Annie Mathieu
Le Soleil
(Québec) Héritage des fusions municipales, Québec compte une multitude de modèles différents de plaques de noms de rue. Pour harmoniser sa facture visuelle et se conformer aux normes pour l’affichage odonymique en vigueur en Amérique du Nord, la Ville étudie des prototypes qui pourraient signaler l’ensemble de son territoire.
Ce sont 20 000 panonceaux qui devront être changés à moyen terme.
«Actuellement, on a toutes les grandeurs, typographies et couleurs possibles», explique le porte-parole de la municipalité, Jacques Perron. Dans les six arrondissements de la capitale nationale, neuf modèles sont utilisés, alors que dans les arrondissements historiques du Vieux-Québec, de Sillery, de Cap-Rouge et de Charlesbourg, cinq types de plaques différentes sont visibles
14 novembre 2012 à 10 h 28
J’espère qu’ils ne rechangeront pas les panneaux qui ont été remplacés dans les dernières années.
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14 novembre 2012 à 11 h 37
Tant qu’à moi, il devrait n’y avoir qu’un modèle pour l’ensemble du Québec. Ça coûterait moins cher à tout le monde et ça éviterait ce genre de situation en cas de fusion/défusion.
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14 novembre 2012 à 14 h 09
Oui mais il faudrait remplacer toutes les plaques de rue de la province pour respecter une telle règlementation… Selon moi, le plus important c’est la lisibilité. Il y en a qui sont trop petites ou trop usées et qui doivent être remplacées. Mais ce ne sont pas toutes les plaques. Remplacer toutes les plaques pour être pareil partout ça veux dire remplacer plein de plaques qui font parfaitement l’affaire.
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15 novembre 2012 à 09 h 27
Bien sûr, je ne voulais pas dire de toutes les changer en même temps tout de suite, mais avec le temps et l’usure en venir qu’à avoir le même modèle partout :)
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14 novembre 2012 à 14 h 10
Lorsqu’on va voir le prix de cette opération on va peut-être regretter de ne pas tout simplement garder les plaques actuelles. Petite estimation : gestion, commandes, fabrication, pose, je ne serais pas surpris par 100$/plaque soit… 2 millions au total. Sans compter le gaspillage consumériste de changer quelque chose qui fonctionne bien.
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14 novembre 2012 à 15 h 41
Si la ville tient à changer les plaques, il me semble qu’il serait intéressant d’y ajouter l’arrondissement. Un peu comme le modèle parisien. À mon avis, ça augmenterait le sentiment d’appartenance à la nouvelle ville.
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16 novembre 2012 à 23 h 16
… mais il faudrait en changer un tapon à chaque redécoupage ou renommage d’arrondissement!
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16 novembre 2012 à 23 h 23
Sérieusement, je veux bien croire qu’on peut faire ça dans un soucis d’harmonisation, mais concrètement… pourquoi une telle harmonisation serait même nécessaire?
Comme tout le monde, j’ai déjà remarqué que les pancartes de nom de rues sont différentes d’un coin à l’autre de la ville. Aujourd’hui je ne m’en rends même plus compte. Je m’en rends juste compte quand je vois de vielles pancartes, notamment certaines dans St-Roch où les minuscules et majuscules sont mélangées car il devait manquer une lettre ou deux à « l’imprimeur » à ce moment là!
D’ailleurs, je trouve même que c’est bien d’avoir un peu de variété entre les différents secteurs de la ville. Tant qu’elles sont lisibles…
À la limite qu’on décide d’un modèle uniforme et qu’on ne remplace les pancartes que lorsqu’elles ont réellement besoin d’être remplacées, ou au plus d’ici 100 ans disons, pour celles qui sont faites solide. Je ne vois aucune raison valable pour gaspiller de l’argent à en remplacer autrement que par absolue nécessité.
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16 novembre 2012 à 23 h 38
« Par ailleurs, Jacques Perron explique que les coûts du projet n’ont pas encore été évalués puisqu’il en est à ses balbutiements. De plus, il affirme que la municipalité n’a pas fixé d’échéancier précis pour ce dossier, qui ne sera pas inscrit dans le prochain programme triennal d’immobilisations. »
Traduction: Oubliez ça ! :)
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