Jean-François Cliche
Le Soleil
(Québec) Si la région de Québec a déjà souffert d’un complexe par rapport à Montréal, il ne durera peut-être plus longtemps. Non seulement l’«exode» vers la métropole a-t-il cessé, mais pour tout dire, il s’est inversé : en 2010-2011, il y a eu plus de Montréalais qui se sont établis dans la région de la capitale nationale que de Québécois qui ont déménagé à l’autre bout de la 20. (…) Pour le sociologue de l’Université Laval Simon Langlois (…) On a encore l’image de la ville de la bourgeoisie canadienne-française et d’une ville de fonctionnaires, alors qu’en réalité, c’est devenu une ville diversifiée et avec une offre culturelle importante. C’est une région qui a considérablement changé, et ces mouvements de population ne font que refléter ce nouveau dynamisme» (…)
5 décembre 2012 à 11 h 30
Cela me semble normal, Montréal étant la porte de la quasi-totalité de l’immigration dans la province, et que l’économie de Québec est maintenant plus diversifié, cela donne ce mouvement précis de population,de nouveaux arrivants maintenant plus nombreux annuellement qui s’installent définitivement après leur arrivée un peu partout. En fait, je ne vois pas en quoi cela concerne l’attrait de Montréal pour les régions de manière objective.
En fait, quand je lis les conclusions risibles d’un tel article, je me dis que notre province est encore bien petite et n’a pas abandonné ce sentiment de haine envers Montréal. N’importe quel chiffre pour tenter d’être meilleur que la métropole.
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5 décembre 2012 à 11 h 57
« Des conclusions risibles » ? Ce sont des chiffres, des statistiques. Le rapport peut d’ailleurs être consulté (voir l’hyperlien dans le billet). Merci.
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5 décembre 2012 à 12 h 39
Le bilan interrégional de Montréal se maintient à un niveau relativement constant depuis 10 ans. Comment expliquez-vous cela si l’attrait de Montréal auprès des régions a diminué? Visiblement, toute proportion gardé avec une population grandissante, ce serait aurait dû augmenter pendant la même période, surtout que ce chiffre est alimenté par une immigration internationale plus nombreuse, dont Montréal est la porte d’entrée, aurait dû alimenter encore plus ce déficit.
Je comprends les chiffres. je ne comprends pas cette conclusion. Comme aucun raisonnement n’est démontré dans l’article, je serai heureux d’entendre votre explication, qui semble si évidente mais qui m’échappe.
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5 décembre 2012 à 13 h 18
Votre commentaire est la plus belle démonstration de l’attitude montréalaise qui alimente cette ridicule rivalité.
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5 décembre 2012 à 14 h 13
Ça ne sert à rien d’argumenter, ça va encore et toujours se terminer par le bon vieux: « Vous savez, nous à Montréal, on a rien contre la ville de Québec, c’est vous qui avez un complexe d’infériorité… »
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6 décembre 2012 à 10 h 00
Je viens de Québec, et y habite la plupart de l’année. En ce moment, je suis à Montréal pour une formation.
Désolé de vous décevoir.
Franchement, Montréal s’en fou profond de Québec. On aime juste s’imaginer que les Montréalais parlent au secret contre Québec (en secret parce que ça ne sort jamais dans les journaux). Pendant ce temps nos radios et nos journaux exposent à plein nos complexes d’infériorités. Comme cet article, d’ailleurs.
D’ailleurs, le seul endroit où j’ai vu un client se faire mépriser dans un commerce pour son lieu d’origine, c’était ici. je ne compte même plus le nombre de fois où j’ai entendu un commerçant dire « c’est plus beau ici qu’à Montréal, hein? »
Je ne suis pas la seule habitante de Québec à trouver cette attitude pathétique, faudrait peut-être arrêter de se croire meilleur que tout le monde et faire un examen de conscience. Quand c’est rendu que même les charlatans psychologues de ville nous disent qu’on est complexé…
Mais enfin, personne n’aime se remettre en question. Je comprends cette réaction.
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6 décembre 2012 à 11 h 27
J’en demandais pas autant pour démontrer mon point…
Je commence à être pas mal tanné du cliché « les québécois sont complexés » et « les montréalais sont indifférent des gens de Québec ». Vous savez quoi Manon? Les médias, les forums, c’est pas juste ça la vie. On ne parle JAMAIS du fort pourcentage de gens de Québec (dont je fait parti) qui se désolent du bourbier dans lequel la ville de Montréal est rendu, et qui EUX AUSSI, se foutent pas mal de la petite guéguerre entre les 2 villes.
C’est ironique de constater comment les montréalais et pro-montréalais s’efforce de nous démontrer, nombreux arguments à l’appui, qu’ils sont totalement indifférent de Québec…
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19 décembre 2012 à 21 h 51
Malheureusement on n’aurait pas dû renvoyer Clotaire Rapaille, je crois qu’il avait commencé à déplacer la roche pour en faire dépasser l’anguille.
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5 décembre 2012 à 12 h 10
Ce que je trouve risible personnellement, c’est qu’on termine avec le poids du Québec au sein du Canada ; en quoi est-ce pertinent?
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5 décembre 2012 à 12 h 24
Peréquation ?
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5 décembre 2012 à 20 h 44
Je dirais plus le poids politique du Québec dans le Canada.
La péréquation est chiffré avec la « richesse fiscale » par habitant pour chacune des provinces.
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5 décembre 2012 à 12 h 22
Beaucoup de Montréalais déchantent après l’attrait de la nouveauté, et retournent au bercail. Beaucoup d’immigrants, seuls au monde, s’y ennuient ferme. Souvent victimes de préjugés, ils ont du mal à y dénicher un emploi. Québec est une ville de voitures. En général, il n’y a personne sur les trottoirs, lorsqu’il y en a. Il n’y a pas de transport en commun digne d’une ville d’un demi-million d’habitants. L’écoute de la radio locale les conforte dans la décision de quitter.
Ceci dit, c’est une ville magnifique pour passer un week-end.
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5 décembre 2012 à 13 h 27
Vous n’avez visiblement pas séjourné plus d’une fin de semaine à Québec.
J’y ai habité près de 6 ans et demi sans voiture et laissez moi vous dire qu’il y a des quartiers très piétons au centre-ville.
Je n’ai pas non plus ressenti de préjugés envers les immigrants, au contraire, ils sont généralement accueillis avec beaucoup de fraternité. Il y a des progrès à faire au niveau des employeurs, mais les mentalités changent rapidement.
Le transport en commun est loin d’être idéal dans la capitale, mais le réseau progresse de façon notable à chaque année. Le projet de tramway saurait sans doute changer la donne du tout au tout.
Il n’y a pas »une radio locale » mais bien plusieurs. Il y a une ou deux radio poubelles qui sont écoutées par une minorité d’imbéciles. Montréal n’est pas exempte de connerie humaine non plus. Choisissez vos ondes plutôt que de faire des généralités à partir des pires exemples disponibles.
À chaque fois que QU diffuse un article où l’on compare Montréal à Québec, on a droit à ce genre de commentaire ridicule et empreint de jalousie. Les Montréalais devraient se concentrer à reconstruire leur ville plutôt qu’à tenter de rabaisser les villes qui cherchent à progresser et à se bonifier. Énumérer une série de préjugés dignes des pires radio poubelles ne règle en rien les problèmes de la métropole.
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5 décembre 2012 à 14 h 18
« Beaucoup de montréalais déchantent »
« Beaucoup d’immigrants, seuls au monde, s’y ennuient ferme »
« En général, il n’y a personne sur les trottoirs, lorsqu’il y en a. »
Si c’est écrit sur internet, ça doit être vrai…
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5 décembre 2012 à 19 h 30
J’imagine que c’est une blague. J’ai rarement lu une telle énumération de clichés.
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5 décembre 2012 à 21 h 41
Effectivement. Je suis un immigrant et je rêve du moment ou je pourrais retourner à Montréal ou mieux, à Toronto.
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5 décembre 2012 à 22 h 28
Québec AH! quelle belle ville. Mais pourquoi tant de haine derrière? Pourquoi tous ces gens qui écoutent les radios poubelles? C’est un mal qui existe depuis André Arthur. Ça refroidit bien des Immigrants ( Qu’ils soient Montréalais ou d’ailleurs). Écoutez autre choses et disqualifiez ceux qui écoutent ces postes qui vous nivellent par le bas!
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6 décembre 2012 à 13 h 19
C’est vrai que Québec mérite un meilleur système de transport en commun et que la ville est malheureusement dominée par le mode de vie «automobiliste», mais il est tout aussi vrai d’affirmer qu’il est possible de vivre sans voiture à Québec, à condition d’habituer les quartiers centraux.
J’ai passé une bonne partie de ma vie à Québec jusqu’à maintenant (je suis encore jeune) et je n’ai jamais eu de voiture non plus.
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19 décembre 2012 à 21 h 52
Wait until you take a ride on our tram!
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5 décembre 2012 à 12 h 26
Il y a autant de bonnes raisons de choisir l’une ou l’autre, pour ses qualités. Comme il y a autant de raisons de détester l’une ou l’autre, pour ses travers. De grâce, pas un autre débat Québec vs Montréal…
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5 décembre 2012 à 18 h 00
Dans la vie, ce n’est jamais 50/50 ;)
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6 décembre 2012 à 00 h 59
Les chiffres sont là, c’est un fait, mais les raisons qu’on stipulent pour tenter d’expliquer ces chiffres sont ridicules…
Étant moi-même un citoyen temporaire du centre-ville de Québec en provenance de Montréal, ce qui me fâche le plus, c’est tout le potentiel gâché… Québec a beaucoup de potentiel qui est malheureusement sous-exploité par une proportion (dont je n’avancerai pas l’ampleur) d’habitants ayant une mentalité de villageois, d’anti-développement. Je rêve du jour où les Québécois prendront véritablement conscience du potentiel unique de leur ville. Pour l’instant, j’appréhende mon retour dans la métropole.
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6 décembre 2012 à 13 h 33
Je suis complètement d’accord avec rémi.d.
J’ai emménagé à Montréal pour le travail cet été et Québec me manque terriblement; il y a ce charme, cette beauté/esthétique, cette qualité de vie qu’on ne retrouve tout simplement pas à Montréal, sans parler de l’attitude montréalaise du «je suis Montréalais, donc je suis important».
Mais c’est justement cette attitude parfois villageoise à laquelle rémi.d fait allusion qui me rendait complètement fou à Québec et qui me donnait souvent des envies de partir… jusqu’à que j’aille me calmer en faisant du jogging sur les plaines à 7 h du matin; cette ville (ma ville natale) a effectivement un potentiel *immense* qui est complètement sous-exploité. Un des problèmes, je dirais même un tabou dont on ne parle pas souvent de peur de se faire traiter de tous les noms, c’est que Québec est, elle aussi, une porte d’entrée pour les habitants des régions (Beaucerons, Saguenéens, Bas-Laurentiens, Nord-Côtiers, Gaspésiens, voire Chaudière-Appalaches) dont la mentalité, le mode de vie et les attitudes ne sont pas toujours compatibles avec une ville de 700 000 habitants. À Montréal, ce mode de vie «de région» se fait rapidement diluer dans le mode de vie urbain, mais à Québec, forte de ses grandes banlieues étendues, il est toujours possible d’y vivre comme en région, mais sans vraiment l’être, et c’est selon moi ce qui explique en partie cette mentalité villageoise ou campagnarde que l’on voit ressortir des Québécois (ville) parfois. Ça, et la population majoritairement banlieusarde de la ville…
La grande majorité des animateurs des radios poubelles ne viennent pas ou ne vivent même pas à Québec (Maurais vient de Shawinigan, Dupont vit à Pintendre… Pintendre!), et s’improvisent tout de même des experts sur comment la Ville devrait fonctionner.
Bref…
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6 décembre 2012 à 13 h 41
Je dois avouer ne pas avoir penser à ça (la mentalité de campagne/village et ses effets collatéraux) mais je vais en parler pour voir si …
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6 décembre 2012 à 15 h 19
Si l’agglomération de Québec dépasse aujourd’hui les 750,000 habitants, les urbains proprement dits ne dépassent pas les 150,000. Le tissus urbain de Québec se limite à peu près à l’arrondissement La Cité. Le reste de la «ville» n’est qu’un chapelet d’anciens villages reliés entre eux par des autoroutes, où la densité de la population est très faible. Dans de telle conditions, le transport en commun est difficile, voire impossible à implanter.
Pour nombre d’immigrants-et de migrants-, dépendre d’une voiture pour la presque totalité de ses déplacements (provisions, cinéma, travail, coiffeur, etc) est un puissant repoussoir. Et comme tout le monde vit dans sa voiture, Québec manque de vie.
Le centre a toutefois beaucoup de charme, c’est indéniable.
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6 décembre 2012 à 16 h 26
@Charles
Tout à fait, à quelques exceptions près. Certains banlieues «rapprochées» de Québec, donc celles de la première couronne (où j’ai grandi avant de quitter le nid familial assez tôt), sont relativement bien desservies, dans la mesure où avoir une voiture dès l’âge de 16 ans n’est aucunement nécessaire. Me rendre au centre-ville me prenait à peine 15 minutes. Le seul hic : la fréquence de passage les fins de semaine. Il ne faut non plus oublier l’arrondissement Sainte-Foy-Sillery, dont plusieurs quartiers sont relativement bien ou du moins de plus en plus densifiés et bien desservis en transport en commun également, dont Saint-Sacrement ou tout ce qui entoure le campus universitaire. Bref, le territoire que couvre les métrobus et le 7.
Les choses changent tout de même tranquillement à Québec depuis la dernière décennie, lentement, mais sûrement. Je suis persuadé que ceux et celles qui viennent de Québec (et là je parle de Québec-Québec, pas de Stoneham, de Lévis ou de Lac-Beauport ou même du fin fond de Beauport) ou qui y sont depuis longtemps remarquent bien les changements qui s’effectuent.
À mon avis, les radios poubelles font beaucoup plus peur à l’administration municipale qu’on ne le pense et les incitent à tempérer leurs ambitions ou plutôt de les orienter dans le mauvais sens pour plaire à un électorat, rappelons-le, majoritairement banlieusard et automobiliste. Toute la saga concernant la voie réservée pour autobus sur l’autoroute Robert-Bourassa en est un excellent exemple.
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6 décembre 2012 à 06 h 33
Coût donc, à chaque fois qu’il est question de statistiques
concernant Québec vs Montréal, vous avec le don de tourner
de simples chiffres en débat.
En plus d’être sado-masochiste, souffrez-vous d’un complexe
d’infériorité? À lire certains vos interventions je commence à penser que oui.
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6 décembre 2012 à 17 h 38
On a atteint un point de saturation. Tous les clichés périmés sur la ville de Québec se retrouvent ici réunis. Immigrations, transport, village, radio poubelle, etc., etc. Ce sont les mêmes sempiternelles rengaines qui tournent en boucles sur tous les réseaux sociaux du Québec depuis un bon bout de temps. Il faudrait peut-être penser à vous renouveler les trolls.
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6 décembre 2012 à 20 h 34
J’aurais aimé avoir une idée de l’âge des nouveaux arrivants versus ceux qui quittent. J’y vais d’une opinion, mais je crois que les gens qui reviennent à Québec sont plus âgés que ceux qui la quittent.
Il y a une génération de gens qui ont quitté Québec pour Montréal pour faire leur carrière. Aujourd’hui, peut-être attiré par le développement récent de la capitale, ou par la perspective d’une retraire plus tranquille, ces gens reviennent.
Mais pour ce qui est des jeunes, ils n’ont pas les mêmes objectifs. Contrairement à leurs parents, ils sont résolument plus urbains. Premièrement parce que la voiture n’est plus le symbole de liberté et de prospérité qu’elle a déjà été. Aujourd’hui la liberté, c’est Internet; les jeunes sont connectés et ça change tout. Par Internet, ils se sont rapproché de la société qui les entourent, et se incitent à vivre une vie plus urbaine. En même temps, la facilité des transports et des communications actuelles fait que Montréal ne semble plus aussi éloigné de Québec qu’avant.
Je crois profondément que les jeunes sont plus informés sur les problèmes économiques, environnementaux et mondiaux de notre planète. Et c’est pour ce genre de raison qu’ils recherchent une ville urbaine et diversifiée. Et de ce côté, Montréal offre mieux que Québec (ce qui n’enlève pas beaucoup d’autres qualités à la capitale).
Je connais des classes de l’Université Laval où la moitié des étudiants ont quitté Québec. Pas tous pour Montréal, mais en grande partie. Et la proportion devient pire chez les étudiants étrangers.
En fait, aujourd’hui Québec n’est plus seulement en compétition avec Montréal, mais aussi avec Toronto, Vancouver, New York, Paris, etc, etc.
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6 décembre 2012 à 22 h 48
« Je connais des classes de l’Université Laval où la moitié des étudiants ont quitté Québec ». Ce serait d’ailleurs le motif pour lequel un citoyen de Québec (Régis Labeaume) aurait décidé un jour de s’impliquer comme citoyen au point d’en devenir maire.
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7 décembre 2012 à 09 h 25
Oui, parce que sa fille aînée avait décidé de quitter Québec pour Montréal, et ça l’avait frappé de constater à quel point les jeunes quittaient en masse la capitale pour la métropole. Personnellement, j’ai quitté Québec pour Montréal exclusivement en raison du travail, voyons-le comme un investissement professionnel. Idéalement, dans quelques années, et plus tôt que tard, je reviendrais avec Québec si une bonne occasion d’emploi se présentait.
En ce qui concerne les immigrants, Québec compte un taux de rétention des immigrants supérieur à la moyenne nationale (85 % par rapport à 80 % je crois, mais je ne suis plus sûr).
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6 décembre 2012 à 22 h 52
Les raisons du succès de la ville de Québec sont nombreuses et ça prendrait un résumé-synthèse de ce qui s’est écrit sur Québec Urbain depuis 10 ans pour en faire un portrait.
On pourrait dire:
-La ville a été bien gérée depuis 15-20 ans (pas de scandales de corruption ou de collusion )
-Les fusions municipales ont été réussies a Québec
-la revitalisation économique et la revitalisation de quartiers en déclin ont aboutis après des années et des années de persévérance (ça a pris une volonté politique)
Je ne nommerai pas ici tous les autres facteurs mais on peut dire que, ici à Québec, on n’a pas l’impression d’avoir été trahi par nos politiciens (Il y a eu une volonté politique pour que ¸aa bouge … et la ville a bougé! On a labouré – on a semé – et now on récolte des fruits!
A court terme Québec s’en sort beaucoup mieux que Montréal!
On ne peut dire que bravo à Québec !
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6 décembre 2012 à 23 h 16
« Les fusions municipales ont été réussies à Québec ».
Je pense que vous avez misé fort juste. Pour des motifs électoraux, un parti politique (Libéral) a démantelé ce qu’était la nouvelle ville de Montréal et cet endroit sera ingouvernable pour les années à venir. Imaginez si à Québec le territoire de Sainte-Foy se serait défusionné ..
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7 décembre 2012 à 11 h 27
« Les fusions municipales ont été réussies à Québec ».
Sauf pour une chose, car les banlieusards sont majoritaires à la ville de Québec de même qu’à la Ville. Cela a un coût, n coût politique qui se voit dans les politique de Labeaulme.
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7 décembre 2012 à 11 h 39
Bien vu, c’est également mon avis. Depuis les fusions, la grande majorité de la population vit en banlieue et ne connaît pas grand-chose à la ville-centre.
Mis à part Neuchâtel, Lebourgneuf, Duberger, les Saules et quelques secteurs de Vanier, la ville de Québec pré-fusion n’avait à peu près pas de banlieue sur son propre territoire.
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20 décembre 2012 à 11 h 51
« sauf pour une chose… »
Euh… c’était pas justement le but des fusions?
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7 décembre 2012 à 22 h 02
Rappel
Une des raisons de la fusion municipale est que l’on reprochait aux banlieues de ne pas s’intéresser à la ville-centre en laissant celle-ci assumer les coûts d’équipements régionaux.
Bien entendu ça fonctionnait dans les 2 sens: on reprochait à la ville-centre de ne pas s’intéresser au sort de l’aéroport par exemple
On était dans une logique de rivalité « Perdant-Perdant »
« Je mets pas une cenne dans ton aéroport pcque tu mets pas une cenne dans mon musée »
La fusion « force » a passé à une logique « Gagnant-Gagnant »
La fusion a d’abord été « forcée » avant d’être « consentie » par référendum.
C’est la différence avec Montréal : Ici à Québec la fusion a été consentie
À Montréal , elle a été forcé mais peu consentie par la suite!
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3 janvier 2013 à 21 h 18
Théorie simpliste basé sur des statistiques pour expliquer le phénomène d’immigration inverse: taux de chômage moyen à Québec depuis 5 ans, environ 5%, l’un des plus faible au Canada en moyenne depuis 5 ans. Montréal, environ 9% depuis 5 ans…facile à comprendre maintenant. Si le taux de chômage à Montréal serait plus faible, la province de Québec afficherais un taux sous la moyenne canadienne, faudrais s’attaquer au Probleme, pourtant, vu de l’extérieur, c’est pas les projets qui manques…tout est à refaire…alors Montréalais soyez fière et au boulot!
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