Frapu
La reprise de contrôle par la ville de Québec du développement du futur écoquartier de la Pointe-aux-Lièvres est une bonne nouvelle. Si la Ville prend les bonnes décisions, cela pourrait faire une grande différence pour les locataires du centre-ville, affectés par l’explosion du coût des loyers dans les 10 dernières années et par la transformation de logements locatifs en condos
1er septembre 2013 à 21 h 34
Quel titre ridicule
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1er septembre 2013 à 21 h 54
Ça prend une place pour les plus pauvres c’est certain. Les logements subventionnés ont leur place, tout comme les HLM.
Cela dit, je suis contre les bâtisses ghetto où l’on entasse les pauvres (ex. tour sur Marie-de-L’incarnation).
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1er septembre 2013 à 22 h 31
Ça veut presque dire qu’il faut être pauvre pour être écologique…
Il y a déjà une bonne mixité sociale dans la région.
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1er septembre 2013 à 22 h 45
La définition du terme « écoquartier » ne semble pas faire consensus, et encore moins son diminutif « éco » utilisé à toutes les sauces, tout comme « vert ». Par conséquent, il est facile d’imaginer une définition de « éco » qui concorde avec le slogan de la campagne du FRAPRU.
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2 septembre 2013 à 22 h 10
L’ écoquartier de la Pointe-aux-Lièvres répond en priorité aux besoins en logement de jeunes professionnels urbains travaillant possiblement dans la techno-cité de St-Roch.
On a parfaitement saisi cette problématique (de besoins de logements adaptés) dans le litige « Ilot Esso; les 6 étages de la discorde »
Vouloir installer des loyers modiques sans savoir si les objectifs sont concordants me semble de la politique du genre: » je-tire-la-couverte-de-mon-bord » puis on verra bien! » Du lobbyisme fatiguant!
Peut-Etre qu’une mixité serait envisageable avec une unité de loyer modique dans l’éco-quartier mais il faudrait l’étudier avec une approche plus constructive que ce lobbyisme fatiguant; Un genre de coopération peut-être?
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3 septembre 2013 à 10 h 42
«Du lobbyisme fatiguant»! J’aime bien cette expression. Il y a des logements sociaux au Village de l’Anse tout à côté, on devrait plutôt les construire à cet endroit, en continuité avec ce qui y est déjà offert, à la place où on a gaspillé un grand bout de terrain pour faire une butte de gazon complètement inutile.
«si les projets réalisés dans les quartiers centraux ne comprennent pas un nombre significatif de logements sociaux, ils entraîneront une gentrification de ces quartiers et un exode des populations qui y habitent.» Quel exode dans ce cas-ci? Les goélands et les rongeurs qui occupent cet immense terrain vague? Adaptez votre discours, au moins!
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3 septembre 2013 à 12 h 16
» jeunes professionnels urbains « : une expression à la mode sans doute, mais qui veut dire quoi ? dentistes ou ingénieurs qui ont leur corporation professionnelle ou simplement des gens avec un DEC ou un BAC qui travaillent dans le domaine des nouvelles technologies ?
Ils doivent représenter énormément de personnes pour qu’on leur construise (ou qu’on veuille leur construire) tant de condos au centre-ville ….
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3 septembre 2013 à 13 h 12
« Ils doivent représenter énormément de personnes pour qu’on leur construise (ou qu’on veuille leur construire) tant de condos au centre-ville …. » (real)
Effectivement… sinon la ville ne s’impliquerait pas!
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