La Carrefour de Québec
Initiative passée relativement inaperçue, à part dans le Carrefour, bien sûr, la fresque de ruelle réalisée sous la supervision des gens de la Boutique du skate gagne à être connue.
L’opération consistait à embellir une ruelle par la réalisation d’une œuvre murale. Les associés de la Boutique du Skate, sur la troisième avenue, Stéphan Isabel et Phil Doré ont reçu l’aval de leur propriétaire et de celui de l’édifice voisin, pour rendre les murs «drabes» des ruelles plus accueillantes. Le résultat est probant.
Cette initiative devrait faire des petits et on devrait étendre le concept à toute la ville. Bien sûr, ce n’est pas simple, mais rien que durant mes déplacements quotidiens, j’identifie, sans effort, des dizaines d’endroits où l’on pourrait laisser libre cours à des créateurs inspirés. Un important bassin de jeunes artistes, prêts à s’exécuter pour pas cher serait en plus accessible. Alors, qu’est-ce qui nous empêche de répéter?
19 juin 2014 à 11 h 20
Ouach ! … Que c’est laid ! …
Est-ce que j’ai le droit de dire ça ?
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19 juin 2014 à 11 h 39
« … Au lieu de se battre contre les graffitis, encadrons-les. En plus, les graffiteurs respectent généralement les œuvres de ce genre, alors où est le problème? Les graffitis laids naissent de la contrainte et de la précipitation…. »
C’est du n’importe quoi: les graffiteurs ne respectent rien, pas plus les fresques d’une certaine qualité que les propriétés privées. Je ne comprend pas qu’on veuille glorifier le vandalisme.
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19 juin 2014 à 12 h 16
Bristol en Angleterre semble penser autrement. J’ai vu un reportage à ce sujet dans une émission qui vantait cette ville comme destination touristique. Une des activitées suggérée était un tour de ville « Street Art ».
http://www.bristol-street-art.co.uk
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19 juin 2014 à 13 h 15
Tout ce que peux vous répondre, c’est que les graffitis dans mon quartier ne seront jamais un attrait touristique ( faut quand même faire la différence entre une fresque et un tag grabouillé). Ce n’est pas pour rien que l’organisme Graff’Cité offre ses services chaque été pour les effacer, quand ce n’est pas le propriétaire lui-même qui le fait, comme ça m’est encore arrivé ce printemps….
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19 juin 2014 à 13 h 34
Peut-être qu’avant la naissance de ce projet à Bristol, les « tags » étaient proportionnelement plus présent que les fresques?
Soit-dit en passant il n’y pas pas que des fresques dans ce projet à Bristol.
Et de plus à Québec il y a déjà quelque chose qui se fait avec Ex-Muro Arts Public, Folie-Culture…
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