Extrait de l’article «La boucherie W.E. Bégin sur le point de renaître», Le Soleil, 9 février 2014
Les grues devraient bientôt s’activer au 500, rue Saint-Jean, pour la construction d’un nouvel immeuble de quatre étages, dont le rez-de-chaussée accueillera une nouvelle succursale de W.E. Bégin «quelque part en 2014».
Quand la boucherie avait fermé en octobre 2012, le propriétaire Luc Massicotte espérait la rouvrir huit mois plus tard. Finalement, la pause aura été d’environ deux ans – si tout finit par se dérouler rondement. «Les négociations avec la Ville ont été plus difficiles que prévu, mais maintenant, il n’y a plus rien qui puisse m’empêcher de démolir la bâtisse actuelle», assure M. Massicotte.
Le plan est de construire sept unités de condos au-dessus du futur local commercial. La démolition du bâtiment datant de 1847 était inévitable, explique l’homme d’affaires, en raison de son «piteux état» qui rendait pratiquement impossible la réouverture de la boucherie en respectant toutes les normes de salubrité.
Tout le contraire de la microbrasserie Les 3 Brasseurs, sur la Grande-Allée, qui ont pu récupérer un bâtiment construit la même année (1847), même s’il a nécessité «des rénovations majeures en raison d’un bâtiment qui était devenu dangereux».
13 février 2014 à 09 h 41
C’est une bonne nouvelle!
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13 février 2014 à 10 h 32
Pathétique. Quel mauvais entrepreneur. Il fait des promesses aux clients et il ne peut pas les respecter. Quant à moi, il a perdu sa clientèle depuis un bout dans St-Jean-Baptiste. Les gens sont allés voir ailleurs.
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13 février 2014 à 11 h 23
Bonne nouvelle pour le faubourg St-Jean-Baptiste.
Cette bâtisse présentait un spectacle désolant avec ses placards et offrait un air d’abandon froid et triste.
Espérons que les finalités se feront dans l’harmonie afin de ne pas retarder l’étape finale.
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14 février 2014 à 13 h 06
J’aime bien sa phrase «Les négociations avec la Ville ont été plus difficiles que prévu», ce qui explique le retard dans le projet. Je crois que çà illustre aussi bien a quel point le Service de l’urbanisme semble justifier sa réputation de mettre des bâtons dans les roues de projets et bien inutilement parfois semble-t-il.
Mais je dirai: enfin! Ca fait plus d’une année que le quartier n’a plus de boucherie (déjà qu’il n’y a pas de poissonnerie ni de fruiterie dignes de ce nom), l’Intermarché n’étant, au mieux, qu’un gros dépanneur, bien pratique malgré tout…
Mais l’offre commerciale du quartier commence sérieusement à laisser désirer et le problème ne s’est qu’accru dernièrement avec un nombre impressionnant de locaux vides…
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