Radio-Canada (Québec)
Ça me dit de prendre le temps
En table ronde, les architectes Érick Rivard, Pierre Thibault, Olivier Bourgeois et Emmanuelle Champagne proposent des solutions à des problèmes identifiés de la ville de Québec, comme les contraintes au développement dans les quartiers centraux et le défi d’amener les familles vivre dans Saint-Roch. Quelques questions : quel signal architectural envoyer avec le développement fulgurant de Ste-Foy? Pourquoi ne pas doter Québec de gares intermodales originales aux points d’intersection des axes de transport en commun? Et… pourquoi pas des Bixis à Québec?
21 avril 2012 à 12 h 19
merci du lien. J’écoute, je vais réécouter. Que du bonheur aux oreilles, que cette maturité architecturale et urbanistique.
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21 avril 2012 à 17 h 45
Merci du lien. Je me permet de le poster sur notre site. Bravo pour l’excellent travail que vous faites avec ce blog.
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21 avril 2012 à 22 h 01
Merci :)
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22 avril 2012 à 09 h 14
Une vision très juste de notre ville et de ce qu’il faut régler.
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22 avril 2012 à 10 h 57
On peut rêver et tout y passe, mais qui va paierait pour ça (Bixi, Tramway, fermeture de stationnement, piste cyclable, navette pour prendre des marches, fermeture de rue, nouveau mode d’habitat, convaincre les « mécréants » qui veulent l’espace et la nature de la banlieue)?
J’aimerais rappeler aussi aux architectes de l’émission que la présence des compagnies technologiques au centre-ville est un mirage supporté par des subventions.
Tous ces beaux projets sont pour le centre-ville, alors triplez les taxes de l’arrondissement Cité-Limoilou.
L’animatrice a au moins posé certaines bonnes questions.
Bravo au créateur de QuébecUrbain.
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22 avril 2012 à 14 h 40
Toutes des bonnes idées! Mais, les deux mots à retenir sont: VISION D’ENSEMBLE. C’est pas normal que, dans une ville comme Québec, on fasse du développement projet par projet, changement réglementaire par-dessus changement réglementaire, dans un centre-ville si complexe et rempli de contraintes. Ça prend vraiment une vision claire pour qu’on ne se base pas seulement sur l’environnement actuel pour prendre des décisions face à des projets, mais aussi sur l’environnement que l’on veut créer à long terme! Ça ferait en sorte d’éviter la confusion qu’on retrouve actuellement chez les promoteurs et les citoyens.
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25 avril 2012 à 09 h 26
Votre point de vue est intéressant, mais cette confusion existe parmi tous les acteurs y compris les élus et les fonctionnaires. Le hic, c’est que notre approche du zonage est rigide et celui-ci est plus souvent qu’autrement qu’une simple photo instantanée de ce qui existe sans égard à l’évolution potentielle du milieu. Un autre problème, j’en faisais le commentaire dans un autre billet, c’est que les avocats contrôlent trop la rédaction des textes réglementaires d’urbanisme, ce qui laisse trop peu de place à une saine lecture des projets proposés. Un simple coup d’oeil au Zoning Code de la Ville de Denver permet de comprendre toute la réelle portée d’un bon règlement de zonage comme véritable outil de bonification des projets de développement plutôt que comme banal cadre réglementaire de contrôle du développement. http://www.denvergov.org/tabid/432507/Default.aspx
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25 avril 2012 à 08 h 56
Je n’ai pas écouté l’entrevue tout simplement parce cette équipe radiophonique a trop souvent tendance à laisser la place aux seuls architectes comme s’ils étaient les seuls acteurs et (grands) penseurs du développement urbain. Pourquoi pas un panel sur le même sujet avec un architecte, un architecte paysagiste, un urbaniste, un designer industriel et un artiste… Là on sortirait certainement des sentiers battus et des clichés anti-banlieue.
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