Source : Camille B. Vincent, Le Soleil (24 mai 2015)
Pour la première fois à Québec, un mur de graffitis légal sera mis à la disposition des graffiteurs, cet été, au parc Lucien-Borne. N’est manquante que l’approbation définitive de la Ville, qui devrait trancher sur la question dans les prochains jours.
L’initiative est celle du groupe Graff’Cité, mandaté depuis 10 ans par la Ville de Québec pour offrir un service gratuit de nettoyage de graffitis aux résidents et aux commerçants de l’arrondissement de La Cité-Limoilou.
Du 10 juillet au 16 août, un mur de 32 pieds de longueur sur 8 pieds de hauteur sera érigé face à la rue Sherbrooke, dans le parc Lucien-Borne, et sera accessible à quiconque souhaite y apporter sa contribution graphique.
Mise à jour: le projet est annulé
25 mai 2015 à 08 h 44
J’ai tellement hâte d’aller en faire un immédiatement après qu’ils aient terminé leur barbouillage… Je vais m’installer à les regarder faire leur »oeuvre » et dès qu’ils ont terminé, je prend mon spay orange chantier et je barbouille tout ! Aucun respect pour leur oeuvre comme ils n’ont aucun respect pour la propriété des autres
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25 mai 2015 à 09 h 03
On se demande pourquoi vous n’obtenez pas le respect! ;-)
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26 juillet 2015 à 17 h 37
Nous serons deux!
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25 mai 2015 à 17 h 23
Encore un truc pour faire croire aux jeunes qu’ils vivent dans le Bronx en 1979. Y’en a marre de cette culture de débiles.
Cette nouvelle génération de graffiteurs ignore probablement qui sont Jordi Bonet, Alfred Pellan, Jean-Paul Mousseau, Frédérick Back, etc. Le Québec a pourtant une grande tradition d’art mural et public.
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25 mai 2015 à 19 h 32
Que ce soit à une certaine époque dans Québec Urbain, ou maintenant dans des blogues hyperlocaux tels Monsaintroch, je me suis maintes fois exprimé sur le sujet. Certains n’ont pas aimés, comme mon coup de gueule concernant la passerelle piétonnière près du… poste de police de Québec :
http://blogue.monsaintroch.com/2015/une-passerelle-victime-de-lage-et-des-vandales-prise-2/
En mars, j’ai assisté à une « opération nettoyage » de la Ville de ladite passerelle, et depuis, les vandales se sont attaqués de nouveaux, entre autres, aux parois vitrées de la structure (objet d’un autre billet à venir) .
Bref, tout est à recommencer… et évidemment, d’autres défendront ici ce cas précis de ce qu’ils jugent être de l’art urbain et une forme légitime de liberté d’expression. *soupir*
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26 mai 2015 à 09 h 52
Je vais aller voir les zzzartistes à l’oeuvre, ne serait-ce que pour identifier les vandales qui sévissent dans ma rue la nuit bien sûr ( comme les coquerelles qui craignent la lumière du jour), et qui sont venus barbouiller ma facade avec leurs noms de guerre: clerc, hay, skar et compagnie …
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