Source : Véronique Demers, Journal L’Appel (21 septembre 2012)
La directrice générale de la nouvelle Société de développement commercial (SDC) Maguire, Annie Verreault, compte entreprend les démarches nécessaires pour revitaliser la rue Maguire. Mme Verreault interpelle la Ville de Québec pour qu’elle soutienne en particulier ce chantier.
«On peut ajouter plus de densité, avec des résidents au-dessus des commerces et des édifices comme celui de la Caisse populaire, en autant que ce soit harmonieux tout autour. On devrait mettre aussi en valeur l’architecture du style de la Nouvelle-Angleterre, comme l’immeuble qui abrite le Cochon Dingue. De plus, le mobilier urbain est à changer», détaille-t-elle.
22 septembre 2012 à 14 h 24
Parlerons-nous un jour des automobilistes qui manquent de stationnement sur cette rue ?
Le côté snob devra se résorber !
Tout est plus cher sur cette rue de gorge chaude.
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22 septembre 2012 à 16 h 59
Les trottoirs devrait peut-être être élargie. Pourquoi ne pas enlever le stationnement d’un coté??? On pourrait remplacer les case perdue par du stationnement souterrain près de la bibliothèque.
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23 septembre 2012 à 11 h 19
Non un beau stationnement à étages, ça coute moins cher aux contribuables et ça rappellerait aux gens de ce coin qu’il n’y a pas 2 classes de citoyens.
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23 septembre 2012 à 13 h 07
Me semble qu’il y a plusieurs rues qui demande une revitalisation plus urgente que Maguire. Cette rue n’est peut-être pas parfaite, mais il me semble qu’il est encore trop tôt pour y exiger une revitalisation.
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24 septembre 2012 à 19 h 34
Vrai; sans doute que d’autres rues ont un besoin urgent. Mais il y a déjà un bel achalandage sur Maguire et une petite poussée permettrait d’accroître encore davantage son pouvoir d’attraction et d’y augment le nombre de commerces.
N’oublions pas non plus que la réfection des trottoirs (que j’ai toujours trouvé très mal foutus) remonte déjà à une trentaine d’années, à l’époque où Mme Delisle règnait sur Sillery.
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24 septembre 2012 à 10 h 33
Quand je lis « revitaliser » je pense à « ramener de la vie là où il y en avait plus avant et moins maintenant ».
Est-ce bien le cas?
Personellement, je ne trouve pas ce secteur moins vivant qu’avant mais je ne suis pas bien au fait de la situation, alors je pose la question.
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