Dans l’ordre: le cimetière Saint Mathiew (quartier Saint-Jean-Baptiste), une vue rapprochée sur l’hôtel Le Concorde à partir du Parlement, les remparts à l’entrée des Plaines, la gare du Palais et enfin, tout en bas, cette contribution de Denis Larouche, toujours dans le secteur de la gare du Palais!
À consulter aussi, ce reportage photo: Scènes urbaines: l’automne coloré à Québec, édition 2007 (5).
28 octobre 2007 à 13 h 55
Vraiment superbe la photo du cimetière Saint Mathiew, très beau cadrage.
Les belles journées d’automne sont souvent extraordinaire, comme cette journée là.
Bravo Jean.
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28 octobre 2007 à 16 h 45
La statue (monument) démontrant une personne lisant un livre n’était pas là durant mon enfance où nous allions chaque jour jouer dans ce cimetière ; la clôture contournant le muret de béton non plus car nous aimions nous y asseoir pour regarder les gens passer sur la rue Saint-Jean.
La grosse croix elle y était ; nous y avions enterré d’ailleurs un oisillon mort que nous avions trouvé au sol.
Nous n’y sommes plus jamais retourné suite à un « phénomène inexpliqué » qui nous a fait presque mourir de trouille à minuit un soir de pleine lune où mes amis(e) et moi, nous nous étions sauvés en douce sans la permission des parents pour aller dans le cimetière tenter une expérience que nous ne sommes pas prêt de recommencer.
J’adore cette photo ; bel angle, belles couleurs ; superbe.
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28 octobre 2007 à 17 h 29
Et de quelle expérience s’agit-il ?
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28 octobre 2007 à 21 h 58
J’aime ta première photo, bon cadrage, la 4e le cadrage est bizarre, est-ce un grand angle ? sinon, un peu plus de l’arbre aurait été intéressant.
Je crois que tu commence à développer un talent…
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28 octobre 2007 à 22 h 39
Le 4e est en effet un « grand angle »…
Talent? Je reconnais celui des autres collaborateurs, et j’ai encore beaucoup à apprendre… Cela dit, ça fait tout de même plus de 20 ans que la photo est l’un de mes principaux loisirs. Certaines ont d’ailleurs illustrées mes publications…
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29 octobre 2007 à 08 h 54
… illustré! ;-)
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29 octobre 2007 à 15 h 49
La dernière photo est bien, il manque un peu de saturation des couleurs, mais la perspective de la ville est intéressante !
Avez-vous remarqué le graffiti à droite ?
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29 octobre 2007 à 16 h 41
@ Marc Antoine,
Je demeurais sur la rue Saint-Joachim juste au coin de la rue du cimetière Anglican. J’avais une amie de mon âge, 10 ans, qui demeurait également dans notre rue et qui avait un frère d’une vingtaine d’années qui, lui, s’intéressait à l’époque à tout ce qui touche le paranomal. Bref, lors d’une soirée chaude d’été, nous avions fait un party d’enfants où son frère est venu nous rejoindre. Il aimait se faire livrer par la poste de l’Angleterre des livres macabres sur la mort, les vampires et tout le tralala. Pour des enfants de 10 ans, nous étions bien impressionnés.
Or, durant le party, Richard a sorti une revue qu’il venait de recevoir dans lequel il était spécifié que si on faisait le tour d’un cimetière 12 fois sur le coup de minuit, en prenant bien soin de terminer à minuit pile à l’endroit exact où nous avions commencé, il arriverait quelque chose sans toutefois que la revue nous précise quoi au juste.
Nous étions une vingtaine d’enfants qui se sont sauvés de la maison un peu avant 23 heures pour débuter les 12 coups de minuit. La petitesse de ce cimetière ainsi qu’on bon chronométrage de notre temps nous faisait réaliser l’exploit tel qu’indiqué.
Nous avons débuté le premier tour du cimetière à 23 heures exactement. Il n’y avait aucun vent, le temps était chaud et le ciel dégagé laissant démontrer une pleine lune dans toute sa splendeur. Au 12e tour, rendu à l’endroit exact où nous avions débuté une heure auparavant, à l’endroit exactement où nous nous trouvions, un vent froid s’est violement soulevé projetant une de mes amies sur le sol où elle s’est fracassée la tête contre un tronc d’arbre et une branche érorme de l’arbre sous lequel nous nous trouvions nous est tombé juste en face de nous afin de nous couper le chemin. Il ne nous en a pas fallu plus pour que nous prenions nos jambes à notre cou. Je ne sais pas pourquoi, mais je n’y suis jamais retournée. ;-)
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