Source : Marianne White, Le Journal de Québec (15 mai 2014)
Québec veut honorer la mémoire de l’ancien maire, Jean Pelletier, en renommant la place devant la gare du Palais, en basse-ville, à son nom.
Le maire Régis Labeaume avait déjà évoqué cette possibilité et le Comité de toponymie de la municipalité a récemment accepté la proposition de changement d’appellation de la «place de la Gare» pour la «place Jean-Pelletier».
Dans un sommaire rédigé par la Ville, on peut lire que cette place est symbolique puisque l’ex-maire Pelletier a été l’initiateur du projet de la gare intermodale, lancé en 1981.
M. Pelletier a été maire de Québec de 1977 à 1989. C’est aussi pendant son mandat que l’arrondissement historique de Québec a été classé au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Cette proposition sera soumise à une consultation publique. Si elle est acceptée, la nouvelle dénomination sera officialisée en juillet.
17 mai 2014 à 00 h 00
Ouf ce fut long mais enfin voilà et on ne s’est pas trompé tout concordait pour nommer cet endroit au nom de Jean Pelletier
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18 mai 2014 à 11 h 07
belle unanimité …. :-)
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18 mai 2014 à 13 h 22
« Cette proposition sera soumise à une consultation publique. Si elle est acceptée, la nouvelle dénomination sera officialisée en juillet. »
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18 mai 2014 à 14 h 47
Honnêtement, le personnage ne fait pas l’unanimité, pour ne pas dire qu’il est toujours très contreversé quant à sa conduite et ses actions.
Un peu trop tôt encore, à mon avis, pour cet « honneur » à peine cinq ans après sa mort. On a aujourd’hui la canonisation facile …
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20 mai 2014 à 09 h 42
@ Réal
Attention! Votre point de vue n’est peut-être pas bienvenue. ;-)
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20 mai 2014 à 12 h 37
Nous savons tous les deux que la ligne entre le commentaire injurieux et l’expression d’une opinion est parfois mince …
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20 mai 2014 à 13 h 14
Ne tire pas sur le messager. ;-)
Voici un extrait de l’article Wikipedia à son sujet:
« Il est surnommé « The Velvet Executioner » ou « The Elegant Executioner » par les Canadiens anglophones.
Il a été blâmé par le juge John Gomery dans le scandale des commandites, bien qu’il conteste ses conclusions devant un tribunal. « Dans la guerre, on ne se demande pas si les munitions sont payées, on les tire. » »
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20 mai 2014 à 14 h 51
Et les tribunaux lui ont donné raison quand il a contesté le blâme de la Commission Gomery. Mais on peut s’entendre aisément sur le fait qu’il est un personnage contesté.
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