Plusieurs belvédères sur le parcours avec une vue à couper le souffle.
L’escalier qui mène au secteur dit « du dépôt à neige ».
Le bas de l’escalier le plus imposant du parcours : un bon endroit pour garder la forme !
Cet escalier est situé tout juste avant d’arriver à un stationnement permettant d’accéder à la plage par auto via le boulevard Champlain.
Et l’inévitable vue des ponts.
30 juillet 2012 à 08 h 54
Curieux quand même, pas un seul marcheur sur les photos !
Pourtant, selon l’ombrage c’était le début de l’après-midi vers 2h00 approx.
Sérieusement, c’est une magnifique réalisation qui s’ajoute à une aune autre non moins exceptionnelle. Le littoral est bien mis en valeur. Est-ce le début d’un long chapelet de réalisations ?
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30 juillet 2012 à 10 h 00
C’est déjà prévu, il en reste encore pour quelques années avant d’en voir la fin jusqu’au chute Montmorency
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30 juillet 2012 à 11 h 36
un bémol : je suis descendu du 25 sur le chemin St-Louis pour descendre sur la plage Jacques-Carier (beaucoup de monde, en passant, sur cette plage, des arbres pour protéger les piques-niqueurs du chaud soleil). Je commence l’escalade des escaliers, je passe par le dépôt à neige, il fait chaud, je continue. Monte le dernier grand escalier, où je me rends compte qu’un abonnement au Nautilus ne serait pas un luxe, pour aboutir au Domaine des Retraités. Ah, me dis-je, j n’aurais pas besoin de revenir sur mes pas, il y a un stationnement donc une sortie pour les piétons. Et bien non, je tombe d’un côté sur le boulevard Champlain et une série d’autoroutes, donc on oublie çà (malgré le fait que j’en ai vu qui marchait dans ce secteur). Reste l’autre côté où se retrouve la gare de train de VIA et passé celle-ci la côte qui mène au chemin St-Louis et à l’autobus. Mais, interdit de passer pour des causes évidentes de sécurité (passage de trains). Là je me dis je vais devoir revenir sur mes pas et me « retaper » tout le parcours et les escaliers à la grosse chaleur et sans oublier l’énorme côte qui monte de la plage au chemin St-Louis. J’aperçois le 400 à quelques mètres de moi, je suis sauvé, mais non aucun arrêt pour cette option, celui-ci poursuit sa route sans faire un crochet par le stationnement du domaine des Retraités (j’espère que le président du RTC, lira ce message ;) ) Deux cyclistes se sont finalement pointés le nez sur le site, ils ont pris une des options illégales, par effet d’entrainement je les ai suivis…Je n’en dit pas plus. Alors messieurs de la ville et/ou de CCNQ, j’espère que vous penserez à une alternative. Parce que pas tous n’auront le goût de continuer en-dessous des ponts quand le tout sera relié au quai des Cageux.
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30 juillet 2012 à 19 h 17
En vous lisant j’ai l’impression de percevoir votre essoufflement. :)
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30 juillet 2012 à 22 h 48
Bonnes remarques. Ça ne coûterait d’ailleurs pas trop cher d’installer des arrêts d’autobus (au moins l’été pour le 400, on verra après pour le reste) ainsi qu’une traverse de piétons là où le sentier rejoint le boulevard Champlain (pour rejoindre l’arrêt de l’autre côté…)
De plus, tant qu’à y être, pour parachever le sentier le long du boulevard entre cet endroit et « sous les ponts », je ne sais pas trop quels sont les plans, mais il me semble qu’il existe un solution facile: condamner la voie de droite en descendant (pas en montant) et en faire des pistes cyclables et piétonnes séparées, protégées de la voie restante par des aménagements « solides » (béton et autres, pas des petits bâtons réfléchissants). On garderait donc deux voies sur 200m à partir de bretelles pour les ponts, une voie plus bas dans la courbe, puis on reviendrait à 2 voies sous les ponts, la où l’accotement et le remblais sont plus généreux.
Sur ce tronçon de route, en aucun cas (il me semble bien) les feux de circulation en haut de la côte et celui du quai des cageux ne permettent un débit supérieur à celui d’une seule voie « sans entrave ». Ça ne causerait donc aucun problème de circulation. Au pis aller, 5 ou 6 secondes perdues aux heures de pointe à cause de quelques conducteurs qui ne savent pas « négocier une fusion de voie ». Quant à la traverse de piéton, activée seulement sur demande, une simple synchronisation avec les feux de circulation en amont devrait faire l’affaire. Dans l’autre sens, en montant, il n’y a du traffic qu’à l’heure de pointe, lequel est déjà assez arrêté dans une longue file dans la voie de droite. Ça ne ferait donc perdre ‘un 30 secondes qu’au quelques-uns qui poursuivent leur route dans la voie de gauche et ce, juste s’ils passent en même temps qu’un piéton.
Il me semble que c’est relativement mineur comme « désagrément » pour les usagers motorisés, comparativement aux changements des dernières années pour le boulevard à l’est qui était pratiquement une autoroute avant.
Évidemment, pour les randonneurs ce ne serait pas aussi bucolique qu’un parcours en bordure du fleuve. Mais à cet endroit, je me demande si la vue n’est pas plus intéressante de toute façon d’en haut que dans la pente entre le boulevard et le fleuve (et ce serait probablement plus cher à aménager)
C’était juste mon avis…
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31 juillet 2012 à 12 h 31
Votre proposition semble du domaine du possible et réglerait effectivement le problème en attendant un aménagement plus permanent reliant les deux sections du littoral.
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6 août 2012 à 09 h 59
Proposition notée. Je suis passé par là et j’ai constaté la même chose. Le site sera moins enclavé avec le prolongement de la promenade de ce coté, mais cela restera un problème.
Yvan Dutil
Canditat PVQ, Jean-Talon
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31 juillet 2012 à 04 h 26
Il suffirait de peu de chose: la Navette du littoral (400), après son passage à l’Aquarium pourrait entrer sur le terrain de stationnement du CN et prendre/laisser des gens là pour visiter et « expérimenter » cette nouvelle section de la promenade. Le RTC-400 passe devant de toute façon. ainsi, ce qui est impossible pour moi actuellement deviendrait possible. Peut-être après plusieurs mois (années ?) d’études et de sondages, le RTC retiendra-t-il cette idée.
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31 juillet 2012 à 04 h 39
Remarque: je n’avais pas lu encore le dernier commentaire de Martin Otis au moment d’écrire le mien.
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