Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


La vie de commerçant à Québec: pas toujours facile

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 juin 2014 9 commentaires

éçicerie couillard

Triste nouvelle pour l’Épicerie de la rue Couillard et les résidents du quartier. Des idées d’alternatives pour renverser la décision?

Le maintien de nos (fragiles) services de proximité passe par leur appropriation par les citoyens, n’est-ce pas?
Bon…alors, selon la ville de Québec, nos deux petites tables et chaises dérangent dans les règlements municipaux!! Désolé pour nos clients et touristes qui appréciaient déguster nos sandwichs assis tranquille pour profiter des charmes du vieux-Québec. Une amende de 2000$ par jour si nous les laissons en place. Petit commerce que nous sommes nous ne pouvons nous le permettre mettons..!! Ça doit être ça s’attaquer aux vrais problèmes….BRAVO!

La suite

L’opinion de François Bourque chroniqueur au journal Le Soleil

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.


9 commentaires

  1. davedeux

    16 juin 2014 à 17 h 14

    L’ancienne épicerie Gaboury, dans l’édifice qui était propriété de
    Mme Anna Diesbourg qui résidait au-dessus de ce commerce avec son mari Alexandre Bardou (Épicerie Bardou) C’était l’époque ou l’été durant les grandes chaleurs, les citoyens qui étaient nombreux dans ce quartier, s’installaient avec leurs chaises pliantes devant leurs maisons.
    Malheureusement, aujourd’hui ce serait impossible car la ville par un règlement ridicule, s’efforce à tuer toute vie de quartier.

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  2. «Le» lecteur assidu

    16 juin 2014 à 21 h 55

    « Ouais », c’est « vrai » que c’est très « dangereux » ! ! !

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  3. nietnietniet

    17 juin 2014 à 06 h 37

    C’est ca la société d’aujourd’hui. Trop de règlements pour tout gérer. Le gros bon sens n’est pas suffisant on dirait.

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  4. Michel Beaumont

    18 juin 2014 à 08 h 40

    Personnellement, j’aurais toléré.

    Cette rue, quoique très étroite, ne subit pas un grand débit de circulation.

    Ces 2 commerces sont en retrait de la rue St-Jean. Pourquoi ne pas les avantager du droit de placer des tables et des chaises sur le trottoir?

    Les citoyens de cette rue y placent bien des vidanges qui obstruent l’accès aux trottoirs!

    L’équité, ça va. La sécurité, je doute!

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  5. David Johnson Utilisateur de Québec Urbain

    18 juin 2014 à 16 h 02

    Une future zone de rencontre ou rue partagée?

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  6. louuiss Utilisateur de Québec Urbain

    19 juin 2014 à 21 h 58

    Mdr! Bien vu, M. Gobeil! :-)

    Mais c’est justement grâce à l’intelligence du principe du « No Fault » de notre régime public d’assurance automobile. Lui-même menacé par les chantres de l’individualisme qui voudraient justement pouvoir poursuivre le responsable de leur accident!!!

    Alors, pour l’exemple, suffit d’oublier l’automobile et d’imaginer …qu’une dame âgée se casse une hanche pcq forcée de descendre du trottoir… Mettons! ;o) …Et la logique s’applique.

    Ps : Remarquez, je déplore totalement l’absurdité de la situation!

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      19 juin 2014 à 22 h 04

      Soyons simplement réaliste. Le Vieux-Québec a des difficultés certaines et connues. Or l’endroit est fréquenté parfois (…) par des touristes. Des petites chaises du genre, sur des trottoirs, il y en a dans toutes les grandes villes touristiques du monde. C’est charmant. Et reposant. Le dogmatisme de la Ville dans cette affaire est tout simplement décevant. Pour nous et le commerçant.

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