Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


La mort lente de l’appartement à louer

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 avril 2012 12 commentaires

Isabelle Porter
Le Devoir

Québec — S’il est difficile de trouver de bons appartements locatifs sur le marché, c’est entre autres parce qu’il ne s’en construit presque plus. Les promoteurs ne s’en cachent pas: ils préfèrent faire pousser des condominiums et des résidences pour personnes âgées

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Conversion de logements locatifs en copropriétés à Québec * Et cet autre billet

Voir aussi : Condo, Logement locatif ou social.


12 commentaires

  1. Francis L Utilisateur de Québec Urbain

    14 avril 2012 à 16 h 30

    J’imagine que si un jour il y a trop de condos à vendre, certains promoteurs pourraient considérer en convertir quelques-uns en logement locatif ? C’est une question d’offre et de demande. D’un autre point de vue, les gens qui s’achète un condo quitte souvent un logement locatif, ce qui laisse de nouveaux logements vacants.

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  2. Julien

    14 avril 2012 à 19 h 10

    en fait, la mort la plus rapide est surtout celle des maisons avec logements à louer et propriétaire occupant. Il ne se construit pratiquement plus de duplex. C’est maintenant des blocs de 6 ou 8 logements lorsque ce n’est pas plus.

    Impossible alors pour quelqu’un qui veut se loger de penser à une propriété à revenus.

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  3. phildebourg Utilisateur de Québec Urbain

    17 avril 2012 à 14 h 54

    http://www4.hrsdc.gc.ca/.3ndic.1t.4r@-fra.jsp?iid=43

    Taux d’innocupation de la ville de Québec en 2009 : 0,6

    Wow, je ne pensais pas que ce taux pouvait être aussi bas. De bonnes questions à se poser face à cette statistique à mon avis.

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  4. Bob

    17 avril 2012 à 23 h 52

    Vous n’avez sans doute pas encore remarqué que pour les avocats d’affaires, toutes les lois peuvent et doivent être habilement contournées, pourvu que cela rapporte.

    Les investisseurs se moquent de la loi, dans ce cas, comme dans d’autres : les immeubles restent tout simplement en indivis et peuvent être vendus ensuite à la découpe.

    Il suffit que les nouveaux acheteurs des appartements soient d’accord pour rester en indivis. Et en général, ils le sont, plutôt trois fois qu’une.

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    • phildebourg Utilisateur de Québec Urbain

      18 avril 2012 à 10 h 25

      Heureusement, non, je n’ai pas encore remarqué :)

      « Il suffit que les nouveaux acheteurs des appartements soient d’accord pour rester en indivis. »

      Ça ne prends que cela pour contourner le réglement? C’est léger, non? La ville n’a donc aucun pouvoir pour bloquer ces projets? Il me semble qu’avec un taux aussi bas, on devrait pouvoir dire « non » sans dérrogation, même avec l’accord des acheteurs.

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