Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Notre-Dame-de-Grâce

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 septembre 2012 6 commentaires

De cloches et de voix (Dale Gilbert)

Patrimoine de la vie paroissiale
à Notre-Dame-de-Grâce de Québec,
1924-2009

À une époque où les clochers tombent davantage au sol qu’ils ne s’élèvent vers le ciel, De cloches et de voix marque la mémoire d’une époque révolue tout en relevant les traces de celle-ci dans l’espace urbain d’aujourd’hui.

Faire ses courses chez l’épicier du coin. Jaser avec les voisins sur le trottoir ou entre deux cordes à linge. Jouer aux cartes à la salle paroissiale. Aller à la messe et participer à des processions religieuses. Vivre sa paroisse, et y être profondément attaché.

La suite

Un extrait

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire, Patrimoine et lieux historiques.


6 commentaires

  1. Michel Beaumont

    5 septembre 2012 à 08 h 18

    C’est bien malheureux, cependant il faut constater que les pèlerins ne s’y rendaient pas en nombre suffisant pour rentabiliser les lieux. Si l’église avait été pleine et rentable, nous n’assisterions pas à sa démolition.

    Un attachement envers l’église n’apporte pas les $$$ pour entretenir et maintenir le rôle de culte.

    Ça prend plus que des prières, des lampions et des miracles pour rentabiliser le tout.

    Le sauveur de St-Sauveur n’est pas apparu !

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  2. Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

    5 septembre 2012 à 10 h 38

    Une église « rentable » ?

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  3. Jean-François Caron

    6 septembre 2012 à 08 h 23

    Il y a beau ne plus avoir personne qui fréquente les églises, est-ce une raison valable pour les démolir? Au Québec, n’importe quel bâtiment qui ne sert plus à ses fins originelles est recyclé, sauf les églises qui sont démolies. Pourquoi détruire ainsi notre patrimoine? Les églises sont nos châteaux à nous autres. Encore une de plus en moins. Tellement triste.

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  4. Ray

    6 septembre 2012 à 14 h 45

    Oui mais. y avait-il un manque de bibliothèque dans le coin ?

    Pour ne pas démolir, un ministère, une ville ou un promoteur doit se montrer intéressé à recycler ce bâtiment !

    Vous qui me lisez, avez-vous présenté un projet étoffé qui aurait permis de sauver le bâtiment en question ?

    Après avoir épluché les options de sauvegarde et que finalement personne ne s’y intéresse, c’est peut-être un signe du ciel que la fin est venue pour cette église !

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