Charles-Antoine Rouyer
Le Devoir
Oslo — La tranquille capitale norvégienne est en passe de devenir la Dubaï du Nord, soit une vitrine de l’architecture moderne grâce aux richesses de son pétrole de la mer du Nord. Mais Oslo a su préserver ses ravissants quartiers historiques. Et blottie au fond d’un fjord de 100 kilomètres de long, la ville est plongée dans la nature, entre plages et collines environnantes recouvertes de forêts et plus de 300 lacs et 40 îles. Sans compter une multitude de musées, dont celui de MUnch, l’expressionniste enfant du pays célèbre pour sa toile Le cri.
Oslo est l’une des villes les plus chères au monde derrière Tokyo, Osaka et Sydney (selon la financière UBS). Un café latte d’une chaîne américaine y était le plus dispendieux en 2013, à près de 10 $US (le pays a refusé l’euro et la couronne norvégienne est forte). Mais c’est une ville à l’échelle humaine avec ses 613 000 habitants, soit un peu plus que Québec, avec la même superficie que la Vieille Capitale, dont plus de la moitié en forêts.
* Merci à un très fidèle lecteur (André Bernatchez)