Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Maisons de guerre, maisons de paix à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 mars 2013 3 commentaires

Alexandra Perron
Le Soleil

(Québec) Rue des Ardennes, rue de l’Aviation, rue de l’Armée, rue Roosevelt, rue Churchill… Vous connaissez? On se croirait en plein terrain miné! Et pourtant, pour Odette Falardeau, ce coin de Québec qu’elle appelle encore Saint-Malo est un petit havre paisible.

«C’est la campagne en ville, à deux pas du centre-ville.» Sa maison est toute coquette, surtout en été.

Mme Falardeau a déjà remporté un prix Maisons fleuries. Elle tient son pouce vert de sa grand-mère, de qui elle a racheté demeure et jardin lors de la succession en 1984. En hiver, il y a tout plein d’oiseaux. Cette année, elle a même eu droit à la visite de beaux cardinaux rouges.

La suite

Un article ayant inspiré le titre du billet * Diane Archambault-Malouin (Continuité)

Très intéressant

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire, Patrimoine et lieux historiques.


3 commentaires

  1. Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

    5 mars 2013 à 10 h 26

    Bel article, mais « la campagne en ville », faut pas charrier. À la campagne, les maisons sont passablement plus éloignées que ça.

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    • Pierre-André

      5 mars 2013 à 11 h 12

      Et la ville est pas mal plus loin aussi…

      J’ai toujours compris cette expression comme étant moitié de l’un, moitié de l’autre.

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    • Manu

      5 mars 2013 à 12 h 42

      Effectivement « la campagne en ville », ce n’est vraiment pas le cas! Les maisons sont petites (style « vétéran », 24×24 un étage et demi), rapprochées et les terrains sont minuscules.

      C’est au contraire, un « coquet quartier de ville » quant à moi (pour les rues les plus à l’ouest du moins). Quand on passe dans ces rues à pied (ou à vélo, ou tranquillement peu importe comment), on sent que ce n’est pas un quartier aisé, mais en même temps, c’est très charmant. Ça vaut la peine de s’y promener au moins une fois.

      Je ne trouve pas vraiment d’endroits semblables ailleurs à Québec. Peut-être qu’il y en a déjà eu à Vanier ou Limoilou, ou même dans les quartiers plus centraux, qui ont été converti en série de blocs appartements avec le temps (ou suite à des incendies).

      En comparaison, on trouve quelques îlots du genre à Montréal, de Parc Extension à Rosemont (et les autres quartiers entre les deux), avec les mêmes maisons, qui se démarquent de la mer de blocs à logements de ces secteurs.

      On retrouve néanmoins un version contemporaine de ce petit St-Malo, fraîchement construite sur les rue Charles Dicken et Jack Kerouac dans Lebourgneuf. Ne manque plus que 50 ans d’attente pour y voir des arbres matures.

      Dans l’ensemble, l’utilisation de l’espace est semblable à des rues de jumelés, mais je préfère le cachets des petites maisons détachées.

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