Source : Isabelle Porter, Le Devoir (22 septembre 2012)
Les écoquartiers ont la cote, mais pas nécessairement pour leurs vertus vertes. Les acheteurs potentiels sont nombreux à se manifester, selon le promoteur, mais ce serait surtout en raison des prix.
« Je pense que le plus gros incitatif des écoquartiers, ça va être le prix, avance le vice-président de Leboeuf Société immobilière, Pierre Blondeau. Si c’était des écoquartiers avec les plus belles technologies du monde et que les prix n’étaient pas abordables, ça ne marcherait pas. Il ne faut pas se faire de cachettes, c’est une question de prix. »
Pointe-D’Estimauville: le «chaînon» vert de la revitalisation