Stéphanie Martin
Le Soleil
(Québec) Si Jacques Robitaille ne construit pas sur son terrain, la Ville de Québec entreprendra des procédures d’expropriation.
«On ne peut pas laisser un terrain de même en plein milieu de la Ville. Alors s’il ne se passe rien, s’il n’y a rien qui se construit, on va exproprier et on va vendre à un promoteur pour qu’il se passe quelque chose là.»
8 mai 2014 à 06 h 31
Bravo. D’accord à 100%. Un autre proposition de Dave deux qui devient réalité…:-)
PS: « On ne peut pas laisser un terrain de même en plein milieu de la Ville. » C’EST VRAI…Mais cela comprend sûrement le marécage qui se
trouve sur l’ancien chantier du Palais de l’Intendant?
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8 mai 2014 à 09 h 51
Le terrain du Palais de l’intendant, au moins il est relativement «caché».
Après le terrain de l’ancienne Saint-Vincent de Paul, je m’occuperais d’abord des anciennes stations services qui pullulent (coin Charest Langelier, garage côte d’Abraham, Chemin Ste-Foy coin Bourlamaque…. et de l’immense stationnement laid de Kevlar coin Dorchester/Saint-Vallier.
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8 mai 2014 à 14 h 39
J’ai hâte de voir ce que ça va donner… Normalement, on ne peut pas exproprier quelqu’un juste parce qu’il ne fait rien sur son terrain.
Une expropriation doit se faire dans un objectif de développer un bien public, route, piste cyclable, etc.
Si c’est juste exproprier pour revendre le terrain, on a peut-être un autre dossier qui va aller jusqu’à la Cour suprême… ;-)
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8 mai 2014 à 14 h 58
Je suis d’accord que c’est une précédent dangereuse. Exproprier juste parce que le propriétaire n’est pas décidé encore sur une projet ou il n’y a pas le financement. Ce ne sont pas des bons raisons. C’est sur que s’il y a du développement ça donne plus d’argent à la ville, mais pour le moment le propriétaire paie ses taxes.
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