Dans tous les cas, puisqu’il nous est impossible d’identifier clairement les sujets, rien ne vas à l’encontre « Du droit des personnes » , donc , aucune permission à demander.
Effectivement! Et je crois vraiment pas qu’il soit de mise de demander un « permis de grimper » à la ville sur le bon vieu canon du fin fond des plaines.
Ce canon, les gens aiment ce l’aproprier, et c’est souvent de cette façon que sa a lieu. Y a pas de mal sa. Sa peut en supporter du poid s’ te canon là!
Sim 21, en fait Carol voulais parler de la permission de prendre ces gens en photos pour ne pas porter atteinte à leur vie privée puisqu’ils font partie du sujet principal de la photo et qu’en principe, dans un lieu publique, il faut demander le consentement des gens lorsqu’on percoit de la photo qu’ils sont l’objet principal et non un objet secondaire.
Dans ce cas-ci, on ne peut les distinguer ne leur portant pas ainsi préjudice.
28 octobre 2007 à 21 h 59
comme d’habitude je crois que tu demande leur permission ?
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29 octobre 2007 à 12 h 47
Cette question semble beaucoup te préocuper Carol. Tu me la demande à chaque fois ;)
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29 octobre 2007 à 17 h 57
Dans tous les cas, puisqu’il nous est impossible d’identifier clairement les sujets, rien ne vas à l’encontre « Du droit des personnes » , donc , aucune permission à demander.
http://www2.publicationsduquebec.gouv.qc.ca/dynamicSearch/telecharge.php?type=2&file=/CCQ/CCQ.html
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30 octobre 2007 à 00 h 59
Effectivement! Et je crois vraiment pas qu’il soit de mise de demander un « permis de grimper » à la ville sur le bon vieu canon du fin fond des plaines.
Ce canon, les gens aiment ce l’aproprier, et c’est souvent de cette façon que sa a lieu. Y a pas de mal sa. Sa peut en supporter du poid s’ te canon là!
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30 octobre 2007 à 09 h 26
Sim 21, en fait Carol voulais parler de la permission de prendre ces gens en photos pour ne pas porter atteinte à leur vie privée puisqu’ils font partie du sujet principal de la photo et qu’en principe, dans un lieu publique, il faut demander le consentement des gens lorsqu’on percoit de la photo qu’ils sont l’objet principal et non un objet secondaire.
Dans ce cas-ci, on ne peut les distinguer ne leur portant pas ainsi préjudice.
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