Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Le vélo-boulevard: La suite

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 novembre 2012 31 commentaires

Accès transports viables

Mercredi, 28 novembre 2012

Après trois longs mois de travaux, les cyclistes de Québec peuvent enfin apprécier le nouveau revêtement de la rue Père-Marquette et circuler sur un premier segment achevé du «vélo-boulevard»! La patience de chacun, tant des résidents qui ont subi de lourds travaux, que des cyclistes qui se sont retrouvés sans parcours alternatif, a été mise à rude épreuve. L’ensemble n’est pas encore achevé, plusieurs raccordements restent encore à faire, mais la Ville nous assure que les travaux les plus lourds ont été réalisés cette année et que la circulation des cyclistes et des piétons ne sera plus entravée de façon aussi contraignante dans l’avenir.

Mesures permanentes d’apaisement de la circulation
Des cinq mesures d’apaisement de la circulation visant à réduire le nombre de voitures sur les rues Père-Marquette et de Callières qui ont été testées en 2011, trois ont été définitivement implantées cet automne. Les deux autres le seront l’an prochain. Ceux qui suivent le dossier depuis ses débuts remarqueront que le design de ces aménagements a été modifié. Initialement, les terre-pleins qui constituent ces aménagements comportaient deux passages pour les cyclistes, un pour la circulation dans chaque direction. Désormais, on ne retrouve qu’un seul large passage au centre du terre-plein. La Ville a voulu ainsi préserver une possibilité pour les véhicules de déneigement et d’urgence de circuler au besoin. Nous espérons seulement que les bollards qui viendront définitivement bloquer le passage aux automobilistes ne tarderont pas à être installés. En général, Accès transports viables se montre satisfait du design de ces aménagements. Un point majeur demande cependant à être revu lors des prochains travaux: les rayons de courbures.

La suite

Bike Boulevard * L’Office de la langue française cherche à franciser «vélo boulevard» (Annie Morin, Le Soleil)

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Vélo.


31 commentaires

  1. jeand Utilisateur de Québec Urbain

    28 novembre 2012 à 22 h 15

    Faut vraiment être complètement abruti par les verdistes pour annoncer ça le 28 novembre en même temps que la première neige, bon les 4 cyclistes que j’ai croisé à date dans ma semaine vont être contents et moins dangereux dans ce secteur.

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  2. Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

    28 novembre 2012 à 22 h 42

    Je demeure dans le coin. Depuis longtemps. Et l’affluence souhaitée de vélos sur Père-Marquette n’est pas là. C’est vraiment pas là. Ce vélo-boulevard répond à un engagement électoralqui aura permis toutefois la réfection complète de cette rue. On verra l’été prochain ce qu’il en est. Je trouve génial d’avoir utilisé le projet de piste cyclable et d’en profiter pour refaire dans ce secteur toutes les infrastructures qui en avaient sans doute besoin. C’est moins visible mais tellement essentiel ! :)

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  3. jeand Utilisateur de Québec Urbain

    28 novembre 2012 à 23 h 05

    Effectivement ça permets de refaire les infrastructures: « Tant qu’à y être » mais il reste que l’apport que pourrait avoir le vélo sur la circulation est un mythe avec notre climat. Que M Cazes ait un emploi et une vie familiale qui lui permette d’aller travailler en vélo par notre beau climat, j’en suis fort aise :)
    Mais le fait demeure que cela restera la voie de quelques verts sportifs et de plusieurs plongeurs de restaurants. Annoncer qu’on a dépensé des millions de $ pour quelques huluberlus (hé oui c’est ce que je pense) et simplement pour faire plaisir à des groupes de pression tout en faisant, encore, chier les automobilistes qui crachent les taxes : ça m’écoeure!

    Et en passant, je suis cycliste! J’en ai même 2 (montagne et route) Je fais +-200 km par semaine et j’évite les pistes cyclables comme la peste= trop dangereux! (à part la piste des chemineaux à partir de Shannon, après la circulation)

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    • Yannick Chouinard

      29 novembre 2012 à 01 h 49

      Pour répondre à Jeand:

      Le vélo-boulevard n’est pas une piste cyclable mais une suite chaussées désignées.Comme il n’y a aucun parcours sécuritaire pour transiter de l’université vers le Vieux-Québec, certains cyclistes plus craintifs empruntaient déjà ce trajet. Ça demeure un mauvais projet mais comme les aménagements cyclistes ne sont pas légions avec l’administration actuelle, on prend ce qui passe.

      La seule amélioration jusqu’à maintenant pour les cyclistes avec le vélo-boulevard est l’élargissement de saillies de trottoirs à 3 intersections ce qui est très modeste comme soit-disant gain. C’est surtout un moyen de limiter la circulation de transit et de rappeler à certains fous du volant qu’ils ne sont pas sur le circuit Gilles-Villeneuve mais plutôt sur de sympathiques petites rues résidentielles. La ville aurait pu mettre des dos d’âne ou imposer des sens uniques comme ça se fait ailleurs.

      Pour ce qui est des soit-disant couts exorbitants, le gros du budget pour les travaux de la rue Père-Marquette est allé pour la réfection des structures égouts et d’aqueduc. Rien à voir avec des aménagements cyclistes.

      Finalement, nous pourrons juger de l’impact véritable sur la communauté cycliste lors que ce vélo-boulevard sera fonctionnel ce qui n’est pas le cas présentement. Le trajet se termine abruptement au collège Bellevue. Plusieurs se résignent à rouler sur le chemin Ste-Foy ou René-Lévesque ce qui n’est pas une cinécure en heures de pointe.

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    • Louis M.

      29 novembre 2012 à 09 h 21

      Je ne suis franchement pas d’accord avec vous jeand. Qu’est-ce que climat de Québec a de si spécial du début d’avril à la fin de novembre?

      Vous dites faire du vélo, vous êtes donc en mesure de comprendre que la sécurité est en enjeu plus que prioritaire. Étant donnée que l’agglomération est déjà bien desservi en piste cyclable récréative, c’est dans les infrastructures (souvent « soft ») utilitaires qu’on doit miser dorénavant. C’est prouvé que si on améliore le sentiment de sécurité à vélo en ville, beaucoup plus de gens en ferons, ce qui a son tour augmentera la sécurité de vous et moi lorsqu’on va faire du vélo, pour le plaisir ou pour le boulot.

      «Mais le fait demeure que cela restera la voie de quelques verts sportifs et de plusieurs plongeurs de restaurants.». Janette Sadik-Khan, la « commissioner » au Department of Transportation de NYC a récemment dit que le vélo était le nouveau golf. Elle n’avait pas tort car si on regarde qui se déplace en vélo de nos jours dans les grandes villes, on remarque que c’est des gens qui ont en moyenne un meilleur taux de scolarisation et souvent un salaire plus élevé que la moyenne de la population. Cela dit, le vélo étant un mode de déplacement très économique, tout le monde peut en faire ce qui en fait le mode le plus démocratique après la marche. Si l’on peut permettre à des gens peu fortuné de se déplacer de façon sécuritaire et efficace pour moins cher, peut-être que l’économie de la région s’en portera mieux. Qu’en pensez-vous?

      «simplement pour faire plaisir à des groupes de pression tout en faisant, encore, chier les automobilistes qui crachent les taxes : ça m’écoeure!»: Deux choses: d’abord la Ville est très consciente des bénéfices que peut avoir l’augmentation du nombre de cyclistes (bien que certains fonctionnaires soit très « car-oriented »), sans avoir besoin de groupe de pression pour leur dire. Deuxièmement, la Ville le gros de ses revenus de taxe foncière, ce qui n’a rien à voir avec les automobilistes. Ça doit cessez ce genre de faux discours.

      Sur ce, quand est-ce qu’on va rouler?

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  4. FierUrbain

    29 novembre 2012 à 09 h 51

    En fait, si les cyclistes qui s’obstinent à emprunter René-Lévesque utilisaient le vélo-boulevard, l’achalandage y serait grandement supérieur. Mais non, ils préfèrent mettre leur vie et celle des automobilistes et piétons en danger pour avoir leur «ligne droite», sans compter qu’ils ralentissent les métrobus qui ont déjà des horaires très serrés.

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    • Yannick Chouinard

      29 novembre 2012 à 12 h 03

      Le vélo-boulevard N’EST PAS FONCTIONNEL. Celui-ci s’arrête à la rue Eymard. À partir de là, l’usager doit emprunter soit le chemin Ste-Foy, soit René-Lévesque pour poursuivre sa route en direction de l’université.

      Deuxièmement, le parcours du vélo-boulevard a été en travaux tout l’été et la signalisation de détour mise en place par la ville indiquait de passer par René-Lévesque.

      Il n’y a pas 56 options pour circuler dans l’axe est-ouest: vélo-boulevard (pas fonctionnel jusqu’à l’université), René-Lévesque, Grande-Allée/Laurier et Chemin Ste-Foy. Comme le vélo est plus rapide que l’autobus et que René-Lévesque est une belle ligne droite avec une qualité de bitume de bonne qualité, ce trajet est le choix de plusieurs(et j’en suis).

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      • FierUrbain

        29 novembre 2012 à 23 h 55

        Vous ralentissez alors une centaine d’usagers du transport en commun chaque fois que vous roulez devant un métrobus, et ce, *beaucoup* plus lentement.

        Le vélo-boulevard n’est pas complètement fonctionnel puisqu’il n’est pas *terminé*.

        Et si vous allez plus vite que l’autobus, c’est que vous brûlez sans doute les feux rouges, ce qui est illégal en vertu du Code de la sécurité routière.

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      • FierUrbain

        29 novembre 2012 à 23 h 56

        Je rajouterai que rouler dans la voie réservée pour autobus est tout aussi illégal, sauf que les chauffeurs d’autobus vous «tolèrent».

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      • Louis M.

        30 novembre 2012 à 09 h 09

        «Je rajouterai que rouler dans la voie réservée pour autobus est tout aussi illégal, sauf que les chauffeurs d’autobus vous «tolèrent».»

        M. François Picard lui-même a déjà mentionné que la Ville de Québec autorisait la présence des vélos sur ses voies réservées.

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    • Louis M.

      29 novembre 2012 à 14 h 44

      «mettre leur vie et celle des automobilistes et piétons en danger»

      Hahaha! Dites-moi, à quand remonte le dernier automobiliste ayant perdu la vie après avoir été percuté par un cycliste?

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      • FierUrbain

        29 novembre 2012 à 23 h 57

        Dans le sens où ils représentent une distraction inutile pour tout le monde, puisque René-Lévesque n’est aucunement une artère propice au vélo.

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      • Louis M.

        30 novembre 2012 à 09 h 15

        Sérieux! Une «distraction inutile»!? Dans ce cas n’importe quel véhicule peut être considéré une distraction! Et aux dernières nouvelles, le vélo est très -utile-!!!

        «René-Lévesque n’est aucunement une artère propice au vélo.»
        Considérant qu’il s’agit pour l’instant d’un des trois seuls parcours est-ouest en haute-ville, c’est au contraire assez propice à être utilisé à vélo, à tout de moins autant que ce l’est en voiture. Ce n’est cependant pas très sécuritaire, mais l’est-ce vraiment plus sur les deux autres parcours que sont le chemin Ste-Foy et Grande-Allée?

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  5. Nick

    29 novembre 2012 à 21 h 55

    Si on veut vraiment une ville cycliste, mettons des trottoirs chauffants comme il se fait dans certain pays nordiques européens… Il y a quand même de la glace, du froid et de la neige près de six mois par année.

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    • Nick

      29 novembre 2012 à 22 h 04

      Les trottoirs chauffants existent en Suède. Ils ont fait les études pour finalement s’apercevoir que même en les chauffant à l’électricité, ça leur revient moins cher que d’avoir à déneiger les trottoirs. Puis c’est sans compter toute les économies en soins de santé quand ils n’ont pas à soigner les multiples blessures des ptits vieux qui se cassent un de leurs os fragiles, en glissant sur la glace.

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    • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

      30 novembre 2012 à 09 h 28

      Faux, l’Europe est un continent très chaud. Ils n’ont pas d’hiver comme ici.

      Il tombe moins de 50 cm de neige par année à Stockholm, ville à la même latitude que Kuujjuaq. La moyenne est température l’hiver est d’environ -1, -2oC.

      http://fr.wikipedia.org/wiki/Stockholm#Climat

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  6. FierUrbain

    30 novembre 2012 à 00 h 00

    Attention, je n’ai rien contre le cyclisme urbain ou utilitaire. J’ai vécu en Allemagne du Nord qui, au même titre que les Pays-Bas ou la Scandinavie, est un paradis pour le cyclisme utilitaire : voies cyclables partout en ville à même la chaussée, bornes à vélo qui forment de véritables stationnements, priorité sur les voitures, etc. J’avais un vélo que j’utilisais tous les jours pour me déplacer.

    La seule différence, c’est qu’on *sait* faire du vélo urbain dans ces pays. On signale lorsqu’on tourne, on s’arrête aux feux rouges et on laisse circuler les piétons. Tout le contraire de la très, très grande majorité des cyclistes québécois.

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    • Louis M.

      30 novembre 2012 à 09 h 23

      Avant de comparer les comportements des cyclistes dans d’autres pays, comparez d’abord les règles, le niveau et la qualité des infrastructures qui leur sont respectivement dédiés… Vous comprendrez alors peut-être la raison expliquant les comportements.

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      • FierUrbain

        30 novembre 2012 à 09 h 31

        Je comprends parfaitement la raison de leur comportement. Comme je le dis plus bas, j’ai déjà déploré le manque d’infrastructures et le manque de civisme et de courtoisie de la part des automobilistes. Mais à mon sens, René-Lévesque reste un terrain dangereux pour les cyclistes, surtout lorsqu’on arrive en ville. C’est tout.

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  7. Flam Utilisateur de Québec Urbain

    30 novembre 2012 à 05 h 37

    Je suis en accord avec vous Louis M, sur le sens de vos propos.

    Je dirais à FierUrbain qu’il est parfaitement légal pour les cyclistes de rouler dans la voie réservée aux autobus sur René-Lévesque. Peut-être pas le meilleur endroit en ville pour les cyclistes, mais c’est légal. Renseignez-vous à la ville de Québec, afin de lire les règlements. Toutefois, je peux me mettre à la place de cyclistes qui empruntent cette artère. Un cycliste qui réside à proximité de René-Lévesque, et qui se rend à l’Université, par exemple, prendra ce boulevard car c’est le trajet le plus court.

    Lorsque que vous dites que le comportement des cyclistes de certains pays sont moins délinquants que ceux d’ici, c’est possible.
    Toutefois, un pourcentage non négligeable des utilisateurs du réseau routier du Québec ( piétons, cyclistes, automobilistes, etc ) ont un comportement délinquant. C’est loin d’être l’exclusivité des cyclistes. J’observe attentivement le comportement des usagers de la route ( car j’ai un emploi qui me le permet ) et il est facile d’en arriver à cet conclusion. Souvent il y a manque de courtoisie et plusieurs personnes ne pensent qu’à elles mêmes, sans égards aux autres usagers de la route.

    J’ai déjà essayé de prendre l’axe Père-Marquette en vélo en septembre dernier entre l’Université et le centre-ville. Pas très évident comme parcours…

    En passant j’ai une voiture, trois vélos ( tandem, route, montagne ) avec 6000 km de fait cette année et je suis chauffeur de bus pour la ville.

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    • FierUrbain

      30 novembre 2012 à 09 h 29

      J’ai déjà publié des lettres ouvertes dans Le Soleil concernant le comportement délinquant à la fois des cyclistes, des automobilistes et des piétons. Le problème, c’est qu’aucune de ces catégories de personnes semble connaître le Code de la sécurité routière. En France, par exemple, ces règles sont enseignées à l’école! Il est clair que les piétons sont le plus souvent les victimes, viennent ensuite les cyclistes, puis finalement (et rarement) les automobilistes.

      Mais je persiste et signe, René-Lévesque n’est aucunement propice ni sécuritaire au vélo.

      En ce qui concerne les vélos dans les voies réservées, mea culpa, mais il s’agit d’une exception octroyée par la Ville à défaut d’avoir de véritables voies cyclables. Sinon, en théorie, un vélo sur la route est aussi un véhicule qui doit respecter les mêmes règles que la voiture.

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  8. Francis Vachon

    30 novembre 2012 à 07 h 59

    Tut-tut-tut! Il ne faut pas dire vélo-boulevard. Il faut dire « itinéraire cyclable partagé » :-)
    http://languedutravail.org/nouvelles/732/L-Office-de-la-langue-francaise-cherche-a-franciser—-velo-boulevard—?langue=fr

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  9. jeand Utilisateur de Québec Urbain

    30 novembre 2012 à 09 h 24

    J’aime bien les cyclistes verdâtre qui m’arrivent avec : Sadik-Khan, la « commissioner » au Department of Transportation de NYC a récemment dit que le vélo était le nouveau golf !!!! Il n’y a pas de neige à New-York sauf… quelques jours
    Les trottoirs chauffants= ben oui!
    La Suède est un grand pays, il y a beaucoup de cyclistes à Stockholm!!! Ben oui mais il ne neige jamais à Stockholm,encore moins qu’à New-York!! Tout le sud de la Suède jouit d’un micro-climat qui fait que malgré sa latitude, le climat y est clément
    Arrêtez d’être malhonnête, il y a pas 100 personnes qui font du vélo l’hiver et pas beaucoup plus dans les mois autour dans notre vraie ville nordique.

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    • Louis M.

      30 novembre 2012 à 11 h 44

      «J’aime bien les cyclistes verdâtre qui m’arrivent avec…»
      Laissez tomber les couleurs, vous semblez daltonien et devriez m’interpeller directement plutôt que de m’attribuer des couleurs (qui semble d’ailleurs avoir été écrite péjorativement, bien que je ne le voit pas ainsi)…

      Parce qu’il y a quelques semaines enneigées par année ne réduit pas l’intérêt d’améliorer la qualité et le nombre d’infrastructures cyclables, d’autant plus que la chaussée n’est enneigée que quelques jours par an. L’hiver ne fait d’ailleurs de mal à personne, je ne sais pas pourquoi vous semblez tant la voir comme une contrainte.

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  10. Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

    30 novembre 2012 à 10 h 37

    Avant de penser au vélo l’hiver, il faudrait améliorer les installations pour le vélo l’été!

    Il n’y a pas de chemin facile entre le parc-technologique et l’Université Laval. Le boulevard l’Ormière se fait difficilement à vélo à l’heure de pointe.

    La voie ferrée qui fait Vanier-Duberger-les-saules-l’ancienne-Lorette coupe pas mal la ville en deux aussi. C’est vrai autant pour les vélos, que les autos ou les piétons.

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  11. jeand Utilisateur de Québec Urbain

    30 novembre 2012 à 14 h 28

    Louis M
    Parce qu’il y a quelques semaines enneigées par année ne réduit pas l’intérêt d’améliorer la qualité et le nombre d’infrastructures cyclables, d’autant plus que la chaussée n’est enneigée que quelques jours par an. L’hiver ne fait d’ailleurs de mal à personne, je ne sais pas pourquoi vous semblez tant la voir comme une contrainte.
    Texte encore une fois plein de mauvaise foi, quelques jours enneigées par an!!!!!!!!
    Ce que je dis ce n’est pas d’arrêter de faire du cyclable mais au moins de ne pas dire que c’est une solution de transport viable ici. C’est pas moi qui voit le climat comme une contrainte mais bien 99.99% des cyclistes

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    • Louis M.

      30 novembre 2012 à 15 h 40

      Oh là! Il n’y a aucune mauvaise fois dans ce que je dis! Au contraire, mes dires sont vérifiables.

      «C’est pas moi qui voit le climat comme une contrainte mais bien 99.99% des cyclistes»: encore là, est-ce vraiment l’hiver la contrainte ou plutôt le manque d’infrastructures. À Montréal, depuis que le réseau blanc a été créé le nombre de cyclistes en hiver est en explosion. Le fait d’offrir des vestiaires sur les lieux de travail, comme en été, élimine également en partie les contraintes liées à l’utilisation du vélo en hiver. Comme quoi la contrainte n’est pas tant « l’hiver » que ce qu’on offre aux cyclistes pour les accommoder durant cette saison. Bien sûr, je suis loin d’insinuer que tous les cyclistes en feront en hiver. Cependant, ce n’est pas pour 3-4 mois dans l’année où le nombre de cyclistes est moins important que le vélo n’est pas une solution viable de façon générale pour certains types de déplacement.

      Je vous mets au défi. Histoire de prouver ma bonne foi (ai-je vraiment besoin?… ), calculez le nombre de jours où la chaussée sera enneigée sur une des rues principales d’un des quartiers centraux cet hiver. On semble tellement détester l’hiver au Québec qu’à partir du moment qu’un flocon tombe la déneigeuse le fait disparaître.

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  12. Dede Utilisateur de Québec Urbain

    3 décembre 2012 à 16 h 26

    J’ai circulé à vélo sur Père Marquette hiver comme été pour me rendre à mon travail pendant plusieurs années. Ça a toujours été un charme. Cette rue était large et sécuritaire telle qu’elle était. La transformer en vélo boulevard est tout à fait ridicule à mon sens.

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