Isabelle Porter
Le Devoir
Aucun acheteur du monde agricole ne s’est manifesté, ces dernières années, pour mettre la main sur les terres des Soeurs de la Charité, à Québec. « J’aimerais ça que les gens le sachent, a signalé, lundi, la supérieure générale de la congrégation, soeur Carmelle Landry. On n’a jamais eu de demande de personnes intéressées à développer ces terres-là au niveau de l’agriculture. » (…) Interrogée sur sa vision du futur quartier, soeur Landry rétorque que ce n’est pas de son ressort. « Les gens me disent : “ M. Dallaire, qu’est-ce qu’il va faire avec ça ? ”Je ne le sais pas et je ne veux pas le savoir, comment il va faire. Il va poursuivre nos oeuvres et c’est correct. Nous, on les a vendues zonées agricole, c’est à lui de s’occuper du dézonage. »
* Merci à un très fidèle lecteur (André Bernatchez)