* Crédit photos: François Descôteaux
Avec cette nouvelle passerelle, la Ville de Candiac, située en banlieue de Montréal, voulait se doter d’une identité visuelle forte et en profiter pour relier ses secteurs nord et sud, divisés par une importante autoroute. La passerelle, porte d’entrée symbolique de cette ville en pleine croissance, devait également s’intégrer au paysage de manière harmonieuse.
Conçue pour les piétons et les cyclistes, la passerelle puise son originalité dans un concept architectural qui engendre un mouvement, une dynamique, une expérience cinétique et scénographique. L’effet obtenu, tant pour les usagers de l’autoroute que pour les utilisateurs et utilisatrices de la passerelle, est créé par la superposition de deux écrans métalliques, en mouvement inverse, situés de part et d’autre de ce lien qui enjambe les voies de circulation. Les lattes posées à la verticale forment des écrans protecteurs qui laissent entrevoir le paysage. Enfin, l’utilisation de la couleur ocre rappelle les graminées qui poussent abondamment sur le territoire.
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24 juillet 2014 à 15 h 26
Bof….
concept architectural qui engendre un mouvement, une dynamique, une expérience cinétique et scénographique
Rebof… architecte a du facturé $50000 de plus pour rajouter une demie clôture de chaque côté et pondre le texte ci-haut!
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25 juillet 2014 à 09 h 50
C’est quand même plus attrayant que le concept de fer rouillé qu’on a utilisé pour traverser la Saint-Charles entre Duberger et Lebourgneuf, qui lui donne l’allure d’un vieux pont abandonné.
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25 juillet 2014 à 14 h 15
Les balustrades sont tellement hautes qu’à moins de faire six pieds et plus il faut se pencher et regarder dans les trous décoratifs de la balustrades pour voir la rivière. C’est ridicule. Et puis, je ne comprend pas pourquoi ils ont utilisés autant d’acier et de piliers pour la tenir. C’est juste pour les piétons et les cyclistes. On dirait qu’ils ont faits ça pour faire passer des trains.
Je préfère de beaucoup ce concept. Ça c’est une vraie passerelle.
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29 juillet 2014 à 06 h 25
Quelle rivière? C’est au dessus d’une autoroute.
Pour ce qui est de l’utilisation de tant de piliers et d’acier, il faudrait voir les contraintes qui étaient dans l’appel d’offre du projet. Comme c’est au dessus d’une autoroute, peut-être que la réglementation du ministère ne permet pas de faire n’importe quoi afin d’assurer un minimum en ce qui concerne la sécurité et la durée de vie?
Quel est le concept nettement mieux?
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