Radio VM
Le jour fatidique est arrivé : les Sœurs de la Charité de Québec quittent définitivement leur résidence du Vieux-Québec après 165 ans de présence. Une cérémonie se tient cet après-midi pour souligner l’événement et symboliser le transfert de la gestion de la Maison Mère-Mallet à la Fondation famille Jules-Dallaire désormais propriétaire du lieu. (…) En effet, la Fondation Fondation famille Jules-Dallaire Jules-Dallaire continuera l’œuvre de la soupe populaire. Elle continuera également d’offrir un logement à prix modique pour des étudiants, en faisant notamment passer le nombre de lits disponibles de 14 à 140. Elle prévoit aussi offrir des locaux à des organismes afin de les soutenir dans leurs démarches afin qu’ils puissent démarrer leur œuvre. Enfin, un service d’accueil des familles des malades qui viennent de l’extérieur de la ville et qui se font soigner à l’Hôtel-Dieu de Québec continuera.
Patrimoine préservé. La chapelle a déjà été désacralisée : la dernière messe a eu lieu en octobre, pendant la fin de semaine de l’Action de grâce. Elle sera réaménagée par le Musée de la civilisation de Québec avec lequel les Sœurs de la Charité collaborent. Elles ont d’ailleurs donné environ 6 000 objets religieux au musée, qui se chargera de les protéger et de les expliquer aux générations futures.
30 novembre 2014 à 08 h 41
Un legs magistral.
Une page se tourne avec le départ des Soeurs de la Charité. Ces femmes, toutes autant admirables que dévouées, ont apporté du réconfort, des repas et du logis aux gens qui en avaient besoin, cela pendant des décennies, Jamais elles ne bronchèrent ni se plaignirent.
Leur oeuvre, très colossale, demeure un exemple à suivre.
L’heure est venue de nous passer le flambeau. Saurons-nous suivre leur chemin?
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30 novembre 2014 à 23 h 16
Si jamais vous désirer vous porter bénévole pour la soupe populaire, ce serait sans doute une belle occasion pour vous.
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1er décembre 2014 à 23 h 39
Je me demande combien d’années encore elle conserveront dans son intégrité l’immense domaine de la maison généralice et son champ cultivé, à Charlesbourg.
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11 décembre 2014 à 14 h 48
Finalement, cela ne s’est pas compté en nombre d’années, mais en jours :
http://www.beauportexpress.com/Actualites/2014-12-11/article-3972849/1%2C7-million-de-pieds-carres-en-terre-agricole-ouverts-a-la-construction-a-Beauport/1
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