Animation et production : Erick Rivard et Catherine Ève-Gadoury
Réalisation et montage: Jean-Évrard Bilodeau et Benjamin Gadoury
Caméra: Benjamin Gadoury
Charles Dickens a surnommé la ville de Québec, le Gibraltar d’Amérique. Dès le début de la colonie, sa topographie unique de caps, de coteaux et de falaises, a nécessité la création de liens de circulation entre la ville haute et basse.
18 août 2015 à 16 h 48
Joli projet qui malheureusement fait table rase d’un des plus beaux escaliers de la ville.
Mérite un retour à la table à dessin…
Je suggérais au jeune architecte de resituer plutôt son projet au pied de l’avenue Honoré-Mercier, secteur où il manque cruellement un lien mécanique haute-ville/basse-ville, qui offrirait une vue encore plus spectaculaire et qui viendrait boucher un trou dont la ville ne semble pas trop quoi faire depuis la démolition en «urgence» des bretelles inutilisées de l’autoroute il y a maintenant 8 ans, là où le maire Lallier avait situé le legs de la France pour le 400e…
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19 août 2015 à 20 h 08
D’accord avec jfr1954, pour le retour à la table à dessin. Aussi, pourquoi vouloir démolir l’œuvre d’un architecte célèbre, Charles Baillargé (1826-1906) lui qui a laissé des traces tangibles de son esprit créatif; plus de 200 selon un article du Dictionnaire biographique du Canada. (Une recherche sur Internet vous y mènera.) Dans l’ensemble, je concède que le concept d’Anthony Bouchard a une certaine allure, sauf que, comme souligné par jfr1954, il n’est pas au bon endroit.
A. Bouchard dit être un résident de Saint-Roch et emprunter l’escalier du Faubourg tous les jours. J’ai vécu dans Saint-Roch à l’adolescence, de 1954 à 1964 puis, de 1999 à 2005 cette fois avec ma conjointe. Cet escalier ne nous a jamais posé problème; même que je lui trouve une réelle richesse dans sa réalisation. N’oublions surtout pas qu’elle a été conçue en 1889, donc, avec les techniques et moyens de l’époque.
Je pense aussi que le trou au pied d’Honoré-Mercier, là où le Maire L’Allier voulait un lien, un vrai, entre la basse-ville et la haute-ville serait un endroit plus approprié.
Peu de gens ont eu l’occasion de voir le concept de «l’EscAllier» dans son ensemble, si ce n’est qu’une vague perspective, dans les journeaux, du projet qui fut démoli, ridiculisé par nos «concepteurs d’estrade». J’ai eu la chance de voir TOUTES les planches de présentation et je peux vous dire que ce concept en était un d’une très grande qualité.
Si M, Bouchard désire faire œuvre d’originalité, mais surtout rendre service à sa ville, peut-être devrait-il déplacer son concept un peu plus à l’est.
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20 août 2015 à 06 h 53
Utilisez-vous cet escalier régulièrement comme l’architecte, en particulier tard l’automne et l’hiver?
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20 août 2015 à 11 h 47
J’avoue le descendre beaucoup plus souvent que je ne le monte (vive l’ascenseur du Faubourg pour la remontée et je n’ai plus l’âge de l’architecte).
Mais je le trouve étonnamment bien entretenu l’hiver.
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20 août 2015 à 12 h 46
C’est l’aspect fonctionnel que j’aime moins dans les conditions climatiques moins agréables.
J’utilise plus souvent un autre escalier pour cette raison. En fait pour ce qui est de l’entretien en hiver, dans les escaliers très fréquentés c’est rarement un problème à mon avis.
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26 août 2015 à 14 h 01
La proposition relative à « l’escalier du Soleil » : NON.
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