Le Prix du public invite les citoyens à se prononcer sur le bâtiment de leur choix, sur celui qui leur plaît le plus. Parmi les 7 finalistes de la cuvée 2012, le public a choisi le Pavillon des arts du Cégep de Sainte-Foy
Le Prix du public invite les citoyens à se prononcer sur le bâtiment de leur choix, sur celui qui leur plaît le plus. Parmi les 7 finalistes de la cuvée 2012, le public a choisi le Pavillon des arts du Cégep de Sainte-Foy
Voir aussi : Architecture urbaine.
6 décembre 2012 à 06 h 08
«Asinus asinum fricat.»
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6 décembre 2012 à 14 h 40
« Lorsque deux personnes s’adressent mutuellement des éloges excessifs, on dit que « l’âne frotte l’âne », soit en latin asinus asinum fricat. »
J’ai dû faire une petite recherche.
M. Naud, à vous maintenant de préciser le sens de votre intervention latine. Sarcasme de votre part?
Pour le bien des lecteurs, pourquoi ne pas expliquer clairement ce qui vous agace avec les Mérites d’architecture?
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6 décembre 2012 à 16 h 31
Le Prix du public invite le tout venant à se prononcer sur le bâtiment qui lui plaît le plus sans lui laisser la liberté de désigner celui qui lui plaît le moins…ou qu’il déteste. L’opinion est ainsi pré-formatée et orientée dans un sens défini, soit l’admiration devant certaines réalisations architecturales du jour. Dans un premier temps, on précise d’abord où se trouve le Bien (les Mérites…), puis les citoyens sont invités à désigner la « plusse meilleure » réalisation, sans avoir la possibilité de désigner la « plusse pire » à leurs yeux.
C’est pourquoi ce type de concours me semble constituer en partie un exercice de congratulations réciproques entre gens des milieux de l’architecture ou de l’urbanisme. Rappelons ici la remarque de Beaumarchais: « Sans la liberté de blâmer, il n’est pas d’éloge flatteur. »
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6 décembre 2012 à 17 h 46
Vous souhaiteriez donc qu’on décerne des prix Citron aux Mérites d’architecture? Pourquoi pas…
Cependant, si tous les concours mettaient l’accent aussi sur les « plusse pire », ne croyez-vous pas qu’on assisterait à des dérapages, à des règlements de compte entre gens des milieux concernés?
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6 décembre 2012 à 21 h 32
Une société ne peut évoluer qu’en ayant une multiplicité d’idées qui s’entrechoquent. « Au choc des idées jaillit la lumière », disait Nicolas Boileau (1636-1711). Il me semble que cela serait bon en architecture itou…
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6 décembre 2012 à 09 h 09
Mon coup de foudre absolu des dernières années… et ce n’était pas un gratte-ciel :
https://www.quebecurbain.qc.ca/2007/08/21/mes-coups-de-coeur-contemporains-6-lagrandissement-de-la-bibliotheque-de-charlesbourg/
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