Quartier St-Jean-Baptiste: 30 ans de résistance

Le quartier Saint-Jean-Baptiste, avec son comité de citoyennes et de citoyens, ses coopératives d’habitation et ses nombreuses initiatives communautaire, fait souvent figure de village gaulois. Dans mon quartier permet à des citoyennes et des citoyens engagés dans la vie du Faubourg de présenter leur quartier: son histoire, ses luttes, ses problèmes et leurs solutions. Au fil du documentaire, on découvre ou redécouvre, grâce à des séquences d’archives, les luttes sur la rue Saint-Gabriel et sur l’îlot Berthelot. On est plongé au cœur d’une bataille très actuelle contre la circulation de transit et on touche du doigt l’utopie d’une ville où il ferait vraiment bon vivre.

Véritable portrait de l’engagement citoyen, le documentaire d’une durée de 29 minutes, a été réalisé à l’occasion du 30ème anniversaire du Comité populaire Saint-Jean-Baptiste.

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4 commentaires

dlp

13 septembre 2014 à 07 h 56

Le « ton » utilisé dans ce documentaire… Je n’arrive pas à mettre le doigt dessus mais le « 30 ans de résistance », les « militants », le « comité populaire », la « circulation de transit des banlieues », nos « luttes »… plutôt que médiation, citoyen, conseil de quartier, la circulation automobile, nos défis, je ne sais trop!

Ils ont tellement de contradictions aussi, souhaite des services essentiels (dép, épicerie, magasins, bureau de poste, etc) mais se plaignent de tous ces livreurs et camions qui circule (pour justement remplir ces commerces).

Je ne sais pas quoi penser de ce que j’ai vu…

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PP
14 septembre 2014 à 01 h 40

Étonnant en effet. Je n’avais pas réalisé à quel point ce quatier était pauvre. Les militants me font penser à des raëliens psychotiques disfonctionnels.

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Jean François Côté

14 septembre 2014 à 09 h 03

En ville c’est normal qu’il y ait des autos …

Je crois aussi qu’ àil existe des chialeurs professionnels, des gens qui ne sont et ne seront jamais contents.

La parade ressemblait aussi beaucoup à une secte, avec un gourou portant un béret.

Toujours cru que ces personnes auraient été plus heureuses de vivre à la campagne,dans le village ou dans un rang en communauté avec des jardins à arroser.

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