Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Fin du stationnement gratuit dans le quartier Saint-Sauveur

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 novembre 2012 27 commentaires

Jean-François Néron
Le Soleil

(Québec) Les travailleurs de la Haute-Ville et du quartier Saint-Roch ne profiteront plus des stationnements gratuits du quartier Saint-Sauveur, au sud du boulevard Charest, qu’ils occupent aux deux tiers le jour. À compter du 10 décembre, la réglementation limitera à 90 minutes en journée le stationnement dans la rue. Pour les résidants du secteur, la tranquillité coûte 75 $ par année.

La suite

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou.


27 commentaires

  1. PY

    21 novembre 2012 à 21 h 20

    Et toujours rien pour ceux qui utilisent des communautos… alors qu’ils font plus que leur part pour réduire la place de la voiture !!

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  2. Bernard Bossé Utilisateur de Québec Urbain

    22 novembre 2012 à 08 h 43

    Je suis très heureux d’apprendre cette nouvelle ce matin. J’habite dans ce quadrilatère et je vous confirme qu’il y est impossible de s’y stationner le jour. La matin on voit plusieurs personnes se stationner pour ensuite emprunter les escaliers qui mènent à la haute-ville et puis vers 16h00 les rues se vident miraculeusement. Et c’est sans compter le soir des grands événements ou les rues sont prisent d’assaut par les automobilistes de la banlieue qui ne veulent pas payer de stationnement. Vivement les vignettes!

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  3. Stéphane

    22 novembre 2012 à 09 h 50

    Un pas dans la bonne direction sauf que, le problème va se déplacer du côté sud de charest. C’était déjà difficile de se stationner avant, j’imagine que cela va être l’enfer à partir du 10 décembre.

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  4. David75 Utilisateur de Québec Urbain

    22 novembre 2012 à 11 h 29

    Quelle mauvaise décision de ne pas avoir étendue le règlement du côté Nord de Charest, c’est qui le responsable de cette erreur? Veillez SVP corriger la situation asap. Que pensez-vous qui va arriver dans la zone non réglementé a partir du 10 décembre? C’est assez simple a comprendre. Avons-nous le droit de jouir de la possibilité de trouvé un stationnement a proximité de notre lieu de résidence nous aussi? Pourquoi pas? Qui décide que nous, habitants de Saint-Sauveur devons subir les conséquences de cette mauvaise décision. La seul place en Ville sans réglementation…mais c’est pas grave….

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  5. Clyde

    22 novembre 2012 à 11 h 39

    Selon moi, cette nouvelle réglementation n’a rien à voir avec le « droit » des résidents. C’est simplement une façon de récolter davantage d’argent en donnant des contraventions à ceux qui n’ont pas accès à un stationnement près de leurs lieux de travail. Ça fait 3 ans que je suis sur la liste d’attente du SPAQ pour avoir un stationnement payant près de mon bureau en haute-ville. En attendant, vous, chers contribuables, me payez 10 minutes par heure pour aller déplacer ma voiture. C’est pas pire que ceux qui sortent fumer, me direz-vous! Et après ça la population chiale que les fonctionnaires ne sont pas efficients. Si la moitié du système n’était pas créés de toute pièce pour empêcher le citoyen de respirer, ça aiderait peut-être un peu notre problème de productivité au Québec!

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    • Louis M.

      22 novembre 2012 à 11 h 51

      À lire votre commentaire, mon constat est plutôt que le problème de productivité est lié à cette dépendance à la voiture!

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      • Clyde

        22 novembre 2012 à 12 h 20

        Il n’y a pas que les bobos urbains qui travaillent au centre-ville, il y a aussi des gens qui habitent en banlieue, qui ont des enfants à transporter jusqu’à la garderie, qui doivent déposer leur conjointe à son travail parce qu’ils ont décidé de n’avoir qu’une voiture pour, notamment des raisons financières. Si je devais prendre votre bien-aimé transport en commun, je passerais 3 heures par jour dans l’autobus. Qu’est-ce que ça apporterait de plus à votre belle société utopique?

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      • FierUrbain

        22 novembre 2012 à 14 h 10

        Calmez-vous un peu, monsieur Clyde.

        Le choix d’habiter en banlieue et loin de votre lieu de travail, c’est vous qui l’avez fait, personne d’autre. Je connais des parents qui prennent l’autobus (dans d’autres villes, le métro ou le tramway) avec leurs enfants matin et soir, et qui ont trouvé une garderie près de leur lieu de travail pour faciliter le transport; c’est simplement un autre mode de vie auquel vous n’êtes pas habitué. C’est tout. Quoi qu’il en soit, les habitants du quartier Saint-Sauveur ont le droit de pouvoir se stationner près de leur lieu résidence, au même titre que vous en banlieue. Il est complètement insensé que des gens qui n’habitent même pas le quartier, et qui ne contribuent en rien à la vie de ce quartier, puissent profiter des espaces de stationnement gratuitement.

        Cessez d’utiliser le terme «bobo urbains», c’est méprisant. Sans transport en commun, vos déplacements en voiture seraient encore plus infernaux. Plus de 70 000 personnes prennent l’autobus chaque jour à Québec, ce sont carrément 70 000 voitures de moins sur les routes quotidiennement pour vous aider à mieux rouler.

        Quant au fait que vous êtes sur une liste d’attente pour un stationnement à votre travail, ce problème ne concerne que vous puisque vous faites le choix de vous rendre au travail en voiture et que vous faites le choix de travailler chez un employeur qui est situé loin de votre lieu de résidence.

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      • Manu

        22 novembre 2012 à 15 h 03

        @FierUrbain: il y a bien des raisons d’etre en désaccord avec « 10 minutes par heures pour déplacer une voiture », mais l’arugment de « habiter près du travail » c’est de la foutaise.

        Dans un couple, on peut avoir des emplois dans des lieux bien différents.

        Il n’existe pas de lieu d’emploi partout pour toutes les catégories d’emploi.

        Le transport en commun n’est pas disponible ou impraticable (temps de déplacement) pour la plupart des emplois à Québec, à moins d’habiter comme par hasard très près.

        On ne va pas déménager à chaque fois qu’on change d’emploi, que l’employeur déménage (ou qu’il réorganise les effectifs dans différents bureaux), etc. C’est sans compter tout ceux qui ont à travailler à plus d’un endroit (et la question du couple qui revient ici…)

        Bref, si quelqu’un habite Québec et travaille à Québec, c’est assez insignifiant d’amener un semblant d’argument de « habiter proche de son travail ».

        Ça fonctionne quand on a 20 ans, qu’on est célibataire et qu’on a rien de mieux à faire de notre temps que de deménager (ou de se déplacer). On peut faire tous les choix qu’on veut n’importe quand. Mais pour ceux qui ont des responsabilités, c’est autre chose.

        Évidemment on peut aussi choisir de ne pas travailler et vivre de l’assistance sociale. C’est un « choix » n’est-ce pas?

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      • Louis M.

        22 novembre 2012 à 15 h 49

        «Ça fonctionne quand on a 20 ans, qu’on est célibataire et qu’on a rien de mieux à faire de notre temps que de deménager [!???] (ou de se déplacer). On peut faire tous les choix qu’on veut n’importe quand. Mais pour ceux qui ont des responsabilités [!??], c’est autre chose.»

        Franchement, ce genre de commentaire n’est non seulement basé sur rien, mais c’est plutôt infantilisant, voire insultant pour bon nombre de gens. Ce n’est malheureusement pas le genre de commentaire fondé et crédible que vous avez l’habitude d’écrire…

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      • FierUrbain

        22 novembre 2012 à 22 h 55

        @ Manu

        Vous semblez m’avoir mal lu. Ce n’était pas un argument, mais la description d’un choix individuel.

        Le TC indisponible ou impraticable pour la plupart des emplois à Québec? Parfois je me demande si nous vivons tous dans la même ville ou si les gens qui écrivent ici connaissent véritablement la ville dans laquelle ils habitent. Avec les métrobus, les parcours réguliers et les Xpress, il n’y a plus beaucoup de secteurs de Québec où le transport en commun n’est «pas disponible» ou «impraticable». Allons! Tous les pôles d’emploi de la capitale sont desservis par les métrobus (Saint-Roch, Colline parlementaire, Sainte-Foy, Lebourgneuf, etc.). Si mon père, qui travaille pour une compagnie de livraison, est capable de prendre le bus (les fois qu’il le prend hahah) jusque dans un parc industriel pour aller chercher son camion à l’entrepôt, et de revenir à la maison sain et sauf, n’importe qui peut se rendre au travail en bus à Québec. Le gros problème, très souvent, c’est que les gens sont mal informés et ne prennent pas la peine d’évaluer les solutions de transport qui s’offrent à eux.

        Bien sûr qu’il ne faut pas déménager chaque fois que l’on change d’emploi. Mais avant de s’acheter une maison cheap en banlieue (pardon, je juge), il faut évaluer l’emplacement de son quartier, sa desserte en transport en commun, les services de proximité, les garderies si on a des enfants, etc. Ce n’est pas sorcier. Le choix du lieu de résidence est un choix personnel et jamais je n’aurai pitié de quelqu’un qui se plaint qu’il n’a pas d’endroit où se stationner près de son lieu de travail.

        Ma mère a changé de lieu de travail quatre fois au cours de sa carrière et elle n’a jamais pris la voiture pour se rendre au travail non plus. (non je n’ai plus 20 ans et je ne vis plus avec mes parents).

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        22 novembre 2012 à 23 h 04

        Merci. Bien dit.

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      • Manu

        23 novembre 2012 à 15 h 11

        Merci pour la précision FierUrbain, j’aurais pu me calmer un peu le ponpon par ailleurs…

        Mais petite précision à mon tour: je disais « impraticable » dans le sens de « pas pratique ». Exemple commun: l’emploi ne se trouve pas dans une zone désservie par les parcours express. Ça inclut même St-Sacrement et Montcalm, où on pourrait croire qu’une combinaison express+metrobus (ou autre bus) fait l’affaire.

        Exemple particulier de ce cas: de chez moi (ou de ma garderie) au centre-ville c’est moins de 30 minutes d’autobus. Par contre, pour rejoindre un des bureaux près du parc du Bois de Coulonge, il faut rajouter 20 à 25 minutes (attente, autobus, marche). Ajoutons la marche et l’attente initiale, ça fait une heure. Même chose en passant par Ste-Foy plutôt que Québec. Une heure. Ok, passable.

        Pour revenir: bordel. les métrobus dans ce secteur sont au 10-15 minutes le soir (on connaît bien le problème de 3 autobus aux 12 minutes plutôt qu’un autobus aux 4 minutes), et une ou deux fois par mois, les bus réguliers (11, 25, 111, 125 qui passent la) sont trop plein et on doit prendre le prochain, 30 min plus tard. Résultat: on se retrouve parfois à prendre l’express 30 ou 40 minutes plus tard que celui souhaité (ils sont pour la plupart aux 15-20 minutes jusqu’à 16h30-45, mais ça double après, soit à l’heure qu’on arrive quand on doit prendre un autre autobus). De plus, 1 à 2 fois par mois c’est l’express qui n’est pas là, car pris sur l’autoroute, et qui est carrément « annulé ». Bref, ça prend généralement 1h05, mais une fois aux deux semaines c’est 1h40.

        Nécéssairement, ça prend un autre personne pour s’occuper d’enfants à la garderie s’il y a lieu…

        Une solution hybride auto-autobus, du genre aller au parc-o-bus Charlesbourg prendre un 801 et éviter une correspondance donne le même temps (notamment à cause du détour et du trjaet sur la 1ere avenue plutôt que l’autoroute), en plus d’avoir besoin d’une auto. Reste que ça peut être un compromis quand on a un horaire variable (ou des variations causées par un paquet de rendez-vous ci et là pour des enfants) et qu’on n’arrive pas à avoir du stationnement au travail…

        C’est ce que j’entends par « impraticable ». En réalité, ça se fait quand même, et j’en connais d’ailleurs une qui fais ça tous les jours… c’est juste vraiment pas pratique. Le RTC n’est d’ailleurs pas assez fiable pour être pratique de manière générale dès qu’il y a une correspondance (à quelques exceptions près, comme au terminus les Saules où les autobus peuvent s’attendre).

        Pour terminer, j’en passe du temps à analyser les parcours du RTC, à comparer des niveaux de service, essayer de « battre » Google et Trajecto, imaginer des hybrides express+navette avec correspondance (je vais ben finir par soumettre de quoi au RTC…), etc. J’ai une très bonne idée des possibilités offertes, et surtout des « impossibilités ».

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    • Manu

      22 novembre 2012 à 15 h 08

      Jusgement personnel: C’est assez odieux de votre part de VOLER 10 minutes de temps par heure aux contribuables (j’en déduis que vous travaillez pour la fonction publique) pour déplacer votre auto. C’est 17% de votre salaire qu’on vous paye ainsi en trop. Si quelqu’un passait 10 minutes par heure à fumer (suivant votre comparaison), j’ose croire qu’on congédierait cette personne.

      Alors de grâce, demandez un aménagement de temps de travail pour réduire votre temps ET votre salaire de 17%. Ça ne changera absolument rien à votre horaire, mais au moins on arrêtera de payer dans le vide pour une personne qui se croit plus importante que les autres.

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        22 novembre 2012 à 15 h 27

        Rappelons que Clyde dit: « Ça fait 3 ans que je suis sur la liste d’attente du SPAQ pour avoir un stationnement payant près de mon bureau en haute-ville. »

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      • Francis L

        22 novembre 2012 à 16 h 34

        Je suis parfaitement d’accord avec Manu. Clyde donne malheureusement une bien mauvaise image des fonctionnaires provinciaux (qui sont pour la plupart des gens extrêmement honnête). Je trouve ça ahurissant d’entendre une telle histoire, et j’ose croire que c’est un cas très isolé. Et concernant les 3 années de liste d’attente, je suis convaincu qu’avec un peu d’imagination (et en déliant sa bourse), M. Clyde pourrait trouver plusieurs solutions à son problème. Je n’ai jamais entendu parler de pénurie de stationnement à Québec!

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      • Simon Bastien

        22 novembre 2012 à 23 h 06

        Je travaille en ville et j’ai toujours réussi à louer des stationnements privés dans des cours ou des souterrains de blocs, sans dépendre de la SPAQ et de ses tarifs prohibitifs. Y’a moyen de se débrouiller sans avoir à déplacer son auto dans les rues à toutes les heures. En plus, quel type de travail peut permettre à quelqu’un de s’absenter aussi souvent dans une journée? Y’en a qui beurrent épais, je trouve…

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        22 novembre 2012 à 23 h 18

        Merci. Je pense justement que si Clyde avait demandé un coup de main sur ce blogue pour se trouver un stationnement, son problème aurait sans doute été réglé aisément. Mais bon … On verra.

        Pas sûr qu’il va commenter à nouveau ….

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      • Manu

        23 novembre 2012 à 15 h 25

        En plus des autres stationnements (de dehors de SPAQ), il y a aussi « l’autobus hybride ». Je ne sais pas d’où Clyde arrive, mais pour aller au centre-ville, il y a moyen de se stationner près d’une autoroute à la dernière montée d’un express (après quoi le temps est pratiquement le même en autobus qu’en auto). S’il fait un détour « plus en ville » (genre Ste-Foy, parc industriel, etc.) pour sa conjointe, il y a encore plein de secteurs résidentiels de « banlieue proche » où les rues sont vides et où passent assez d’autobus réguliers, bien que ce soit un peu plus long qu’en auto. Ça revient quand même moins cher au total qu’un stationnement en ville.

        Il faut savoir se débrouiller…

        Ce qui m’agace par contre, c’est pas tant le fait que quelqu’un pallie à ses problèmes de manière peu éthique, c’est l’attitude: comme si un espace de stationnement lui était dû. Dès qu’on se met ça en tête, on peut justifier n’importe quel comportement. Un moment donné il faut prendre ses responsabilités…

        Petite note: on avait eu une réponse du genre il y a un certain temps à propos des problèmes de stationnement à Revenu Québec…

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  6. PY

    22 novembre 2012 à 19 h 15

    Oui enfin faut surtout arrêter de prendre le stationnement comme un droit. C’est un privilège.

    Et les employeurs ont un rôle à jouer aussi. Si d’un côté on a des gestionnaire suffisamment laxiste pour tolérer de tels comportements, et que de l’autre, personne ne fait grand chose pour développer des alternatives de déplacement pour leur employés, c’est un sacré problème.

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  7. FierUrbain

    23 novembre 2012 à 11 h 22

    Surtout considérant que quelques stationnements du centre-ville ne sont jamais plein, comme celui du Complexe G. Mais il faut payer le gros prix. Normal, c’est un luxe.

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  8. Nick

    27 novembre 2012 à 03 h 29

    Je suis très content de ne plus habiter dans St-Sauveur, ce quartier est l’endroit idéal pour l’utilisateur du RTC, mais c’est un enfer pour l’automobiliste. Le problème va fort probablement se déplacer au nord de Charest, j’étais sur la rue Anna qui n’était pas dans le quadrilatère ciblé par cet annonce et j’avais quand même très souvent de la difficulté à me stationner.

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  9. Jennifer

    21 décembre 2012 à 18 h 20

    C’est une bonne nouvelle qui arrive trop tard pour moi! j’habitais dans le secteur une des pires rues côté stationnement car tout près de l’escalier qui donne sur Salaberry.
    J’y suis restée un an, mon proprio m’avait dit lorsque j’ai signé: du parking, y’en a tout le temps, facile!
    Ben après un an, avec un travail qui me fait faire plusieurs déplacements par jours, je suis déménagée. C’était en janvier… le projet de vignette était sur la table, mais encore incertain.

    Bonne chose pour mes anciens voisins!

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