Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil
(…) MD «C’est un bâtiment laissé à l’abandon. Il n’y a aucun entretien depuis des années.» Une des dernières grandes maisons bourgeoises. Construite par un riche industriel en 1909, elle avait été rapidement acquise par le commerçant Maurice Pollack, immigrant juif. Depuis qu’elle a été transformée en maison de chambres, au cours des années 70, elle n’a pas été rénovée. «C’est vraiment une maison d’exception. Elle est unique par son histoire, par son architecture. C’est une des plus flamboyantes de la Grande Allée.» Seule maison de style néobaroque de Québec, elle témoigne de l’opulence des familles fortunées de l’époque.
22 juillet 2014 à 09 h 39
Je suis allé à quelques reprises sur le blogue de M. Dubois, prof.
Les commentaires sont intéressants et pertinents.
Concernant la maison Pollack. Il faut pointer du doigt le laxisme éhonté du ou des propriétaires. Pendant des années, trop peut-être, elle fut abandonnée et ainsi privée d’un entretien de base.
Jadis d’un style et d’un esthétisme à faire l’envie de plus d’un, malheureusement cette maison affichait la tristesse et la désolation.
Donc, selon moi, les propriétaires doivent être placés au box des accusés avant la Ville.
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22 juillet 2014 à 15 h 37
Que ce soit pour cet immeuble ou cet autre, la Ville n’a aucun pouvoir. Constat.
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