaux d’aménagement et eux n,ont pas droit de circuler ni sur les routes, ni sur les pistes cyclables.

    Essayer de montrer que ca coûte rien est le lot de cet organisme subventionné.

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  3. Flam Utilisateur de Québec Urbain

    20 février 2012 à 21 h 41

    La plupart des cyclistes que je connais possèdent une voiture et payent des frais reliés à l’immatriculation et au permis de conduire. Cependant, à chaque fois que j’utilise mon vélo pour me déplacer je ne reçois pas de remboursement pour ces frais. Pourtant, je déteriore moins le réseau routier, je diminue la pollution et j’ai un effet positif sur le traffic automobile aux heures de pointe. Sauf l’hiver, j’utilise régulièrement mon vélo pour me déplacer. Par conséquent, je suis en très bonne forme physique. Je fréquente peu les hôpitaux et cliniques médicales, et pourtant je ne reçois pas de réduction d’impôt pour mes bonnes habitudes.
    Ces fameuses pistes cyclables sont souvent des pistes multi-usages. Les utilisateurs sont des cyclistes, mais on y voit beaucoup de piétons, patins à roues alignées, poussettes, etc.
    Si on veut privilégier des moyens autres que la voiture, il faut aussi des infrastructures pour l’ulitisation de ces alternatives.
    Les trottoirs font aussi partie intégrante du réseau routier urbain, et ces mêmes piétons ne payent pas de frais pour leur utilisation. Pourtant personne ne s’offusque de cela.

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