D’Estimauville attend toujours
À l’est du nouveau Saint-Roch, à quelques minutes à peine du centre-ville, le secteur d’Estimauville agonise et attend avec impatience les capitaux et la volonté politique pour assurer son émergence.
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La terre promise des fonctionnaires fédéraux
Depuis bientôt un an, les rumeurs vont bon train pour le déménagement, à l’aube de 2010, des 700 fonctionnaires fédéraux de la région de Québec.
Les élus régionaux sont déterminés à convaincre le ministre des Travaux publics, Michael Fortier, d’opter pour l’érection d’un édifice dans le secteur d’Estimauville. Mais à ce jour, toutes les options sont encore considérées, dont celle d’un édifice-phare au centre-ville.
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Quand tout allait bien … avant l’autoroute
«Dans les années 60 et 70, les gens arrivaient de toute la région de Québec pour venir magasiner dans le secteur de d’Estimauville, c’était très à la mode! Mais quand ils ont construit l’autoroute de la Capitale, ça nous a fait mal et plus rien n’a jamais été pareil», se souvient le coiffeur Yvan Campagnat.
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9 octobre 2007 à 16 h 42
Je me demande si le secteur D’Estimauville sera évoqué durant la prochaine campagne…
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9 octobre 2007 à 21 h 37
je crois que c’est dans ce secteur que les Co-Locs ont pris l’inspiration pour leur célèbre « toune », « yest tombé une bombe sur la rue principale » ? …;)
pour le projet de Neuro-Cité yaura combien de pré-étude, avant quils décident de oui ou non réaliser le projet ? …;)
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10 octobre 2007 à 12 h 50
Le troisième article illustre bien l’effet (dé)structurant des infrastructures urbaines.
J’ai de la difficulté à croire que ce secteur est voué à une revitalisation aussi fulgurante que celle qu’a connu St-Roch qui semble plus près des conditions de succès décrites dans ces articles : https://www.quebecurbain.qc.ca/2007/10/07/special-rue-commercante/
Ça pourrait bien revivre sous une forme qui s’apparente au Campanile avec une circulation de transit en plus. Mais je ne vois pas se développer ce secteur autour d’un autre moyen de transport que la voiture. Les difficultés éprouvées pendant les années 80 ne disparaîtront pas d’elles-mêmes, il faudrait modifier l’aménagement du secteur pour redonner vie au secteur.
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11 octobre 2007 à 01 h 21
Je me suis toujours dit que c’était l’autoroute Dufferin qui avait fait fuir le traffic du boulevard Ste-Anne, ce qui est vrai pour la population du sud de Beauport par exemple, mais pour tout le reste du monde, je comprends maintenant bien le piont de vue concernant l’Autoroute de la Capitale.
Demandez pour le fun dans votre entourage où doit-on sortir de l’autoroute de la Capitale, dans chacune des directions, pour rejoindre l’avenue d’Estimauville. Ceux qui passent par ce bout d’autoroute régulièrement le savent très bien, les autres ont une bonne idée, mais sans plus… car justement ils ne vont jamais dans ce secteur. Disons simplement que le secteur d’Estimauville n’a que bien peu de « publicité » dans la signalisation autoroutière.
Mais la question pour laquelle on ne saura jamais la réponse avec certitude, c’est est-ce qu’il s’agit (l’autouroute) réellement d’une cause de la décrépitude de ce secteur ou est-ce que ces deux éléments ne sont pas plutôt deux symptômes d’un même événement, soit le changement de mode de vie des dernières décénnies?
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7 décembre 2007 à 18 h 26
La Ville de Québec viens d’intervenir (décembre 2007)
Le communiqué
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