Je note un passage qui fera jubiler le maire ou François Picard: “We have beaten the odds and the obstructionists over and over again,” the mayor triumphantly declared in his State of the City address in March…
Mais on aura beau dire, New York qui s’était retrouvée meurtrie et à genoux au lendemain du 11 septembre, a connu une renaissance spectaculaire. C’est un bel exemple qui démontre que l’on peut être une grande ville (très très grande même) et offrir quand même une qualité de vie assez exceptionnelle à ses citoyens.
Comme l’a montré le texte de F. Bourque en fin de semaine, dans l’opposition F. Picard n’était pas loin d’un « anti-toute »…
Si le maire (en particulier) et son équipe n’avaient pas le réflexe d’envoyer paître tous ceux qui ne pensent pas comme eux, peut-être que les gens écouteraient plus :)
Néanmoins, la fin de cet article : « M. Picard était-il un chialeux anti-toute? Je ne crois pas. » On ne conclut pas du tout qu’il fut pas loin d’un anti-toute.
À ce qu’on peut déduire il était plutôt un peu en avance sur son temps, ou plutôt sur celui où croyaient vivre les décideurs à ce moment. Malgré l’essoufflement, il l’est encore un peu de jour, du moins face à l’opposition immobiliste. On ne peut quand même pas lui reprocher d’être demeuré cohérent pendant près de 20 ans de vie politique.
20 août 2013 à 00 h 04
Je note un passage qui fera jubiler le maire ou François Picard: “We have beaten the odds and the obstructionists over and over again,” the mayor triumphantly declared in his State of the City address in March…
Mais on aura beau dire, New York qui s’était retrouvée meurtrie et à genoux au lendemain du 11 septembre, a connu une renaissance spectaculaire. C’est un bel exemple qui démontre que l’on peut être une grande ville (très très grande même) et offrir quand même une qualité de vie assez exceptionnelle à ses citoyens.
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20 août 2013 à 09 h 17
« We have beaten the odds and the obstructionists…
Donc c’est effectivement possible d’aller de l’avant dans des projets malgré l’opposition des anti toutes.
La ville n’a qu’à agir comme l’administration Blomberg.
En passant rue de la Faune j’ai vu l’emplacement du projet Nodélo. Ce développement aurait été magnifique vraiment de qualité.
Projet refusé par les citoyens . Pourtant ce secteur est laid .archi laid et là je suis poli….
Étonnant que l’on soit obligé de préserver la laideur .
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20 août 2013 à 09 h 27
Projet Nodélo plutôt sortie Georges Muir.
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20 août 2013 à 12 h 27
Comme l’a montré le texte de F. Bourque en fin de semaine, dans l’opposition F. Picard n’était pas loin d’un « anti-toute »…
Si le maire (en particulier) et son équipe n’avaient pas le réflexe d’envoyer paître tous ceux qui ne pensent pas comme eux, peut-être que les gens écouteraient plus :)
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21 août 2013 à 00 h 27
Néanmoins, la fin de cet article : « M. Picard était-il un chialeux anti-toute? Je ne crois pas. » On ne conclut pas du tout qu’il fut pas loin d’un anti-toute.
À ce qu’on peut déduire il était plutôt un peu en avance sur son temps, ou plutôt sur celui où croyaient vivre les décideurs à ce moment. Malgré l’essoufflement, il l’est encore un peu de jour, du moins face à l’opposition immobiliste. On ne peut quand même pas lui reprocher d’être demeuré cohérent pendant près de 20 ans de vie politique.
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24 août 2013 à 09 h 03
Comparer New-York et Québec, Bloomberg et Labeaume…?
Pourquoi pas Pékin ou Shangaï: les anti-toute se font ramasser pas mal raide là-bas aussi…
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